Hahaha ! J’ai ri le Z
J’ai pas encore vu le 4, je crains le pire.
Bon après, pour les gens qui ont lu le manga, il y avait de grandes chances qu’on soit déçues hein, faut pas se le cacher, c’est notre destinée les gars :'(.
Je savais que l’anime n’allait pas égaler le manga, je ne suis pas déçue mais par contre je suis grave frustrée, ça va trop vite sans vraiment accrocher, la mayonnaise ne prend pas, c’est trop haché. Pourtant à ce stade de l’histoire ça devrait !!
Bon après je lis le manga en même temps, chose que je devrais peut-être éviter.
La confrontation entre Makie et Manji dans l’épisode 3 était cool j’avoue
Je suis curieuse de voir l’avis de gens qui ne l’ont pas lu.
Mon mari le regarde avec moi (il fait parti de ces ignorants :wacko:) et il trouve que ça n’a ni queue ni tête. Je le garde encore en haleine en lui disant, t’inquiètes c’est l’effet Pulp Fiction, faut s’accrocher et tout va se mettre dans l’ordre !! Mais ça tarde coumème.
Shira, c'est l'enfoiré de première dans cette série si mon souvenir est bon.
Edit: Episode 8
Pourquoi, on nous coupe les combat de cet épisode.
Sinon, c'est plate de voir qu'on n'a pas eu se suite avec la scène finale de l'épisode 7
Bof, pour les combats mineurs comme ça qui ne changent rien à l'intrigue, c'est pas bien grave. L'essentiel y est: Shira est un monstre sadique et Anotsu s'est joué de Lin et Mugaï-Ryu.
Honnêtement, ils auraient probablement été horriblement mal animées et auraient ralenti l'intrigue, donc c'est pas bien grave.
Je suis évidemment bien plus critiques sur les combats les plus cools et essentiels.
Ma lecture remonte à longtemps et certains détail m'échappe, mais j'avais trouvé le choix de l'auteur douteux:
Je me rappellais que Shira était un enfoiré, mais je me demande pourquoi Rin l'a suivi après avoir vu des trucs. Enfin, elle est ignorante.
En tout cas, on a eu des épisodes cru cette semaine avec Babylon et Blade of the immortal.
Plus qu'ignorante Rin est naïve sur ce coup. Même si elle sait que Shira n'est pas un enfant de choeur et qu'elle perçoit sa dangerosité, elle se fait endormir par sa bonhomie apparente sur quelques segments + le fait qu'il soit de leur coté entre guillemets en plus de faire parti d'un groupe composé de gens qui ont l'air normaux. Et enfin comme elle le dit elle croyait en tirer quelque chose pour sa propre force, du coup elle a pas assez bien évalué la bête et s'est faite avoir au final. Le mec est juste ingérable et complètement cinglé.
C'est clair qu'elle n'aurait jamais dut se retrouver toute seule en doublette avec lui.
Dans le manga je trouvais ce passage plus subtil plus nuancé. J'avais beaucoup aimé la situation et la mise en scène de l'auteur. Très crédible quoi.
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Au niveau de l'anime la direction artistique et la photographie compensent les faiblesses de l'animation. Je n'arrive pas à prendre mon pied avec cet anime comme je l'aurai souhaité et ai été déçu lors de certaines confrontations. Mais bon j'apprécie tout de même le show, d'une pour le genre, et de deux si on doit comparer à la première mouture.
Sinon c'est bizarre cette manière abrupte de conclure certains épisodes (blabla, bim, et direct l'ending).
En même temps, L'histoire est très clairement une quête initiatique de Lin, donc elle était une femme accomplie y aurait pas grand chose à raconter.
Exactement et c'est tout l'intérêt de souligner ses défauts en la mettant dans des situations où ça se verra au maximum. L'intérêt de Rin au début c'est clairement de voir comment une gamine bercée par des valeurs comme l'honneur du clan, une forme de dignité, va se retrouver au milieu de rônin opportunistes et sans pitié. D'ailleurs ça fait toute la force de sa rencontre avec Anotsu qui la met vraiment devant le fait accompli : elle se lance dans une quête qui risque d'aboutir à une évolution qui est loin des valeurs familiales.
Pour ce qui est des adaptations et du manga, un peu comme Dreg, j'ai trop aimé le manga et il y a des choses qu'on perd dans ces adaptations. Bon je m'étendrais pas sur la première tant je la trouve ratée, mais la seconde y a vraiment ce manque de fluidité dans les combats. Ca m'avait marqué ça chez Samura, en plus de la variété des angles. Après Himasaki et son staff font quand même un gros travail pour créer une ambiance oppressante et caractéristique du Japon de l'époque. Les jeux de lumières et les osts, ça marche très bien sur moi. Mais effectivement le rush de l'histoire casse un peu ce rythme installé par la réalisation.
Attention, je viens vider un bon gros sac de fangirlisme !!!
Épisodes 8 et 9 : ça y est, j’y suis maintenant, je kiffe, j’arrive plus a décrocher, que c’était bon ça .... L’histoire de l’épisode 9 est un de mes passages préférés.
Après les histoires racontées à la hache dans les premiers épisodes pour nous embrouiller et nous perdre, vient les passages trash, on découpe, on decapite, on poignarde sans sourciller, c’est le boulot quoi ! Et enfin arrive les moments d’émotions, moi c’est là que je fond ... qu’est ce que c’etait bon :3.
C’était vachement bien en plus avec les images du passé le Rin qui se mélange à l’histoire de Sowa. J’ai adoré.
Je reviens un peu sur la naïveté de Rin. Je n’irai pas jusqu’à la traiter de naïve. Pour moi, elle suis son cœur, elle ne peut pas faire autrement. Elle n’a cessé de prendre des risques depuis le moment où elle a décidé de partir venger ses parents. Le premier celui d’engager Manji, c’est un homme très louche coumème (plus que Shira à première vu). Une tronche patibulaire avec un don extraordinaire (elle peut même pas le butter, il est immortel !!).
Elle est convaincue que pour s’endurcir et devenir forte, elle doit passer par cette cruauté. Elle se frotte à tous ces tueurs en connaissance de cause. D’ailleurs elle révèle ses raisons dans cet épisode 9.
Quand elle dit que abandonner sa quête équivalait à abandonner la vie.
Hannnnn ... c’était beau ça :3.
*Soupir*
Vous pouvez dire tout ce que vous voulez mais l’Habitant de l’Infini est un manga pour fiiiiiiiiiiille \o/
Pfiou, voilà ...
Sinon pour ce que tu dis ici Dragon :
Dans le manga je trouvais ce passage plus subtil plus nuancé. J'avais beaucoup aimé la situation et la mise en scène de l'auteur. Très crédible quoi.
Même impression. Il faut que je relise le tome mais il me semble qu’il y a une explication à leur séparation, qu’ils en discutent avant de le décider. Ils restent très méfiants vis à vis du Mugaï-Ryû.
@Dreg : T'inquiètes c'était pas une contradiction. ;) Et oui dès qu'il s'agit de ce genre d'oeuvres, surtout l'Habitant de l'Infini, je peux pas rater ça. ;D
Pour l'épisode 9, je rejoins en partie Choub
C'est cool de se poser avec Rin et de s'étendre un peu sur un passage de l'histoire pour une fois. Et paradoxalement pour pouvoir s'étendre, il a fallu une séparation totalement rushée avec Manji. Je sais plus si dans le manga c'est comme ça, mais dans cet épisode Manji est limite là pour la forme alors que quand même, Rin s'en va seule.
Épisode 13 : donc finalement le grand méchant de la série n'est pas Anotsu mais Kagimaru, et il est tout aussi énervé du sabre que les autres. Faut dire que le mec est doublé par Jôji Nakata ça donnait une indication assez nette sur la puissance du gars.
Pour le coup c'est le genre d'anime où je n'ai absolument aucune idée de ce qui pourrait se passer par la suite. Est-ce que Kagimaru va essayer d'utiliser Manji pour créer sa propre armée d'immortels ? Ça ferait entrer la série dans quelque chose de complètement différent de ce qu'elle racontait jusque là.
C'est rare de voir ce genre de message. Je ne rentrerais pas dans les détails des spoils. Dans Blade of the immortal, il n'y a ni méchant ou ni de bon gars, les personnages sont à peu près tous dans une zone grise. C'est sur que Shira et Kagimaru sont dans des classes à part.
J'ai hâte de voir comment ils vont faire cette arc assez cru en animation.
Mugen no Junin Immortal - épisode 24 (FIN) : un dernier épisode en demi-teinte comme la série dans son ensemble. Globalement j'ai passé un bon moment devant cet anime dont la violence sans concessions rappelle le temps révolu des OAV hardcore des années 90, et j'ai préféré le ton outrancier et goguenard de cette série au mélodrame lourdingue d'un Dororo par exemple. Difficile en revanche de ne pas regretter un script brouillon, rushé et indiscipliné, hérité d'un manga dont le principal intérêt a semble-t-il toujours été les illustrations plutôt que la narration. Il s'est passé énormément de choses dans cette histoire qui a fait intervenir énormément de personnages, mais bien peu semblent avoir réellement eu de l'importance au final. Si l'adaptation s'était concentrée sur les personnages essentiels (Rin, Manji, Kagehisa) et viré le reste on aurait peut-être eu quelque chose de vraiment significatif. Reste le travail de mise en scène de Hiroshi Hamasaki, qui a fait de son mieux avec les moyens dont il avait à disposition, et qui a rendu une copie tout à fait honorable à l'heure où l'adaptation de seinen rime aujourd'hui le plus souvent avec Netflix et Polygon Pictures.
Assez déçu du traitement de Manji, l'épilogue du dernier épisode était très bien fait mais on se rend finalement compte que son passé n'a aucune importance tout comme son futur, il n'a pas eu d'arc personnel dans cette série contrairement à Rin, il s'est contenté d'être là à ce moment-là. D'une certaine manière Manji n'est pas un personnage mais une sorte de constante de cet univers, il a toujours été là et sera toujours là même une centaine d'années plus tard, sans bouger ni évoluer.
Episode 10:
Vache!!! y'a pas eu de mytho sur la came.
le panneau qui dit interdit aux fragiles à l'entrée est pas là pour faire joli, nan mais l'ultraviolence du bordel!
en ce moment je mate ça le soir et j'ai la vague impression au réveil d'avoir rêvé de v***s, de t***s qui v****t, de t*****e.
p'tet mettre un peu de lait dans mon café avec BNA ou Born to truc...
On retrouve effectivement les fétiches plus prosaïquement appelés "fétiches de barges" ou les copains Shibari, Guro et Ryona se sont donné RDV dans une taverne de l'époque Edo.
ça fait une sacrée paye en tout cas que j'ai pas vu ce genre de spectacle décomplexé et finalement avec 0 prise de tête, je veux pas être macabre mais d'un certain côté ça fait "du bien".
Du coup vous me faites un peu flipper avec le scénar' y'a rien de pire quand un plaisir immédiat se met à réfléchir.
Je vois pas trop pourquoi Zankaze ne validait pas l'animation par contre... y'a des impairs - où plutôt de malignes facilités - mais rien de choquant nan plus.
En tout cas c'est cool de voir de ses yeux d'où Champloo tirait sa force, comme ça a déjà été noté, çam'a sauté aux yeux à bien des niveaux.notamment les conclusions parfois sanglantes, souvent abruptes qui mèlent tristesse et amertume. et le générique est juste une magnifique cerise sur le gâteau, genre un bruit de flute qui se passe de commentaire.
Je voulais attendre et faire une exception manga pour me les lire un jour vu que le support papier a l'air de faire parti comme Berserk ou Vagabond, des chef d'oeuvres visuels mais le bordel semble hors de prix et en plus j'en ai pas pour 5 tomes...
mon manque de Chanbara aura terminé de me faire franchir le cap.
Boaaa j'ai le gosier sec avec tout ça!
prévisible mais drôle ce presque syndrome de Stockolm, la nenette qui veut se venger je devrais la trouver chiante quand elle s'apitoie sur son casse-tête chinois et son dilemme de conscience mais d'un autre côté, on ne peut pas simplement balayer le pervers de sa situation lié à un traumatisme qui a défiguré sa vie et qu'elle n'avait pas demandé. surtout à l'époque sans foi ni loi dans laquelle elle évolue et dans laquelle les Femmes évoluent.
Sinon j'ai pas l'impression qu'il y ait eu de réedition ou alors je suis trop pourri dans mes recherches... (je veux bien des liens le cas échéant.)
j'ai l'impression que les tomes restent une rareté ce qui justifierait leur coût.
Je veux bien te croire quant à la beauté et à la force des scènes Zankaze, voilà pourquoi j'ai pas envie de faire l'affront de lire ça en scan si tant est que j'arrive à lire des scans (ça me stresse pas pouvoir avoir l'objet dans les mains et tourner les pages, ça pique les yeux et ça fait mal à la tête).
J'ai fini par penser que Mugen no Juunin ferait parti des exceptions à mon abandon des mangas depuis plusieurs années mais j'imagine qu'aucun d'entre vous, connaisseurs, ne désire se séparer de sa collection :p.
Ep 13:
Merci Gally j'y avais pas pensé mais j'avoue que posséder un objet qui en vaille la peine est ce qui me motive le plus.
Sinon on dirait que le fait de faire un choix sur un médium précis pour découvrir l'oeuvre m'a évité l'écueil de la comparaison et pour le coup j'apprécie beaucoup mon visionnage.
On sent bien que c'est rushé parfois ou alors est-ce juste que le mec dans son écriture en a juste rien à foutre? en tout cas j'ai pas trouvé çà gênant jusqu'à maintenant, parce que finalement on s'en fout de savoir qui pourquoi comment.
on voit bien qu'on aura pas de réponses ou de développement concernant Manji, il est juste là parce que le scénario a besoin d'un badass qui soit du côté des gentils.
Jusqu'ici c'est une histoire de vengeance avec un schéma qui oscille entre le No More Heroes et le Kill Bill, c'est assez dense et direct en conséquence et en même temps je trouve que ça ôte l'envie de se poser des questions mais juste d'apprécier la fresque.
Cette narration coupée à la serpe ne dénote pas du reste, elle renforce la brutalité de l'anime et au-delà peut-être, le caractère brut de l'oeuvre originale jusque dans son essence...
Rin prend en épaisseur achevant de confirmer que cette histoire n'est pas à propos de Manji.
J'aime assez cette ambiguité dans la façon qu'elle a de mûrir par la force des choses, notamment vis à vis de Manji ou de Kagehisa, son passage de fille à femme ou la petite soeur intimidée qui a grandi prend confiance et a désormais envie d'être désirée et de désirer.