Merci Dregas.
Oui Sato, il est unique dans le genre. Un tout calme tout posé. Un chouillat beauf par contre quand a son admiration pour Jackal lol, presque naïf alors qu'il est une légende urbaine.
La "sœur" tente de veiller au grain, elle le casse bien surtout en effet. Au début, elle avait droit à des chapitres consacrés mais maintenant, plus trop.
Mais y sont atypiques ensembles, en tous cas.
Sinon quand le boss de Sato se déplace à l'hosto pour voir le yakusa hospitalisé, ben sacré revelation, j'étais loin de m'imaginer ça, affaire à suivre..
Mdr pour le côté beauf fan d’un humoriste (un peu hasbeen d’ailleurs il m’a l’air l’humoriste). Tu l’as bien décris sinon. Après je crois pas qu’il soit naïf au sens teubé pur, c’est juste au vu de son background il a une perception et mentalité disons déconnectées d’une personne normale (lambda ouYakuza). Akira / Sato, on pourrait en dire encore long sur son cas, son tempérament et ses habitudes.
Yoko la sœur est formidable ! Elle veille au grain c’est à la fois une nounou, une secrétaire et un coach. Puis elle a de la répartie et sait analyser les gens et les situations. Tu verras c’est pas terminé avec elle il y a d’autres grands moments (que ce soit en solo ou en doublette avec Sato). C’est un top personnage féminin fort, tout en nuances et variations comme j’aime en voir et en avoir. Ça fait du bien. ;)
D’une manière générale les dialogues et les rapports humains sont très bien présentés ici. Et puis on a de tout, des crapules gentilles, des raclures pures et dures, des paumés, des névrosés, des débiles et j’en passe. Mais on a aussi des gens honnête et équilibrés de toutes classes confondus du plus simplet au plus futé, des monsieurs et madames tout le monde en somme. C’est jamais tout noir ou tout blanc, c’est gris et plus subtil, comme dans la vraie vie. L’auteur jongle bien avec toussa en plus d’alterner savamment entre absurdités et badasseries, drame et comédie. Bref.
D’ailleurs l’arc concernant ton spoiler était très bon avec pas mal d’enjeux en plus d’alterner les scènes, les personnages et les situations sans jamais s’égarer. Un arc très bien amené, traité avec brio et conclu efficacement. Plus sombre que tout ce qu’on avait eu jusque là mais sans jamais la jouer facile ni caricatural ou cru pour être cru (ex tout ce que traverse Misaki)
Sinon pour ce que tu disais en spoiler je te rejoins complètement :
C’était inattendu et bien joué.
Une belle séquence avec une tension palpable et un bon speech sur le couteau de Sylvester Stallone. Ebihara s’en sort bien (j’aime bien ce vieux). Après je ne sais pas si l’autre invité était vraiment le boss suprême en personne… Quoi qu’il en soit c’est un très haut placé de l’organisation voire l’instructeur personnel de Fable. J’espère qu’on le reverra par la suite. Mais en une apparition on a pu en apprendre un peu sur Fable et le pourquoi du comment de sa mise au vert. On est également entré dans une autre tonalité loin du côté Yakuza sympa qui pouvait transparaître précédemment. D’autant plus que cette séquence nous apparaît pendant le règlement de compte et le sauvetage que l’on suit simultanément (le batard de Kojima, le serpent de sunagawa, Fable et l’autre tueur à gage engagé).
Oui genre la ménagère de moins de 50 devant son téléachat ou une gamine fan des BTS. Un vrai naïf de ce côté. Mais dans sa naïveté il a une forme de candeur semblable à celle d’un enfant, il en devient même attendrissant. Limite par moments si tu oublies sa profession tu te dis il est pur en fait ce mec en quelque sorte, par cette espèce de naïveté et certains de ses comportements (j’aime bcp ceux au travail dans sa manière d’aborder l’emploi et la société civile, c’est marrant). Mais clair que lui si il devient fan d’un influenceur il achète tout xD.
Là avec ses passage de tranches de vie l’air de rien on a droit à une petite critique sur le capitalisme et la société de consommation.
Pour Yoko tu as raison elle picole beaucoup ce qui peut lasser certains peut-être. Moi j’aime beaucoup ses moments de picole et séduction afin de trouver la poire idéale qui trompera son ennui quotidien, si puis-je dire. Sinon plutôt que « d’autres grands moments » à venir je dirais de « meilleurs moments. Tu verras ;)
Je me rappel que j’avais quand même été un peu désintéressé par un petit passage ou deux où elle glandouille à l’appart en se plaignant tout en se bourrant la gueule. Peut être te referais-yu à celà. Sinon
Moi j’attends le prochain tome en mars, je crois (je tiens pour pas aller vers les scans. Je préfère avoir une vraie trad et ce plaisir des retrouvailles). En attendant il y a des chances que d’ici là j’aille jeter un œil à l’adaptation live, histoire de (j’en attends rien. Si il y a du positif ce sera alors une bonne surprise à prendre)
On se tient au jus !
Tome 13 *un peu à la bourre* : le seul défaut si il en est un, c’est que l’action soit à cheval entre la fin du 12 et le début de ce 13e. Pour me remettre dans le bain de la tension j’ai dû reprendre la fin du 12, sans ça j’étais un peu perdu (et la scène aurait pu y perdre de son effet). Pas grand chose à dire sinon que cet arc était intégralement très bon. J’espère qu’il n’est pas le summum de l’œuvre. Pour le reste l’intermède festif était amusant Yoko en mode pochtronne a trouvé son premier vrai adversaire. Ce dernier même battu largement n’a pas complètement perdu ! Il en sort grandit d’une certaine manière (surtout par rapport à tous ses prédécesseurs). Lui arrive à conserver sa dignité, si je puis dire.
Une atmosphère conviviale (mi familiale mi nostalgique à des endroits).
La fin de cet arc ouvre des portes. J’espère qu’on aura de tout ce qui fait la recette de la série. Pourquoi pas quelque chose de crescendo qui puisse encore la rehausser d’avantage. Qu’elle puisse répondre à ce qui a été mis en place depuis le début (où mène la vie normale ? Même si tout ne s’est pas passé tranquillement comme prévu. La mafia qué pasa, etc. (?) Et avoir réponse à la question posée par ma vdd) comme Gally j’aimerai que notre héros vive une love story