[...] Tout d'abord Nine et Twelve membres de Sphinx, on sait peu de choses sur eux et on en apprend pas tant que ça au final mais malgré tout on s'attache à eux.
Premier exemple.Cette simple phrase suffit afin d'exposer l'idée que l'on n'en sait peu sur eux et qu'il en sera ainsi tout du long de la série.
Tout d'abord Nine et Twelve, membres de Sphinx. Bien que l'histoire nous n'en apprenne que très peu à leur sujet, ils restent malgré tout attachants.
Second exemple.Ce simple mot sous-entend que les personnages resteront mystérieux du début à la fin. Pensez donc à un moyen de résumer votre pensée lorsque cela s'avère possible. Il s'agit là de ma manière de formuler la phrase, libre à chacun de procéder autrement, bien évidemment.
Tout d'abord Nine et Twelve, dont nous n'en savons finalement que très peu bien qu'ils restent malgré tout attachants.
Globalement le style de cet anime est plus propre, plus lumineux que dans la série de 2012, Koike ayant abandonné les effets de trames et l’aspect crayonné caractéristique des productions de Sayo Yamamoto pour une image plus conventionnelle ; sans toutefois faire de concessions au niveau des personnages qui ont tous une vraie gueule et un charisme immédiat.
Cet anime m'a beaucoup fait penser au manga Prophecy de Tsutsui Tetsuya qui abordait des thèmes similaires [Point] Le terrorisme notamment en annonçant ses crimes sur internet en portant un masque, en jouant avec la police et tout ça à notre époque [Point] Le manga en question est très "graphique," soigné comme l'est le chara design de Teror in Resonance.
Cette série pourrait d'ailleurs soutenir la comparaison avec Prophecy. Notamment celle du terrorisme que l'on retrouve au travers de Paperboy - personnage masqué annonçant ses crimes via Internet - dans l'œuvre de Tsutsui Tetsuy. A noter que les deux séries mettent un point d'orgue à rendre l'ensemble visuellement attrayant.
Une autre chose aussi, évitez de faire des paragraphes "animation", "graphismes", "personnages", etc... C'est assez lourd à lire et au final très peu fluide. Comme dans une dissert, séparer et ordonner les idées, c'est bien, le faire avec des gros titres et des soulignages, beaucoup moins à mon avis. Le lecteur se doutera bien des points que vous aborderez dans vos parties, ne vous en faites pas.Quand les gens sont habitués à survoler les critiques, ça leur permet de cibler ce qu'ils veulent savoir sans qu'ils soient obligés de se taper toute la critique. Après, j'ai récemment arrêté de faire ce genre de paragraphe à gros titre. Tout simplement parce que je n'y arrive plus, c'est trop galère à découper ce que l'on veut dire de cette manière, donc pour le coup je suis mitigé sur l'efficacité de cette technique de mise en page.
Le mieux reste de faire au feeling, mais encore une fois si c'est pour lire un pâté inconstant qui part dans tous les sens, non merci.
Tout simplement parce que je n'y arrive plus, c'est trop galère à découper ce que l'on veut dire de cette manière, donc pour le coup je suis mitigé sur l'efficacité de cette technique de mise en page.
C'est vrai que c'est un procédé qui fait limite plus penser à un contrôle technique qu'à une critique. Si c'est quelque chose de compréhensible pour un test, dans le cas d'une critique ça devient tout de suite un peu plus étrange je trouve...J'ai fais ça sur quasiment toutes mes critiques, en arrivant sur le forum et pourtant, en cours je ne le faisait déjà plus que pour les brouillons. C'est une manière d'ordonner un peu son propos quand l'on est pas sûr de comment le délivrer. Ceux qui ne sentent pas à gratter au feeling des pavés, pourquoi ne pas les laissé dans leur confort au départ pour ensuite les déloger un peu à coup de bons procédés et de bonne volonté. Vous me direz, les mauvaises habitudes mais bon, quand on sait le temps que ça prend pour se donner et pondre une critique, peut-être mieux vaut-il commencer avec des méthodes qui nous inspirent.
Terror in Resonance, un thriller qui parle de terrorisme signé Watanabe. J'aime beaucouple genre thrillerles thriller en général et d'autant plus quand l'histoire se déroule de nos jours.et[Comme je n'ai pas suivi d'anime cet été 2014 j'étais passé à côté d'un anime vraiment intéressant.]
Pour ce qui est deLa série raconte l'histoire:d'une série d'attentats terroristes [qui] survient dans Tokyo /, orchestrée par Sphinx /, un groupe terroriste / composé de deux adolescents / qui annoncent leurs attentats en avance / sur internet / en masquant leurs visages. Dans leurs annonces, une énigme permet, si on la résout, de trouver la bombeou encoreet d'annuler l'explosion. Sphinx va donc via ces énigmes jouer avec la police et notamment avec l'inspecteur Shibazaki qui va être chargé d'arrêter Sphinx.
On suit donc le groupe terroriste Sphinx composé de Twelve et Nine, deux adolescents mystérieux poursuivant un réel objectif au-delà de leur série d'attentat.
L'histoire se formerasurtout autour de cinq personnages. Tout d'abord Nine et Twelve membres de Sphinx, on sait peu de choses sur eux et on en apprend pas tant que ça au final mais malgré tout on s'attache à eux. Sur ce point ça m'a fait penser à des œuvres comme Death Note ou Code Geass, on suit un héros qui est contre l'autorité, ce qui aurait pu faire d'eux le méchant de la série mais le fait de les suivre en personnage principal amène à réfléchir sur leurs actes.
A ce groupeviendravient s'ajouter Lisa. Je ne comprends pas bien l'intérêt du personnage qui viendra juste entraver leurs progressions (leurs progressions ? A qui ?). Il y avait pourtant matière à faire en développant un peu plus le personnage mais ce n'était pas forcément évident vu le format court de l'anime.
Ensuite vient l'inspecteur Shibazaki, personnage charismatique, intelligent et impliqué dans son travail. C'est le genre de personnage qu'on ne peut qu'apprécier / car il défend la justice / et protège la population quitte à s'opposer à ses supérieurs et mettre en péril sa carrière professionnelle.
Et enfin le dernier personnage majeur est Five, un agent du FBI liée aux antagonistes principaux de par son passé. Elle aussi, tout comme Lisa, aurait pu avoir un développement plus approfondi. Son utilité n'est pas intelligible outre le fait, d'elle aussi, entraver leur progression. Des personnages intéressants dans l'ensemble néanmoins c'est dommage que leurs développements ne soit pas un peu plus poussés.
Un thriller aussi réaliste en japanimation n'est pas très commun ; le scénario rappelle beaucoup les séries et films policiers occidentaux/américains dans lesquelles un inspecteur aux talents hors norme traquera des terroristes/tueurs/malfrats. (Ce serait pas au moment où tu parles de Shibazaki qu'il faudra mentionner ça ? Ou plutôt, ça ne serait pas à ce moment qu'il faudrait parler de Shibazaki ?)
La réalisation elle aussi fait penser à un film avec pas mal de plans larges sur la ville ou encore certaines scènes d'actions dynamiques réalisées à la première personne. Cet effet est très immersif et c'est la première fois que je ça vois dans un anime.
En fait Cet anime aurait très bien pu être un film live mais l'animation permet quand même plus de choses, surtout quand il y a du budget pour faire un truc (je sais que j'arrête pas de dire truc aussi, mais c'est une très mauvaise habitude.) conséquent.
Sinon Watanabe dans tout ça, Le réalisateur de la série s'étant fait un nom avec des animes comme Cowboy Bebop ou encore Samurai Champloo réputé pour donner à chaque œuvre une bande son originale et de qualité mais qu'en est-il pour Terror in Resonance ?
La qualité est bien là, les OSTs collent parfaitement à l'action et les bandes-son au piano sont juste sublimes. L'OST est riche et variéeet. On est vraiment sur un travail soigné et de qualité. (C'est redondant.)
Au niveau des décors on a un rendu très réaliste. Il y a beaucoup de plans larges de la ville comme je l'ai dit précédemment et le niveau de détail est très impressionnant, c'est fou ce qu'on peut faire de nos jours (?). Le chara design quant à lui est original, très expressif au niveau du visage on comprend vraiment les personnages et les enjeux rien que par leur expressions faciales (??).
Cet anime m'a beaucoup fait penser au manga Prophecy de Tsutsui Tetsuya quiabordaitaborde des thèmes similaires, le terrorisme notamment en annonçant ses crimes sur internet en portant un masque, en jouant avec la police et tout ça à notre époque et le manga en question est très "graphique", soigné comme l'est le chara design de Teror in Resonance.
Cette œuvre, tout comme Teror in Resonance, traite de l'injustice et critique le gouvernement (?!!). Au fur et à mesure des actions des héros masqués on en apprend plus sur leurs motivations. Tout comme Prophecy, Terror in Resonance est très ancré dans son époque, les nouvelles technologies sont très présentes dans le relais de l'information ou encore lorsqu'on parle de la bombe atomique de façon réaliste et crédible (?!?!?!!).
Prophecy comporte beaucoup de similitudes avec Terror in Resonance et a surement inspiré Watanabe (?§§§§§??§§§§§?§). Sinon outre les thématiques abordées, le scénario est inégal, le rythme s'accélère beaucoup trop dans la seconde partie (*stratosphérisation du running gag*) de l'anime. Il n'en reste pas moins intéressant et bien fichu.
Pour finir, Teror in Resonance est un animede qualité scénaristiquement(au scénario de qualité), visuellementou encoreet par ses OSTs. Il est très cinématographique dans sa manière d'être exposé et son scénario bien construit (?). On pourrait lui reprocher un rythme inégal et des personnages trop peu développés, mais il est malgré tout un très bonanime dans le genrethriller et reste parfaitement ancré dans son époque.
@Kynke : Pour répondre à tes interrogations.
Dans l'ensemble ta critique n'est pas mauvaise mais elle me laisse un goût d'inachevé. J'ai trouvé le tout un peu fourre-tout. Ca donne l'impression que tu as voulu nous exposer pas mal de choses mais qu'en finalité, tu n'as fait que broder. Sur la fin, notamment, tu te répètes pas mal. Il y aussi encore quelques petites erreurs par ci, par là. Y a des tournures de phrases qui sont bizarres.CiterOn sait peu de choses sur eux et on en apprend pas tant que ça au final, on s'attache à eux malgré tout.J'aurai plutôt vu quelque chose du genre : Finalement, malgré le fait que l'on ne sache pas grand chose d'eux, ils restent pour le moins attachants. C'est surtout on "on s'attache à eux malgré tout" qui vient se greffer au reste de la phrase qui donne une tournure étrange. Il manque un quelque chose pour les relier.CiterDes personnages intéressants dans l'ensembleLe "néanmoins" est vraiment de trop.néanmoins[mais] ou [mais hélas peu développés]c'est dommage que leurs développements ne soit pas un peu plus poussés.CiterIl a su donner à l'oeuvre une identité par ses bandes sons.Pas forcément besoin de répéter "par ses bandes sons" vu que juste avant tu parles des OST justement.CiterTeror in ResonanceEt la dernière.Y a deux "r" à Terror ><
Edit :Genius.
Je crois que j'ai vraiment déconné avec ce message...
Le scénario me rappelle beaucoup les séries et films policiers dans lesquelles un inspecteur aux talents hors-norme traque des terroristes/tueurs/malfrats. La réalisation elleMême si dans la première phrase on évoque les films, c'est le genre policier qui est vraiment utilisé comme complément d'objet, faire le parallèle avec une série ou un roman policier aurait le même résultat. La deuxième phrase évoque le film en tant que média. Et donc le mot "aussi" qui est utilisé lorsque les deux parties comparées sont de même valeur n'est pas approprié.aussifait penser à un film, en effet il y'a beaucoup de plans larges de la ville ou encore certaines scènes d'actions dynamiques réalisées à la première personne.
Edit :
Je crois que j'ai vraiment déconné avec ce message...
Les corrections essaie de contourner les phrases trop longue [...] mais ça corrige pas vraiment la phrase que j'avais laissé en vert. Elle est très haché avec sa triple répétition du participe présent. Encore une fois, faudrait réellement repenser tout le passage.
Dans le message de Straight le premier changement me pose un problème, c'est l'apparition d'une phrase nominale.
En attendant c'est mieux que ces critiques dont on parle jamais ici parce que les auteurs sont un copié/collé vivant de 1500000 autres, rabâchant toujours les même blabla et sans aucune personnalité dans leurs textes ou quoi. Yep, c'est lourd à lire et des fois c'est même dur à comprendre. Et je parle même pas de ceux qui veulent trop la jouer familier à base de "cher lecteur" (au singulier svp) à gogo dans le texte, ou de ceux qui se la jouent langage soutenu façon Molière, voire grand reporter, ou essayant de faire des figures de style alors qu'il ne maitrisent visiblement pas le truc. Ils en font de trop ça devient lourd et peut même donner mal à la tête des fois.Si vous êtes nouveaux prenez-en de la graine. Tout est dit, soyez honnêtes, dites ce que vous pensez. Parce que telle est la dure vérité, mais c'est ce qu'on retrouve la majeure partie du temps. Faites gaffes à vos tournures, au vocabulaire employé, et pitié aux contractions de mots (j'vais, j'crois, j'lai, c'qui...)
T'enflammes pas Névia :P.Ah bon ? Où ça ?
Il ne faudrait pas oublier que nous sommes sur un site amateur (car critique est aussi et surtout un métier) et qu'il est de fait normal de voir ce genre de choses. Autant je partage une partie du fond de ce que tu dis, malgré tout il me paraît important de garder à l'esprit que nous sommes sur Anime-Kun, pas au New York Times ; ce qui implique une plus grande largesse relativement à la forme.Qu’importe qu'on soit sur A-K, rechercher à se perfectionner c'est bien. Tes gars du New York time prennent le plus souvent leur capacités pour acquises, mais la vraie force c'est de ne jamais être satisfait de son travail pour ainsi évoluer continuellement.
Qu’importe qu'on soit sur A-K, rechercher à se perfectionner c'est bien. Tes gars du New York time prennent le plus souvent leur capacités pour acquises, mais la vraie force c'est de ne jamais être satisfait de son travail pour ainsi évoluer continuellement.Amen.
La première règle, si l'on peut dire, est d'éviter d'écrire comme on parle. Gardez à l'esprit que votre manière de parler vous est propre, l'écriture est justement là pour la traduire afin de la rendre claire et compréhensible.
rédiger un texte qui permet d'organiser et de structurer ce que l'on a dit auparavant, de manière synthétique et lisible pour une personne qui n'aurait pas encore lu ledit topicC'est pour cette raison que je leur demande de ne pas raconter leur vie. Je pars d'exemple bien précis pour affirmer mes propos, genre ça (http://www.anime-kun.net/animes/critique-kill-l-originalite-et-la-surenchere-a-force-d-e-faire-trop-9875.html). Ne me dit pas que le mec ne raconte pas sa vie.
Je vais préciser certaines choses que je ne veux absolument plus voir dans une critique.
On est bien d'accord, faut éviter.
Cet anime fut une petite surprise pour moi.
Je n'attendais pas grand chose de celui-ci, qui sentait (->"Je n'en attendais pas grand chose, car il sentait...", pour éviter le "celui-ci" lourd) le cliché, le classique, le rébarbatif à 100 kilomètres.
Pour ceux qui ont vu (en général on 'lit' ou on 'joue à' un visual novel) le visual novel, ils savent que cet anime n'est pas comme les autres. "Ceux qui ont lu/joué au... savent que..." sonne mieux.
Mais, (vire la virgule) je ne dis pas qu'il est spécial ou unique, voir même original,mais("juste que" pour éviter la répétition) c'est quelque chose qu'on ne voit pas souvent. Et comme je suis très fan du genre, bien qu'amateur (pas compris ce que tu voulais dire par "bien qu'amateur"), j'ai apprécié cette vague de fraîcheur: c'est un anime très sci-fi dans un milieu scolaire avec une touche de slice of life et de romance. La totale. C'est un peu du même gabarit que la mélancolie de Suzumiya Haruhi. (Avant que vous ne me mangiez, je ne compare que le genre) (Pas vu celui-là mais Haruhi c'est plutôt beaucoup de slice of life et un peu de sci-fi)
Par contre, ce "genre" d'animeen questionvient avec son lots de hics habituels. A savoir, les panty shots, les personnages clichés, les épisodes vides d'intérêts- trop de slice of life - et j'en passe.
Il faut cependant admettre que ces hics sont moindres. Les panty shots par exemple ne durent que les 2 ou 3 premiers épisodes, et niveau clichés, on nous épargne une bonne partie de la routine habituelle. Et cerise sur le gâteau, ce n'est pas un harem. Encore moins un gros ecchi.
Pour les personnages je ne comptais pas vraiment dessus et j'ai bien fait. Vous êtes prévenus. J'arrive limite à supporter " l'anglophone " aux cheveux bruns qui ...ne sert à rien. Seulement au début par contre;: vous comprendrez par la suite que chaque personnage a une utilité bien précise.
Ce qui compte surtout c'est l'histoire et la tension qui est dégagée. Je ne sais pas comment les arcs sont gérés dans le visual novel mais je trouve la mise en scène plutôtréussite-> réussie.
Il faut dire que l'histoire ne laisse pas indifférente(au masculin plutôt?). Et je ne parle pas que du côté drama. Ça fait fleurir en nous certaines réflexions et ça nous laisse d'ailleurs imaginer des explications alternatives aux mystères et aux événements futures (->futurs).
Au final, on sentqu'il y a des efforts("que des efforts sont faits") pour ne pas ressembler aux animes du même genre. Même si cet objectif n'est pas totalement atteint, ça se laisse regarder.
Ushinawareta mirai o motomete apporte une histoire intéressante et intrigante qui va ravir les amateurs d'animes sci-fi. Les pros eux serons peut-être déçus.
Ça aurait pu être un bien meilleur anime avec des gags et de meilleurs personnages.
Par contre, serait-il possible d'avoir plus de détails sur ce que tu entend par maladroit ?
C'est peut être différent de ce que j'ai compris.
Puis je ne sais pas vraiment comment corriger ça. Faut-il plus de précision dans mes propos ?
Au final, on sent qu'il y a des efforts pour ne pas ressembler aux animes du même genreOui et ? Quels efforts ?
Quelles sont les critiques les plus convaincantes selon vous ?
Quelles sont les critiques les plus convaincantes selon vous ?
Après je dis ça, mais en fait j'ai drop Little busters, et j'ai eu que 13 à mon bac écrit de français, donc peut être que je dis de la merde.
Tu devrais refaire un tour dans l’arène Nox, prendre la température... raison de plus si tu n'es plus satisfait par ce qui sort, c'est rigolo de temps en temps de faire un tour des deux cotés de la balance . Hop in comme on dit :P.Je plussoie sinon à force tu oseras même plus rédiger de critiques et finiras par te bloquer. Au vu de ton post et de ton activité régulière sur le topic critiques (parfois excessive, façon inspecteur du Guide Michelin... :P ) je sens bien que tu prends toussa au sérieux et que tu es quelqu'un appréciant les critiques et même l'écriture de manière générale.
tomber dans l'analyse pure ou le compromis d'objectivité.J'ai justement cette impression que les critiques essayent de trop bien faire, à faire des trucs un peu trop académiques, et finissent par oublier l'esprit du passionné.
Celles qui véhiculent de manière intelligible et concise l'avis que la personne se fait d'une oeuvre, sans ne jamais tomber dans l'analyse pure ou le compromis d'objectivité. Une critique n'est pas une thèse sur l’effondrement du marché de l'immobilier, ni une vitrine ou les gens attendent que tu dises la même chose qu'eux ( un peu, mais c'est stupide), et donc je n'en attend rien d'exhaustif.Et pourtant, en lisant le message de Nox, ma première pensée a été comme lui pour la critique de Miscelaneous, qui est en soit très analytique. C'est flagrant sur celle de Parasite, mais c'est aussi le cas pour celle de Your Lie in April, car si pour cette critique il y a un volet subjectif, je le vois surtout comme un argument d'autorité (moi musicien, j'aime cette série ayant pour thème la musique).
Une critique doit donner suffisamment d'informations sur le support en question sans pour autant oublier de faire partager ses idées ainsi que son ressenti personnel.L'avis personnel est en soit le moins intéressant, car c'est la partie de la critique qui est la plus efficacement résumée avec la note.
La grande force de cet anime est de ne pas montrer à quel point il est intelligent : il emploie en permanence la caricature et la finesse simultanément, le rire et les larmes, l'hystérique et le mélancoliqueÊtre maniaco-dépressif est signe d'une pathologie, pas d'une intelligence, donc soit l'anime est vraiment intelligent et la démonstration est incomplète, soit l'anime n'est pas intelligent, mais seulement sa construction.
plus beaux du site justement par la puissance de l'émotion et du ressenti.C'est une idée très intéressante dans le sens ou on peut la reprendre autrement. Les critiques dites « amusantes » font également partie du critère des émotions et du ressenti, et pourtant, je suis sûr que vous les trouverez moins belles à lire.
Comme Alice je trouve les critiques personnelles plus intéressantes car les axes de lecture sont souvent plus variés que les « graphismes », « l'histoire » et les « personnages ».
Rakudai Kishi a beaucoup fait parler de lui à cause de sa curieuse ressemblance avec Asterisk War, on y retrouve grosso-modo les mêmes histoires de tournoi, avec les mêmes héroïnes, les mêmes univers basés sur les mêmes pouvoirs magiques, et les mêmes objectifs de « victoire à tout prix !» pour les deux héros : ne vous laissez pas abuser, pointer du doigt des similitudes c'est énoncer l'évidence et l'opposé est bien plus proche de la réalité.Rakudai n'a pas fait "beaucoup parler de lui". Si on compare avec One Punch Man qui était diffusé en même temps, on peut même dire que cette série est presque passée inaperçue (comme la plupart des animes de cette saison d'ailleurs). L'amusement provoqué par sa ressemblance avec Asterisk lui a accordé une attention un tout petit peu plus élevée que la moyenne de ce genre de série ultra niche, c'est tout.
Les similitudes en elle-mêmes ne sont pas si flagrantes, les yeux sont plus détaillés dans Asterisk, à l'inverse de Rakudai, et que, si les deux héroïnes ont la même couleur de cheveux, l'une a les yeux bleus et se révèle plutôt plate (Julis), tandis que l'autre a les yeux roses, une grosse poitrine et porte des couettes (Stella) : elles se ressemblent mais ne sont pas identiques.C'est dommage que le tout premier argument de ta critique concerne un détail esthétique sans importance. Ce n’est pas la taille du tour de poitrine qui caractérise un personnage ; le fait que Stella et Julis soient toutes les deux des princesses d'un pays étranger et maîtrisent toutes les deux la magie du feu sont des points de ressemblances bien plus pertinents que la différence de couleur des yeux.
On pense à croire que ce n'est pas si fondé, que les auteurs nous prennent pour des idiots qui recueillent d'un air béat tout ce qu'on leur incombe avec satisfaction, et bien non : si on passe les détails sur l'excellente mise en scène de l'anime, Rakudai se distingue sur deux choses : la romance et le personnage principal.La mise en scène d'un anime n'est pas un "détail", en particulier si tu la qualifies d'excellente ! Au contraire c'est un point très important qui doit faire l'objet de développements.
Les deux héros s'aiment et ne se regardent pas sans réagir, se questionnent sur leur avenir en tant que couple, et la question du mariage a même été évoqué ; ce qui va fondamentalement plus loin que tous les animes du genre.le mariage a été mentionné dans une réplique du dernier épisode pour faire passer à un stade supérieur la relation des deux protagonistes. C'est un plot-device, pas une thématique de la série.
La série pourrait continuer ainsi indéfiniment, Ikki et Stella déjà dans la place, il n'y avait pas besoin de plus pour faire un bon anime.Dans ce cas la critique s'arrête ici. A partir du moment où tu continues la critique et où tu cherches des défauts, alors ça signifie que non, Stella et Ikki ne suffisent pas à tenir à bout de bras la série.
On a donc, sous nos yeux ébahis, de longs et inutiles épisodes qui nous montrent le passé Ô combien tragique de secondaires dont on se fiche éperdument, ou le héros, toujours animé par de bonnes intentions, va les soulager de leur souffrance et par la même occasion perdre du temps.Perdre du temps pour quoi ? La narration de Rakudai est structurée par le tournoi auquel participent tous les personnages de l'anime. La série précise à l'épisode 2 que chaque élève doit participer à au moins dix duels au cours de l'année. Le narrateur ne fait pas combattre Ikki au hasard, il se contente de suivre la route qu'il a lui-même énoncé.
La fin est à l'image de ce format, ni prévisible, ni décevante : complètement inexistante, ça, et tout en offrant un combat final plus simpliste tu meurs.Je ne suis pas d'accord. La fin de la série st satisfaisante dans la mesure où tous les enjeux soulevés au cours de la série ont été résolus. Ikki a résolu son problème de famille, il a démontré de manière indiscutable qu'il était fort et il a emballé la fille au passage. Dans la mesure où le background de l'univers était très peu développé au delà du lycée des héros, il n'y avait pas eu de frustration à ne pas en voir plus, puisqu'on ne nous a jamais montré à quoi ça pouvait ressembler, on sait simplement que ça existe - exactement comme à la fin de Hunter x Hunter par exemple.
La mise en scène et les efforts du studio Nexus ne parvienne pas à compenser ce manque.La mise en scène n'était-elle pas censée être "excellente" ?
La conséquence de tout ceci c'est que même avec d'amples séquences de combat stylisés, de valeurs à triple-sens, d'ambitions mesurées, et de personnages qui nous parlent d'amour en toute humilité, rien ne trouve un semblant de justesse quand l'anime ne fait que survoler ce qui devrait constituer les points névralgiques de la série.Valeur à triple-sens ? C'est un truc de mathématiques ?
Au départ on pouvait voir en Rakudai comme une sorte de renouveau dans le genre « école de magie », un anime qui se détache un peu des poncifs habituels, et bien non, on ne fait que l'apercevoir. J'en garde tout de même un très bon souvenir, comme celui de l'anime qui aurait pu être le meilleur de sa catégorie, mais qui échoue à cause de débordements trop souvent vu chez les autres pour être admissible.Si ça ne tenait qu'à moi, j'aurais dit que même en dépit de ces débordements, Rakudai est le meilleur de sa catégorie. Mais bon, puisque ce n'est pas ton avis, tu aurais pu terminer en orientant le lecteur vers l'anime qui, selon toi, est meilleur que Rakudai dans sa catégorie.
Rakudai n'a pas fait "beaucoup parler de lui". Si on compare avec One Punch Man qui était diffusé en même temps, on peut même dire que cette série est presque passée inaperçue (comme la plupart des animes de cette saison d'ailleurs). L'amusement provoqué par sa ressemblance avec Asterisk lui a accordé une attention un tout petit peu plus élevée que la moyenne de ce genre de série ultra niche, c'est tout.La comparaison avec One Punch Man est un peu facile dans le sens ou c'est justement l'anime qui a fait le plus de bruit. Faire "parler de lui" ne veut pas dire qu'il a été surmédiatisé, juste qu'il a été l'objet de discussion autre que les classiques retours sur les épisodes.
La mise en scène d'un anime n'est pas un "détail", en particulier si tu la qualifies d'excellente ! Au contraire c'est un point très important qui doit faire l'objet de développements.Disons que je n'ai vu l'intérêt d'en parler, mon axe de critique était déjà fixé au moment de l'écriture, je savais déjà que j'allais descendre la seconde moitié de l'anime. Et par conséquent je ne voyais pas vraiment ou inclure ce passage.
le mariage a été mentionné dans une réplique du dernier épisode pour faire passer à un stade supérieur la relation des deux protagonistes. C'est un plot-device, pas une thématique de la série.
"fondamentalement plus loin que tous les autres animes du genre", j'imagine que tu as vu tous les animes du genre pour énoncer cela de manière aussi péremptoire. Peut-être que c'est le cas d’ailleurs, mais dans ce cas il faut le dire pour donner du poids à cet argument qui en l'état n'est qu'une formule lancée en l'air.Oui, j'ai vu tous les animes du genre, mais j'ai du en oublié certains dans mon animethèque auxquels je ne me souviens pas des noms. Je peux éventuellement modifier le passage si ça peut te faire plaisir. :)
Perdre du temps pour quoi ? La narration de Rakudai est structurée par le tournoi auquel participent tous les personnages de l'anime. La série précise à l'épisode 2 que chaque élève doit participer à au moins dix duels au cours de l'année. Le narrateur ne fait pas combattre Ikki au hasard, il se contente de suivre la route qu'il a lui-même énoncé.Ah oui et le passage avec Ayatsuji, la fille avec la frange sur l’œil ? Est-ce qu'il a influencé une seule seconde le parcours de Ikki, si ce n'est consommé trois épisodes pour des personnages qu'on ne reverra pas ? Et la prise d'otages à l'épisode 3 ? Et à l'épisode 9, on aurait pu avoir un combat au lieu d'aller au chalet, non ?
Je ne suis pas d'accord. La fin de la série st satisfaisante dans la mesure où tous les enjeux soulevés au cours de la série ont été résolus. Ikki a résolu son problème de famille, il a démontré de manière indiscutable qu'il était fort et il a emballé la fille au passage. Dans la mesure où le background de l'univers était très peu développé au delà du lycée des héros, il n'y avait pas eu de frustration à ne pas en voir plus, puisqu'on ne nous a jamais montré à quoi ça pouvait ressembler, on sait simplement que ça existe - exactement comme à la fin de Hunter x Hunter par exemple.En fait, comme l'anime a passé la moitié de son temps à voguer ailleurs, la fin m'a déçu dans le sens ou le temps perdu aurait pu servir à autre chose, notamment faire ce fameux "tournoi". Du coup on se retrouve avec une fin « Bisou à la prochaine saison !» qui n'arrivera surement jamais.
Valeur à triple-sens ?Valeur à triple-sens = discours de généralités sur l'amitié, la gentillesse etc.
Si rien ne trouve un semblant de justesse, où est passée la "mise en scène excellente" ? Où est passée la romance "fondamentalement" meilleure que dans les autres animes de genre ? Où est passé le personnage principal "charismatique" ? On ne peut pas passer toute une critique a relever des qualités pour ensuite tout foutre à la poubelle quelques lignes avant la fin. Une critique n'est pas un texte de fiction, il n'y pas de suspense ou de retournement de situation : dès les premières lignes, le lecteur doit être capable de savoir quelle est ton opinion.Rien ne trouve un semblant de justesse à partir du moment ou l'anime le fait une fois sur deux, la romance ne revient pas si souvent tout comme le charisme de Ikki ne revient que lors des combats et finalement très peu général. Ce qui faisait son charisme c'était justement cette idée qu'il ne partait de rien pour s'élever au niveau des plus forts, sans jamais s’apitoyer sur son sort et sa vision d'aller toujours plus loin.
Si ça ne tenait qu'à moi, j'aurais dit que même en dépit de ces débordements, Rakudai est le meilleur de sa catégorie. Mais bon, puisque ce n'est pas ton avis, tu aurais pu terminer en orientant le lecteur vers l'anime qui, selon toi, est meilleur que Rakudai dans sa catégorie.Trop subjectif pour être dit. Ça aurait créé trop de malentendus.
En général sur ta critique, j'ai l'impression que tu a beaucoup aimé la série, mais que pour une certaine raison tu n'a pas pu te résoudre à en dire du bien. D'où ces développements confus au sujet des personnages secondaires, pour essayer tant bien que mal de montrer que Rakudai c'est super cool mais qu'en fait c'est pas bien.J'avais un avis très entrecoupé, et apparemment j'ai mal fait la part des choses. J'en tire une bonne leçon et je retiendrais ce qui a été dit ici. Merci de ton avis. ;)
Trop subjectif pour être dit. Ça aurait créé trop de malentendus.
[...]Aaah mais tellement... +1!
Moi aussi j'ai toujours les bons arguments pour défendre la moindre virgule de mes textes, mais il m'est déjà arrivé de revenir dessus plusieurs mois après, et c'est fou comme les critiques sont souvent bien plus juste qu'on ne le croyait sur le vif.
D'ailleurs le message pour être déplacé dans le topic de Rakudai.Pourquoi ? Il n'y a pas de raison, Deluxe te parlais pas de Radukai, il te parlais de ta critique. Certes il reprend quelques éléments de l'anime et t'en parle vite-fait mais c'est un peu obligé. Apres je crois que l'essentiel de son post consistait à t'entretenir au sujet de la rédaction de ta critique. Ta façon d'amener les choses au début, de poser tes arguments, de les développer ou pas, la construction, le rendu au final, etc. Bref, de te donner son avis en y apportant quelques axes de réflexions que tu devrais prendre le temps de bien analyser en vue d'une amélioration de tes prochaines critiques. Parce que c'est de ça dont il etait question et de rien d'autre. Nous sommes bien dans le sujet du topic.
Conseil : Ne commencez pas votre critique avec des arguments d'autorité du genre "cet anime a beaucoup fait parler de lui parce que je le dis"Clairement, sinon ca fait déjà redondant dés la premiere phrase et donne l'impression que c'est bidon ou que l'auteur se donne un genre. Dans ton cas il aurait fallu développer comme tu viens de le faire.
C'est dommage que le tout premier argument de ta critique concerne un détail esthétique sans importance.Clairement mais tu peux très bien en parler si c'est important pour toi mais à condition d'ettofer un peu plus et autrement derrière. C'est mieux. D'ailleurs ce qu'ajoutait Deluxe m'a donné envie de considérer cet animé, tandis qu'à l'inverse ton intro comparative me donnait envie de fuir en poussant un gros rire de malade.
En revanche, le fait d'annoncer clairement que ta critique sera axée sur deux points précis et une bonne chose car cela donne d'emblée une structure.En plus de la structure ça apporte de la clarté. Bon point, il faut continuer dans ce sens.
La mise en scène d'un anime n'est pas un "détail", en particulier si tu la qualifies d'excellente ! Au contraire c'est un point très important qui doit faire l'objet de développements.D'autant plus que le développement c'est ce que tu fais souvent remarquer aux autres comme quand tu denonces les phrases toutes faites et les détails qui tiennent en une ligne. Tu peux dire ce que tu veux mais pourquoi faire une phrase si élogieuse si ce n'est pas pour développer derrière. Dans ce cas mieux vaut s'abstenir. Bref, je m'attendais a ce que ce soit developpé par la suite, mais non rien n'est venu. Dommage parce que c'est le genre de detail qui peut m'accrocher d'avantage, voire me donner envie de m'intéresser à une oeuvre, à celle-ci en l'occurrence.