Je ne peux pas vraiment parler de peur mais plutôt de classe. Sans aucun doute en tête de liste: Cell de DBZ
(http://img522.imageshack.us/img522/9400/cell.jpg) (http://img522.imageshack.us/i/cell.jpg/)
Le méchant de Nadia avait pas mal de classe aussi, c'est clair.
Ah si, "Il" m'a fait vraiment peur (j'aime pas les clowns en plus et il m'a pas aidé ce c** çç)
Je le revois arraché le bras du gamin, avec ses grandes dents, et avec ses ballons sur le lac. Salaud :D
J’ai constaté que lorsqu’un film, jeux vidéos ou formes littéraires marchaient, il y avait en général un personnage malfaisant ou méchant qui avait du succès. Ce méchant arrive même à voler la vedette aux gentils. Est-ce parce que les vilains ont la classe, dégagent un envoûtant charisme, leur côté obscure est attirant… ? Je ne peux le dire.
Citons quelques exemples de « méchants » qui ont marqué les esprits (mon répertoire étant plutôt mince à l’heure actuelle).
Hisoka de Hunter X Hunter s’avère être un personnage excentrique et déjanté. Malgré son aura maléfique terrifiant, il dégage un certain charme. Sa tenue vestimentaire de clown et son maquillage transmettent ce côté extravagant. En plus, dans sa tenue « normal », je ne peu nier qu’il a du charme. A mon sens, il est le bad boy par excellence. Mais c’est du parti prit car j’adore ce personnage.
Sephiroth de Final Fantasy VIII est aussi un personnage qui a marqué les esprits. Là encore, je ne comprends pas. Qu’est-ce que cet individu a fait pour qu’il ait autant de succès ? Dans le jeu, il y a deux scènes qui, à mon sens, le mettent en valeur :
La scène où on l’aperçoit disparaître dans les flammes et reprit dans Advent Children et la scène où il tue Aeris (A l’époque j’étais dans le même état de colère que les protagonistes principaux)
Pierre de Chocolat et Vanilla ; sugar sugar rune (faudra aussi que l’on m’explique pourquoi on l’écrit de cette manière en écriture romaine car en katakana cela se lit shuga shuga run mais passons) qui est distant, froid voire glacial mais à la classe.
Il s edégage aussi du Caméléon dans Angel Heart un je ne sais quoi de déjanter qui me fascine.
Certains gentils peuvent être aussi classés comme des méchants tel que Riku de Kingdom Hearts vacillant entre la lumière et les ténèbres.
Je pourrai énumérer d’autres personnages mais le mieux est d’en discuter. Non ?
Ah oui, j’aimerai aussi que l’on définisse ce que l’on entend par charisme, classe, froid/glacial car à mon sens, nous avons tous une manière différente d l’interpréter. Je signale aussi que le sujet porte sur les méchants et non les méchantes (même s’il faudrait leur porter un sujet à elles aussi. Si vous voulez en parler il n'y a pas de souci pour ma part.)
Dans le Roi et l'Oiseau, il y a le Roi bien sûr, la statue sur son cheval, mais aussi tous les policiers au service du roi, et surtout le chef de la police royale bien bête et méchant comme il faut ^^ (Ah, Le Roi et l'Oiseau, mon film préféré)
Quant au petit soldat, Nakei a raison. C'est un des courts-métrages de Grimault présent dans l'édition double DVD. Le méchant dans cette adaptation, c'est diable de la boite. Très réussi, je suis d'accord. :)
Concernant des méchants dans les films et séries...
Il y a le juge Demort (je ne connais pas son nom américain) de Roger Rabbit qui a déjà été cité et qui m'a marqué, surtout la scène finale avec la trempette :D
Je fonds !!!! ah !! Je foooonds ! Nan, mais quel monde ! Oarg...
En fait, les méchants "bêtes et méchants" du style sorcières ou extraterrestres gluants m'ont toujours plus fait rire qu'autre chose, sans vraiment me faire peur, ni me marquer. Le méchant dans The Mask aussi qui me faisait bien marrer aussi. Et les contes de la crypte aussi, la série d'histoires d'horreur plus ridicule qu'effrayante. ^^
En revanche, je me souviens que gamine, ma mère nous avais acheté des cassettes audio d'histoires qu'on écoutait avant de dormir. Et vers la fin de la bande, alors que mon frangin dormait depuis longtemps, il y avait une histoire qui me fichait une trouille monstrueuse.
C'était l'histoire d'un petit bonze bon à rien sauf à dessiner, notamment des chats qu'il dessinait de manière très réaliste. Un jour, alors qu'il était une fois de plus envoyé dans un nouveau monastère, il fut pris par le crépuscule et contraint de s'abriter dans un temple maudit, hanté par un rat monstrueux. Seul dans le temple déserté, il a dessiné des chats sur tous les murs pour tromper sa peur et au moment de s'endormir, il a une sorte de vision qui lui ordonne de dormir dans la plus petite pièce du temple. Il s'exécute et s'endort épuisé.
Au milieu de la nuit, il est réveillé par des cris monstrueux et des bruits de bagarre. Terrifié, il se rencogne dans un coin de pièce sans oser faire le moindre bruit, et lorsque le silence revient, n'ose pas sortir avant l'aube. Il découvre alors dans la grande salle du temple le cadavre du rat géant dans une mare de sang, et sur les murs, les chats dessinés la veille avaient l'air de se lécher les babines.
Je ne sais pas si quelqu'un d'autre connait cette histoire (j'aimerais bien retrouver le nom et la version audio éventuellement)
Dans tout les cas, la scène dans laquelle le petit moine se cachait dans la pièce en entendant les hurlement de la bagarre me faisait sérieusement flipper. Impossible de m'endormir avant d'écouter l'histoire jusqu'au bout, avant d'être assurée de la mort du rat. Et en même temps, comme je connaissais la cassette par coeur, je savais que cette histoire allait venir et je l'attendais avec impatience.
D'où mon gout pour les histoires fantastiques et les histoires d'horreur ^^