C,est vrais que dans le 23, ils ne se passe rien mais dasn les scan depuis quelques semaines, il y a beaucoup de combat. C'est jouissif, il se passe que Myamoto Musashi est en plein combat pour sa survit, c'est pas comme dans ses autres combats, c'est une raison différante! :mellow:
Après la mort des deux frère du doj Yoshioka, Myamoto Musashi doit tué 70 hommes du dojo Yoshioka qui on pour nouveau chef Ueda Ryohei. J'ai hâte de voir si Kojiro Sasaki va se mêler au combat, plus tard.
Chapitre 160
Quelques petites interrogations sur Sasaki Kojiro. J'ai du manqué une planche ou deux.
On termine sur Musashi Miyamoto par son combat magnifique comme d'habitude contre le dieu de la mort Shishido Baiken alias Tsujikaze Kohei, après ce combat on jump en arrière à 17 ans avant la bataille de Sekigaharaqui entre parenthèse n'a duré qu'un jour historiquement. Donc 17 ans avant de rencontrer Takezo Shinmen et Matahachi Hon'iden sur ce célèbre champs de bataille.
Au chapitre 54 il est mention d'un Sasaki Kojiro ayant maitrisé le style Chujo et dont Matahachi a repris l'identité...
Au chapitre 128 débute l'histoire de Sasaki Kojiro adopté par Kanemaki Jisai...
Mes questions concernent donc un ordre chronologie que j'ai du mal à identifier.
- Est ce qu'il y'a un lien quelconque entre Sasaki Kojiro (le premier) et le fils adoptif de Kanemaki Jisai?
- Est ce qu'il y'a un lien tout court entre Jisai et Sasaki Kojiro (le premier) tout simplement?
- Le bébé serait-il l'enfant d'un des disciples de Jisai?
- Si cet évènement s'est passé 17 ans avant la bataille de Sekighara, cela signifie que Musashi et Sasaki ont le même âge maintenant. (Question rhétorique mais qui nécessite quand même une réponse)
- Le moine a rencontré Sasaki Kojiro sur son chemin vers les Yagyû... C'était avant ou après qu'il fasse la connaissance de Takezo?
Voilà, si quelqu'un pouvait éclairer mes petites lanternes.
A vot' bon coeur!
Première question:
Il n'y a qu'un seul Kojiro et c'est le fils adoptif de Jisai
Deuxième question:
Bien sur, il n'y a qu'un Kojiro et bien sur qu'ils ont une relation, c'est son père adoptif
Troisième question:
Si je me souviens bien, je crois que oui, mais il faudrait que j'aille chercher l'information
Quatrième question:
Oui, ils ont le même age dans le manga.
Oh là garçon! Tu m'embrouilles encore plus les pensées. :D
Le sabreur à qui Matahachi vole le certificat est-il (un autre) Sasaki Kojiro ? c'est ce que j'ai cru après lecture du chapitre 54.
Il y a un seul Kojiro et c'est le sourd. Matahachi a volé le papier qui était supposé être à Kojiro Sasaki.(le gars qui est mort faisait parti de l'école de Jisai) Il se fait croire qu'il l'est, mais il y a seulement un Kojiro. Si tu ne me crois pas, bien je ne peux pas t'aider .
Fais moi confiance, ça m'est revenu et en plus, j'ai lu les deux romans.
Ça, ça ne m'explique pas chronologiquement à qui s'adresse cette certification et d'où elle vient...
Il n'est pas question de te croire ou pas mon bon shadow, il est question de m'expliquer clairement comment a+b=d et non c, alors que là tu me dit simplement que c c'est c.
Non, ce n'est pas un autre Kojiro, c'est un élève de l'école Jisai qui est supposé aller remettre se certificat à Kojiro
Non, ce n'est pas un autre Kojiro, c'est un élève de l'école Jisai qui est supposé aller remettre se certificat à Kojiro
Ah c'est, Kusanagi Tenki? :o
Il a été envoyé par Jisai après le départ de Kojiro avec Yagoro Ittosai (le fondateur de l'Itto-ryu)...
Otsu est quand même presque pareil, mais elle a la vie beaucoup plus dure dans le roman (la pauvre) que dans le manga (cela dépend où tu es rendu. Cela se peut que je mélange les 2 parties du roman) :
Matachi est beaucoup plus méchant avec elle et la grand-mère est tout à fait plus désagréable et méchante avec elle. Il y a plusieurs moment où tu veux la mort de la grand-mère. Elle veut la mort de Musashi.
Pour Akemi, elle est beaucoup plus amoureuse de Musashi. De tout façon, tu as surement remarqué que Musashi et l'amour cela fait deux choses différentes.
Il a un combat contre les disciples, un rencontre avec Otsu et un brève moment avec Yagyuu lui-même. Le tout se passe pareil.
Les élément qui diffèrent (attention sur le spoil du livre et du manga):
Musashi:
Dans le roman, il a un réputation de froussard (même si ce n'est pas vrai), attitude carrément différente. Il est enfermé pendant un an dans un château. L’événement contre les Yoshioka est très différent. Il y a beaucoup de ronins qui veulent se venger de lui.
Kojiro Sasaki:
Arrogant dans le roman, essaie de baisser la popularité de Musashi et essaie de lui mettre des bâtons dans les roues. Il est sourd dans le manga et beaucoup plus puissant. Enfin, les deux Sasaki sont totalement différents. Ils n'ont rien en commun. Inoue crée son passé et c'est très bien.
Itto Itousai
N’apparaît pas dans le livre, on attend juste son nom à plusieurs reprise. Donc, c'est un gros plus dans le manga.
Seijuro Yoshioka
Sabreur très ordinaire si on le compare avec le manga. Il devient même moine dans le roman. :D
Enfin, je pourrais continuer avec d'autres personnages mais je vais m'arrêter là.
Sinon, tu auras la chance de voir Yukimura Sanada dans la parfaite lumière.
On aura sûrement l'occasion de recauser. J'ai Au Bord de L'Eau sur ma table de chevet ~
Oui, j'ai lu Water Margin et j'ai vu la version de 97. Le drama de 2012 aura bientôt des sous-titres. Tu as quel version? Il y en a beaucoup et c'est comme lecture. Un des classique de la littérature chinoise avec Romance of the three kingdoms.
Les scans ont reprit pour ceux que ça intéresse, deux chapitres de sortis, les 323 et 324 :
L'histoire pas de problème : Musashi quitte enfin son petit village et oublie l'agriculture pour se reconsacrer au sabre, tandis que Kojiro apprend les coutumes de la noblesse d'un guerrier. Ca me plait bien tout ça, y a matière à bien développer avant d'arriver au probable face à face, notamment du côté de Kojiro et son éducation.
Par contre... Je suis désagréablement surpris de la qualité des dessins, du charadesign plus précisément. Je sais pas si c'est de la négligence (ce qui m'étonnerait d'autant plus) ou un nouveau style mais je trouve que c'est plus brouillon.
Ah oui même sur le chap' 322 c'est ça en fait. C'est peut-être le fait d'en avoir lu 322 d'un coup qui m'a fait l'effet d'un changement après la longue pause. J'espère en tout cas qu'on retournera à l'ancien style d'ici la fin du manga...
Ce serait dommage d'avoir un combat Musashi vs Kojiro avec ce "style".
Mais le roman est fini depuis fort longtemps. Le roman a été paru en 1935, donc c'est vraiment un classique nippon.
Sinon, il y a aussi un livre que le vrais Musashi a écrit que j'ai lu, mais là il faut être un pure fan du personnage historique.
Ouais je me suis spoilé la fin du manga en allant sur la page wikipédia de Miyamoto Musashi, dégoûté... Quand tu mentionnes un livre écrit par miyamoto, tu parles du traité des cinq roues il me semble, il est bien ? J'ai toujours voulu le lire.
C'est hors sujet mais je garde comme meilleur souvenir de la lecture le passage où il se farcit 70 hommes pendant toute une nuit. =D Phénoménal.
En même temps Vagabond, c'est THE masterpiece. :ph34r:
Bref, kiffe bien ta lecture !
Merci Doudou :).
Parfois t’as tellement de tapage autour d’une œuvre que les attentes deviennent trop importantes et s’en suit une déception.
C’est pas le cas ici évidemment.
Au delà de l’histoire en elle même, les quêtes des différents personnages, chacun a sa manière qui te pousse à te poser des questions. Il y a celle de l’auteur, tu sens que le gars cherche à atteindre son sommet à lui, tu le vois à travers l’évolution de son dessin. C’est beau et presque aussi émouvant que les personnages du manga.
Je comprends mieux les paroles du mister Dreg' et monsieur Deluxe. Ils me disaient il y a deux ans :
Les premiers tomes sont presque des gribouillages par rapport à ce que Inoue-sensei délivre par la suite.
Et là dis-toi que c'est rien du tout... En plus ce n'est que les débuts mais ils sont importants vu que tu apprends a connaitre les personnages. Sinon il faut une bonne quinzaine de tomes (au minimum et encore) pour mesurer l'ampleur du truc. ... Niveau dessin, par la même occasion tu verras les personnages et le coup de crayon de l'auteur évoluer (tout est fait à l'encre de Chine ce qui n'est pas simple d'utilisation mine de rien). Après tu as des combats (parfois beaucoup) mais tu auras aussi des instants calmes (beaucoup aussi) mais tout aussi intéressants/importants.
Bref, Choub, en plus du cadre d'époque tu verras les personnages se battre, s'entrainer, changer, évoluer, réfléchir sur le sabre et sur la vie au sens large du terme et plein d'autres choses. Profites-en bien.
Il y a même des moments de douceur et de romantisme, c'est fugace mais ils y sont haha ! Pour mon plus grand bonheur ^^.
J'ai retenu aussi que le manga reprenait le début du livre puis s'en éloigne à un moment donné. A quel moment ? Je suis au tome 18.Kojiro est adolescent, il quitte son papa adoptif et part à la conquête du monde avec son nouveau maitre.
Je tiens à préciser que je ne connais pas du tout l'histoire ni le personnage historique, et je veux rester dans mon ignorance pour découvrir le manga vierge de tout. Ne me spoilez pas s'il vous plait :-[.
Faire un démarquage net est compliqué. Déjà il me semble qu'Inoue marque une petite rupture dès le début, je mets sous spoil au cas où :
Dites moi si je me trompe, mais il me semble qu'au début de Vagabond, on a pas le passage où Takezô passe des années enfermé à lire.
Puis le personnage de Sasaki Kojirô est très différent d'une oeuvre à l'autre. Et rien qu'avec ça, Inoue a déjà créé une oeuvre qui se démarque du roman de Yoshikawa je trouve. De mémoire y a aussi quelques différences avec d'autres personnages (là je pense à un Yoshioka). Pour cette histoire de mérite, Inoue arrive quand même à raconter l'histoire à sa manière, dans un art bien différent aussi. Il s'est approprié l'oeuvre sur le fond comme la forme pour en faire une oeuvre unique.
Perso' je trouve que l'intrigue décolle vraiment après le tome 10.
Quand il se met à gérer quatre épéistes à la fois, mais que le bâton ne suffit plus, qu'il faut passer au vrai katana. 8)
C'est vrai que c'est lent, mais en contrepartie ça se lit assez vite. Il n'y a pas beaucoup de dialogue, si ma mémoire est bonne. A contrario, des mangas comme Death Note se déroulent à 200km/h. C'est plié en douze tome, mais t'as tellement de bulles à lire que c'est le double ressenti.
Pourtant entre le début et les Yoshioka c'est peut-être bien là que le rythme est le plus soutenu. Comme le dit Choub c'est vraiment posé. Je suis pas sûr que le rythme soit lent. Ca dépend de ce qu'on regarde peut-être. Musashi ou Kojiro sont en constante évolution, même quand on a l'impression qu'ils font peu de chose, chaque étape est vraiment une avancée en soi plutôt qu'une transition. Je vais essayer de donner un exemple (sur les chapitres les plus récents, je précise au cas où) :
Quand Musashi devient paysan. Ca intervient après de longues années de combat et même si il passe son temps à cultiver et à mettre des coups de sabre dans le vide, y a une réelle réflexion sur le passage du meurtre pour prouver sa force à une tentative de donner la vie. Le scénario est presque en pause, dans le sens où y a pas de grandes péripéties ni de gros changement une fois qu'il se pose dans le campagne. Mais le personnage par contre en est à une étape d'apprentissage assez intense finalement, parce qu'il sort de sa zone de confort.
Inoue est intéressant à ce sujet d'ailleurs. Quand on lui a demandé si il pensait à tout en même temps au moment de réaliser le storyboard, il a clairement dit que le développement du personnage passait avant le scénario. Pour lui y a clairement une priorité et si on se fit surtout au scénario ça peut paraitre très lent. Par contre au niveau des personnages y a une réflexion en continue qu'on trouve pas toujours dans l'Habitant de l'Infini. Ne serait-ce que sur le début, le développement de Manji est lent, on s'intéresse vite fait à lui. Inversement dans Vagabond, Musashi ou Kojiro prennent toute la place.
Je te rejoins aussi sur le fait que le manga vagabond surpasse les romans pour diverse raison comme le manga a plus d'actions et il y a aussi le cas Kojiro qui est tellement différent. Je préfère aussi la verison de Musashi du manga . Inoue, c'est un big boss. Il dois être le deuxième mangaka au Japon avec le plus de vente(seulement les ventes au Japon) Vagabond qui surpasse les 60 millions de ventes, Slam Dunk surpasse les 170 millions et Real qui est environ 15 millions de ventes.
Je préfère te répondre sur ce topic du coup. En tout cas on est synchro. Puis au passage tu fais bien de rappeler l'engouement qu'à suscité Slam Dunk à une époque (et qui perdure même encore au-delà du temps) parce que on a tendance à l'oublier. C'était l'un des premiers gros cartons du WSJ a dépasser la barre des 100 millions. Sinon tout comme toi je préfère le Musashi du manga (période Takezo incluse), je le trouve moins austère et un peu plus gaillard. Pareil pour Matahachi ou par exemple les frères de l'école Yoshioka, je les préfère dans le manga. Je trouve que Inoue a croqué et sublimé tous les personnages du roman qu'on a pu croiser jusqu'ici. Puis la réécriture / la ré-interprétation de Kojiro Sassaki c'est juste la cerise sur le gâteau et la preuve manifeste de son immense talent. Il a fait de ce personnage quelque chose de beaucoup plus intéressant. Son Kojiro me fait penser à un ancien génie du ballon rond, un certain Ronaldhino mais en version sabre : c'est-à-dire le génie inné + le sourire et l'insouciance qui vont de paire. Sans omettre de reconnaitre à Kojiro l'élégance et l'apparence physique en prime. Sinon ils ont la même maitrise absolue de leur art avec les défauts inhérents de l'homme, c'est à dire un certain relâchement et une propension pour les plaisirs (les femmes par ex). Sans compter l'idée du handicap, un détail qui te le met direct sur une autre planète.
Merveilleux.
Alors j'exagère peut-être un peu avec le parallèle au footballeur, mais bon, ça m'amuse. Ce n'est pas si incongrue je trouve. Je sais que certains amateurs de ballon me comprendront. Les autres j'espère qu'ils sauront me pardonner cette comparaison. Bref. Pour terminer sur un dernier point important: le Kojiro du roman a quelque chose d'antipathique même de vil, alors que dans le manga ce n'est pas le cas en plus d'avoir bien plus de charisme, donc on s'y attache. Et forcement on pas tellement si envie que ça de le voir connaitre le même destin que son homologue du roman.
J'espère que Inoue reprendra un de ces quatre, d'en parler ça commence à me manquer.
Ps: à la limite si il y a un personnage que je souhaiterai voir mis en avant et être sublimer d'avantage par la suite ce serait Otsu. Il faudrait que je relise et compare à nouveau les deux supports mais dans le roman je lui ai trouvé un petit quelque chose de plus. D'assez touchant du fait de qu'elle soit orpheline, voire même un supplément d'âme qui force l'admiration (son abnégation dans l'entreprise qui est la sienne et les sentiments qui sont les siens à l'égard de notre héros. Ça ressortait mieux.
Après je n'oublie pas que même si le manga a pour lui la force des images, pour le texte c'est plus limité. Un roman de par sa nature permet de mieux approfondir et d'avantage rentrer dans les détails. D'ailleurs quand je dis ça en fait je me rend compte encore mieux du tour de force réalisé par Inoue. Il mérite qu'on le félicite.
La relation entre Takezo et Otsu est très pudique, c'est blindé de non-dits. Surement parce qu'elle est illégitime déjà (elle était promise à son meilleur pote, ça la fout mal). Mais même, dans le manga c'est très peu mis en avant, à tel point qu'on a aucune idée de pourquoi ils ont des sentiments l'un pour l'autre. De toute façon, toute forme de laisser-aller va à l'encontre du credo de Takezo. On le voit d'ailleurs assez bien avec le traité des 5 roues, le mec mène une vie monastique.