FICHE TECHNIQUE
TITRE ORIGINAL : Maison Ikkoku
ANNÉES DE PRODUCTION : 1986 - 1988
STUDIOS : STUDIO DEEN & KITTY FILMS
GENRES : Comédie, Amour et amitié
AUTEUR : Takashi Rumiko
VOLUMES & DURÉE : 96 eps 25 mns
(http://img34.imageshack.us/img34/3378/ikkoku.jpg)
Synopsis soumis par Pharaoh
Godai, c'est un raté, un "ronin". Il a plusieurs fois échoué aux examens d'entrée à l'université. Pas faute d'avoir travaillé, non... mais comprenez bien qu'entouré d'une bande de collocataires fêtards et bruyants, qui baffrent et boivent à discrétion, il devient difficile de se concentrer. Qui résisterait à l'appel d'Akemi, belle plante en tenue légère, aux voficérations de la vieille dodue Ichinose, à l'esprit détraqué et ravageur de Yotsuya ?
Dans le pensionnat "Ikkoku-kan", la vie suit ainsi son cours, dans le désordre et le vacarme. Mais le gérant, un vieillard, annonce qu'il va prendre sa retraite et bientôt avoir un remplaçant... Ou plutôt, une remplaçante, la charmante, patiente et jolie Kyoko. Godai en pincerait pour la nouvelle recrue ? Pas impossible.
Pour ceux qui s'y sont frottés ou pas encore Maison Ikkoku "juliette je t'aime" est une des plus grandes œuvres de Madame Rumiko Takahashi qu'on ne cite plus, diffusé entre 1986 et 1988 au Japon cette série compte à son actif une adaptation anime qui compte 96 épisodes, 2 OAVS, un film Maison Ikkoku Kanketsu-Hen et une réalisation d'un Film Live en 2007 avec la très jolie Misaki Ito entre autre pour ceux qui la connaissent.
Alors ce que nous pouvons savoir sur cette série c 'est qu'elle tourne autour de séquences humoristiques et sentimentales mettant en avant les principaux protagonistes :
Kyoko Otonashi : Juliette Rosier récemment devenu veuve elle est la nouvelle responsable du pensionnat.
Yusaku Godaï : Hugo Dufour garçon indécis, timide et étudiant de son état.
Shun Mitaka : François Talmont le mec au sourire étincelant, professeur de tennis et playboy.
On constate avec brio le travail de Madame Takahisho qui a su faire de cette série une histoire qui ne laisse pas indifférent/e sur le fait principal que la trame relate des scènes de la vie quotidienne japonaise de telle manière qu'on pourrait s'identifier aux personnages (moi à la recherche d' un boulot, vive la vie d' étudiant ! :'().
Un point marquant de cet anime pour l'époque c'est la réussite au niveau du doublage en français que je trouve correct et de bons OST.
Alors avis aux fans de Shojo ou d' animes mêlant amour et amitié, il est impossible de passer à coté de cette série qui constitue une référence dans le genre et un classique qu'on ne peut se permettre de manquer pour sa "culture anime".
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Il y a des hérétiques qui matent cette série en VF ? Ken vous a pas suffi ? Quand je vois des "Hugo Dufour crématoire", je vomis. Bref, comme j'avais vraiment plus rien sous la main j'ai franchi le pas de ce monument de la romcom. Après une vingtaine d'épisodes, je comprends la réputation. L'humour est décapant. Mon seul problème jusqu'ici, c'est la répétitivité de l'histoire. Comme tout le pitch se résume à l'amour impossible Godai / Kyoko, ça a tendance à faire du sur-place pendant de nombreux épisodes. Heureusement que l'humour fait passer la pilule (l'épisode avec le chat est délirant par exemple).
Sinon j'ai un peu la rage pour Kozue. Je veux dire : le père Godai poursuit une femme dont il sait qu'elle est inaccessible alors qu'il en a une autre juste sous son nez bien moins compliquée. Enfin bon, l'histoire serait bien moins intéressante si c'était le cas pas vrai ?
A suivre donc, mais jusqu'ici c'est du tout bon. J'ajouterais aussi que les timeskip aident bien à donner de la densité à l'ensemble, et ça j'apprécie toujours. Les meilleurs animes sont ceux dont les personnages évoluent dans le temps, je ne le dirais jamais assez.