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Sujets - allbrice

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Séries TV - OAV - Films / Soukou no strain
« le: 23 août 2009, 22:12:38 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Soukou no Strain
ANNÉES DE PRODUCTION : 2006 - 2007
STUDIO : STUDIO FANTASIA
GENRES : CYBER, MECHA, ESPACE & SCI-FICTION
AUTEUR : BURNETT FRANCES HODGSON
VOLUMES & DURÉE : 13 eps 24 mins


.::Synopsis::. soumis par watanuki

Le frère de Sarah est parti mener une guerre spatiale, laissant celle-ci derrière lui ; bien décidée à le suivre, elle fait le serment de le rejoindre un jour. Pas de chance, lorsqu'elle le retrouve enfin, ce dernier a changé de camp et est à la tête d'un raid ayant pour but d'attaquer la base où sa soeur est installée.
Devant ce fait accompli, Sarah se voit déchue de son grade et se trouve rabaissée au rang de simple pilote : c'est le début d'une longue lutte pour atteindre de nouveau le sommet...


Un animé nous présentant une histoire assez simple ou amour, haine et trahison seront les principaux artifices. On suivra donc les aventures de Sara Werec une jeune fille recherchant des réponses concernant les véritables raisons de l'évolution de son frère. Il en découlera donc une teinte de romantisme, des révélations, des séquences tragiques sur fond de conflit entre la DEAGUE et l'UNION. La série tentera aussi d'apporter un côté humoristique plus ou moins bien réparti dans l'ensemble de l'œuvre. Un des atouts de Soukou no strain à mon avis, c'est sa capacité à ne pas s'essouffler du début à la fin, ce qui nous donne l'envie d'enchainer les épisodes sans interruption. Dans son ensemble, l'intrigue de cet animé m'a semblé être bien construit pour ne pas ennuyer le spectateur.

Les graphismes sont honorables et l'intégration 2D avec la 3D se laisse regarder sans trop de soucis. L'animation est assez bien rendue autant les courses poursuites que les affrontements entre STRAIN sont tous les deux séduisants. Pour ce qui est du chara-design, le bilan est plutôt moyen car la morphologie des figurantes est trop enfantine à mon gout ce qui gâche un peu le sérieux qui recouvrait cette petite série. Pourtant la forme des objets mécha quant à elle est assez originale donnant l'impression d'avoir une représentation d'insecte mécanisée.

Plutôt mitigé en ce qui concerne les personnages, il y'a du bon comme du mauvais. Le personnages secondaires restent assez superficiels se limitant juste à des attitudes et des comportements clichés. Le travail élaboré autour du background de l'héroïne a été bien façonné car au fur et à mesure que l'œuvre se poursuit, on finit par cerner le combat intérieur de cette dernière à travers sa quête qui l'amènera à avoir une attitude renfermée, son égoïsme et sa tristesse qui s'avèreront avoir des conséquences au sein de son entourage.

Le volet musical est moyen que ce soit les OST ou encore les thèmes musicaux qui s'écoutent sans pour autant nous envouter. Rien de transcendant si ce n'est la voix de la chanteuse de l'ending.

Soukou no strain
est un bon shonen qui sans faire dans l'originalité réussira peut-être à satisfaire son potentiel spectateur dans sa globalité, ce qui fut mon cas. Je vous invite donc à préparer vos STRAIN si cet animé a su capter votre attention  :)


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Général Blabla / Joyeux anniversaire Sirius
« le: 20 août 2009, 01:39:03 »
Joyeux anniversaire Lord Sirius

Par ailleurs, je vous inviterais à découvrir La légende de Sirius et pour conclure voici une musique pour accompagner l'évènement  :P

[deezer]1101732[/deezer]

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Je me permets de créer ce nouveau thread afin que nous puissions débattre sur certaines chroniques vidéos relative au monde de la japanime (mangas et animés).
Une certaine civilité sera donc demandée aux participants, ou le débat ne se portera que sur la contenu de la vidéo dont il sera question par journée et au fur et à mesure que s'étendra la discussion sur ce sujet. En d'autres termes pas plus d'une vidéo postée au quotidien pour la bonne démarche de ce topic.
Si vous souhaitez appuyez votre argumentaire par certaines informations externes, vous pourriez toujours fournir des liens. Sur ce j'ouvre les hostilités en vous présentant le premier thème sur lequel nous débattrons/discuterons/échangerons/aimerons/... etc

Voici donc deux vidéos évoquant la naissance du studio Ghibli que certain(e/es/s) connaitront/découvriront/reconnaitront de part leurs œuvres telles que Princesse Mononoke, Mon voisin Totoro, Le château ambulant, Porcorosso... etc pour ne citer que celles là. Je mentionnerais aussi la présentation qui a été faite sur ces dernières par le publicateur de ces vidéos :

Citer
Reportage à l'origine diffusé à la télévision japonaise en juillet 1998 retraçant l'histoire du studio et de ses films. On peut le retrouver en bonus sur le dvd francais de Nausicaa De La Vallée Du Vent, en édition simple ou collector.
Donc à vos réactions maintenant :)



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FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Hikari to Mizu no Daphne
ANNÉE DE PRODUCTION : 2004
STUDIO : GENCO
GENRES : COMéDIE, ESPACE, SCI-FICTION & ECCHI
AUTEUR : NESKES
VOLUMES & DURÉE : 24 eps 24 mins


.::Synopsis::. soumis par Nakei

Suite au réchauffement climatique de la Terre, le niveau des océans a fortement monté et les territoires habitables pour l'humanité ont diminué en conséquence. Une nouvelle force militaire spécialisée dans les opérations maritimes a donc été créée (son nom "Agence Océan") pour assurer la sécurité des nouvelles villes portuaires qui fleurissent un peu partout sur le globe.
Maia Mizuki, 15 ans, s'entraine depuis longtemps pour rejoindre cette section d'élite mais malgré son talent et ses résultats plus qu'encourageants, elle échoue aux épreuves de sélection.

Désormais sans possibilité de reconversion et sans logement faute de moyens financiers, la jeune fille erre dans les rues lorsqu'elle est prise en otage lors d'une fusillade entre une chasseuse de prime et un gangster. Maia tombe inconsciente après avoir pris une balle paralysante en pleine poitrine. A son réveil, la femme qu'elle a croisé plus tôt lui propose de travailler pour l'organisation Neired spécialisée dans diverses activité pas toujours très légales (et parfois dangereuses). D'abord réticente, Maia comprend vite qu'elle n'a pas vraiment le choix si elle veut avoir une chance de repasser les examens d'entrée de l'agence Océan. Mais son nouvel emploi est loin d'être facile et la tenue de travail (particulièrement sexy) n'est pas vraiment dans ses goûts. Qu'importe pour atteindre son rêve, elle est prête à tous les sacrifices même si elle est loin de s'attendre à ce qui l'attend désormais au sein de Neired...


Le début de cette série nous porte à croire que son histoire tournera au drame plus qu'autre chose. On se fait très vite déchanter par la suite lorsque l'héroïne Maia intègre Neireds, une organisation formée dans leur majeure partie de femmes. A partir de là, nous suivrons donc la plupart du temps le quotidien de ses chasseuses de primes à travers leurs missions et leurs problèmes personnels. Cette routine sera agrémentée de situations comiques appuyées par des séquences d'action plus ou moins intenses dont certaines seront inattendues et d'autres vues et revues ce qui ne nous empêchera cependant pas de muscler notre mâchoire car on est pris au piège de cette brise rafraichissante que nous procure Daphne in the Brilliant Blue. Néanmoins, cet animé n'est pas rempli uniquement d'allégresse, car même si effectivement son scénario nous donne l'impression de ne pas suivre un fil conducteur, une intrigue plutôt dramatique se cache derrière cette joie éphémère. Cette autre partie sera axée sur la recherche d'identité de notre héroïne. Et je vous avouerai que cette fraction de la trame ne m'a laissé guère insensible car Maia se retrouvera impliquée dans des situations ou elle sera trahie, blessée, délaissée et trompée tout celà afin de nous permettre de prendre connaissance de la tristesse et l'innocence de cette jeune fille, perdue au milieu de la solitude qui l'entourera durant ses moments. Enfin la série se conclura sur une note mixant chagrin, mélancolie et joie de vivre. Tout celà me porte à croire que la réalisation scénaristique de cet animé qui ne révolutionne en rien le genre reste cependant un mélange adroit de comédie et de tranches de vie survolés par une touche dramatique.

Quand on vient à chercher des défaut sur cet animé, l'inconvénient le plus marquant est surement la forme des yeux qu'on a attribuée aux protagonistes. Certes, ils ne sont pas moches au point de vous donner l'envie de ne plus regarder la série mais refroidissent plutôt l'intérêt visuel compte tenu du chara-design et des vêtements adoptés chez les figurantes. Les graphismes quant à eux sont coloriés et rafraichissants. Je pourrais aussi rajouter la présence de plans fixes comme lacune se rapportant aux graphismes et dessins de cette œuvre.  Personnellement j'ai apprécié cet univers ou les cours d'eau sont des voies de locomotion, l'architecture futuristes des bâtiments et bien d'autres éléments qui complètent ce panel visuel.

Les personnages ont beau ne pas renouveler la gamme au niveau du background qu'on rencontre dans le milieu animé. Ces derniers n'en restent pas du moins insignifiants, car les caractères qui définissent les protagonistes principales me semblent appropriés à chacune d'entre elles ceci afin de les apprécier à leur juste valeur sans pour autant lasser le spectateur. On trouvera donc une manipulatrice, Rena qui n'est autre que la responsable de Nereids faisant usage des hommes comme du papier toilette, ensuite viendra Shizuka la plus féminine d'entre elles de par son comportement qui est la technicienne du groupe et je rajouterais Gloria (Alalala cella là  :) ) une fouteuse d'ambiance dotée d'une sérieuse manie à dégainer sur tout ce qui lui parait louche. Elle donne l'impression d'être une sorte de prototype ou sosie de Levy (Cf Black Lagoon). Enfin Yuu, une version féminisée de Rambo calme et réservée complètera le tableau des personnages principaux hormis celui l'héroïne que je vous invite à découvrir en regardant la série.

Les OST sont présents et relativement simple dans leur construction musicale à l'écoute. Les thèmes musicaux quant à eux ne sont que le reflet du contenu rafraichissant et légèrement triste de la série.

Étrange qu'en 2004, cette série n'ait pas attiré plus l'attention parmi les consommateurs d'animés. Quoi qu'il en soit, il n'est jamais trop tard, et donc, si le ecchi dans une moindre mesure ne vous rebute pas et que vous souhaitiez regarder une série comique non exempt de défauts dont on peut ne pas en tenir compte, n'attendez plus et jetez-vous dessus car je pense que vous ne perdriez pas au change à moins que vous preniez cet animé trop au sérieux et non comme une détente. So let's go Daphne !!   :o :)

Note: entre 7 et 8

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=JnxFQk2e1t8[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lKw6DdpZTMI[/youtube]

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Séries TV - OAV - Films / Viper's creed
« le: 14 août 2009, 22:54:46 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Viper's Creed
ANNÉE DE PRODUCTION : 2009
STUDIOS : SONY PICTURES ENTERTAINMENT, INC. & AIC SPIRITS
GENRES : ACTION, CYBER & MECHA
VOLUMES & DURÉE : 12 eps 25 mins



.::Synoposis::. soumis par Brandon209

Nous sommes au milieu du 21ème siècle ; le climat s'est déréglé, entraînant famines, épidémies et catastrophes naturelles. Conséquence : une crise économique sans précédent éclate, n'épargnant aucune nation. Tous les pays s'enferment alors dans une ère de violence, de vandalisme et de terrorisme.

Malgré ce chaos, la ville de Fort Diversity prospère grâce à sa position stratégique ainsi qu'aux militaires qui assurent directement sa sécurité. Mais il en va autrement de sa périphérie dont la sécurité est assurée par diverses compagnies privées de mercenaires, similaires à l'unité Viper, qui ne fait pas l'unanimité auprès des habitants...


Pour l'instant, j'en suis au 3e épisode et cette série attise de plus en plus ma curiosité. Nous suivrons donc l'histoire d'un groupe de mercenaires employés par une organisation du nom de Argus. Leur rôle est d'éliminer des "supposés terroristes" qui souhaitent s'introduire dans la ville. Tout celà se déroule dans un climat politique et social plutôt tendu. La cause, on s'en doute bien, l'Homme (Putain encore lui  :P) à travers ses expériences douteuses a crée un dérèglement au niveau de la nature dont les conséquences ont perturbé le mode de vie de ses derniers. Un crise mondiale a donc vu le jour et chaque civilisation ayant survécu à cette catastrophe cherche un moyen de sauvegarder leurs intérêts propres (=> Introduction de l'enjeu économique) coute que coute. Parallèlement aux notes précédentes, la vie au sein de cette entreprise n'est pas de toute gaieté puisque chacun de ses mercenaires qu'il soit du même groupe ou non travaille pour son bénéfice personnel. Biensur la cohabitation au sein de cette agence n'est pas sans embrouilles ou les coup de gueules sont assez fréquents (Les femmes Oulalala!), l'individualisme au rendez-vous et les pièges entre bon copains ne sont pas loin =D . Voilà à peu près ce que me laisse croire le scénario de cette série selon mon interprétation.

Les graphismes sont de bonne qualité, ils réussissent à immerger le potentiel spectateur dans ce décor assez futuriste retranscrivant parfaitement l'atmosphère urbaine qu'on y rencontre. L'animation est hyper fluide et très dynamique, on assiste à de très belles scènes d'action notamment celles qui mettent en avant les courses poursuite qui nous donnent l'impression d'être aux côtés des Blademen (pilotes de ses motos robotisés). On a envie de sauter comme eux, de réaliser ses acrobaties androido-robotico-gymnastique (Je m'égare) impressionnants. Ça vous prend à l'œil ce truc là et à côté, le chara-design reste de bonne facture avec certains personnages possédant des proportions dont seul Shiroi détient le secret (Dédicace  ;)). Le fan service n'est donc pas pour déplaire mais plutôt enjoliver le visuel. Une réalisation visuelle sans aucune ombre de reproches pour ma part.

Les personnages principaux quant à eux ne semblent pas être superficiels, on a l'impression que chacun d'eux porte un fardeau et ils me paraissent dans leur ensemble ne pas être sous développé donc à voir pour la suite. Cependant on a déjà un aperçu de notre anti-héros Saiki un sorte de sosie de Sagara (Cf Full metal panic!) qui est assez réservé calme et très peu ouvert à la conversation ensuite Sakurako qui est la jeune "Bimbo" qui au départ ne s'intéressait qu'à son boulot mais par la suite donne l'impression de se tourner un peu plus vers certains de ses collaborateurs pour des raison professionnelles et... Biensur notre boulet (pourvu que je me trompe sur son cas) Haruki fait son apparition pour défendre les valeurs morales qui lui sont propres.

Les OST sont présents sans pour autant être transcendants, les thèmes musicaux quant à eux  s'écoutent mais l'idée qu'on aurait pu mieux faire me traverse encore l'esprit.

Voilà un petite série mécha assez sympathique qui me donne l'impression de ne pas manquer de profondeur en espérant que la suite ne me donne pas tord. Une chose est certaine cependant, si je considère que RideBack et Viper's creed sont des jumeaux alors ce dernier serait le garçon et l'autre la fille. On va donc se quitter sur l'opening que je vous laisse découvrir, Enjoy guys!   :o

 

96
Séries TV - OAV - Films / Ginban Kaleidoscope
« le: 12 août 2009, 20:17:32 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Ginban Kaleidoscope
ANNÉE DE PRODUCTION : 2005
STUDIO : KARAKU
GENRES : COMéDIE, SPORT, AMOUR & AMITIE
AUTEUR : KAIBARA REI
VOLUMES & DURÉE : 12 eps 24 mins



.::Synopsis::. soumis par Yamaneko

Tazusa Sakurano est une jeune et talentueuse patineuse sur glace, possédée par le fantôme de Pete Pumps un jeune Canadien rêvant de devenir pilote acrobatique. Son dernier vol s'étant très mal passé, il se crashe et se retrouve par accident dans le corps de Sakurano pour une période de 100 jours. A deux ils vont relever le défi que représente les jeux olympiques de patinage artistique.

Le patinage artistique a beau être une discipline sportive moins populaire que le football, Ginban Kaleidoscope permet au potentiel spectateur de se baigner au sein de ce sport.
 
L'intrigue mise en place ici est assez simple. Elle sera axée en premier plan sur le parcours sportif de Sakurano l'héroïne et d'autre part elle mettra en avant la relation amoureuse dont il sera question ici.
Le caractère sportif de la série est assez bien ressorti car très réaliste à travers divers éléments tels que la pression médiatique, l'influence de cadres sportifs et biensur l'adversité tout celà dans une optique d'obligation de résultat. Le volet sentimental sera quant à lui mis de côté en début pour se faire plus présent vers la fin. Ce dernier aura directement un impact sur les performances de l'héroïne lui faisant prendre connaissance des sentiments qu'elle porte à Pete son hôte, celà aura pour effet de rendre le final assez énigmatique sur ce plan. Enfin pour alléger ce mélange, l'humour est présent ce qui rendit potable la réalisation scénaristique de la série selon moi.

Vu d'aujourd'hui, les graphismes m'ont paru avoir beaucoup vieilli, le chara-design quant à lui est convenable.

Les personnages sont caricaturaux et clichés. Certains sont paraissent vraiment inutiles dans le rôle qui leur incombe. Particulièrement l'entraineur de l'héroïne Sakurano dont a l'impression qui dégageait un forte impression de surjeu tellement sa prestation était minable et le comble c'est que celà me faisait rigoler. Seul Sakurano (en même temps c'est l'héroïne) parvenait à sortir du lot à travers son caractère fort qui se définissait par son orgueil, son égoïsme et sa prétention d'être la fille qui vaut 3 millions. J'ai juste été un peu déçu par la fonction de Pete qui ne servait que de faire-valoir à l'héroïne et aussi parce que la relation symbiotique qu'il partageait avec l'héroïne ne me semblait pas assez approfondi si ce n'est vers la fin.

Les OST se marient parfaitement avec l'ambiance de l'animé lorsqu'ils sont présents. On notera même en début de série, la présence de certaines notes de musique classique très connues qui accompagneront nos patineuses durant leurs prestations. Les thèmes musicaux sont agréablement sympathiques car ils s'écoutent facilement.

Bref une nouvelle histoire sentimentale mélangeant les divers genres énoncés en dessus qui se regarde sans prise de tête. Peut-être donnera t-elle envie à certains d'entre nous de se pencher/porter un nouveau regard sur le patinage artistique :rolleyes:


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Général Blabla / Etes-vous un Connard Prétentieux ?
« le: 09 août 2009, 20:28:49 »

J'ai trouvé ce questionnaire assez fun et j'ai piqué le lien sur un autre forum afin que l'on puisse "s'amuser" ici aussi. Le fonctionnement est assez simple, il suffit juste de donner le résultat que vous obtenez à la fin du petit formulaire que vous avez à remplir   ;)

Voilà mon résultat:
Citer
Sur une échelle allant de 0 à 100, votre score de Connard Prétentieux est très exactement de 45.

Vous êtes dans la moyenne ce qui, si l'on considère le manque de valeurs sociales de l'internaute lambda, est loin d'être un compliment. Trop souvent, vous parlez pour vous mettre en avant, pour critiquer la façon de penser des autres, pour rabaisser ceux que vous considérez être des imbéciles ou tout simplement pour ne rien dire. Ne vous sentez pas obligé de vous impliquer dans toutes les discussions. Si vous voyez que vos interlocuteurs campent sur leurs positions, écoutez ce qu'ils ont à vous dire puis passez votre chemin. Commencez par éviter de vous rabaisser au niveau de ceux que vous méprisez, ce sera déjà un grand pas en avant !
A vous la suite!  ;)

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Séries TV - OAV - Films / Tales of the Abyss
« le: 07 août 2009, 12:23:31 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Tales of the Abyss
ANNÉES DE PRODUCTION : 2008 - 2009
STUDIOS : SUNRISE, NAMCO, BANDAI VISUAL
GENRES : AVENTURE, FANTASTIQUE, MYTHE, ÉPIQUE & HéROIQUE
AUTEURS : BANDAI NAMCO GAMES, FUJISHIMA KOUSUKE & NAMCO
VOLUMES & DURÉE : 26 eps 25 mins


.::Synopsis::. soumis par Thotian

Luke est le fils héritier d'une noble famille du royaume de Kimlasca. Enfant, il fut enlevé par l'empire de Malkuth mais fut retrouvé rapidement sain et sauf. Cet événement lui causa à l'époque une amnésie totale. Il est depuis lors contraint à rester cloîtré pour éviter toute nouvelle agression. Pourtant un jour, à la suite d'un combat, il se retrouve hors de sa demeure et voit enfin le monde qu'il n'a jamais pu découvrir. Victime de son ignorance et de sa naïveté, il devra pourtant prendre en main son destin...

Pour informations, sachons d'abord que la série Tales of the Abyss est une adaptation du jeu vidéo créé par Namco sur PlayStation. Secundo les critiques sur cette série m'ont dupé =D

En s'attaquant à cet animé je me suis dit que je plongerais en plein dans la rêverie et autres sensations similaires que nous procure souvent le récit des œuvres d'Héroic-fantasy. Malheureusement ce ne fut pas le cas ici, puisqu' à travers son fil conducteur la série me parut ni bonne ni mauvaise simplement monotone. Le dénouement et l'évolution du scénario sont trop simples et linéaires car j'ai ressenti que son processus respecte un peu trop le cadre/schéma classique des jeux RPG:  Formation d'équipes et exécution d'une nouvelle quête. Ce qui faisait qu'à chaque fois que ce même procédé se reproduisait on avait déjà une certaine idée en ce qui concerne l'aboutissement de leurs missions car aucune surprise encore moins aucun rebondissement ne survient. Certes comme Shiroi l'a signalé ailleurs, il peut être intéressant de ne point chercher à faire dans l'originalité mais voilà l'intrigue de Tales of Abyss ne m'a pas du tout emballé du moins en ce qui concerne son histoire. Parce qu'à côté de celà je fus encore désappointé par le traitement du volet sentimental et surtout la fin. En résumé c'est ce type d'animé qui m'agace quand j'essaye le situer car il est simplement moyen et suffisant.

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L'animation est acceptable quand bien même elle n'est pas terrible que ce soit lors des séquences de combat ou encore des phases d'action. Le chara-design par contre est très réussi à mon gout, les dessins des personnages sont bien faits. Enfin les graphismes sont de bonne facture et le mélange de dessins avec la 3D est digne d'estime.

Discutons personnages maintenant et bien que dire, nous ne sommes pas loin de la frontière du caractère cliché pour certains alors que pour d'autres en l'occurrence le héros Luke, nous plongeons en plein dedans tellement c'est profond... Mais quel boulet, quel personnage arrogant, capricieux, énervant, égoïste et par dessus tout le marché naïf. Ça fait longtemps que je n'avais pas été autant irrité par un protagoniste d'un animé. Sinon mis à part leur background non creusé, j'ai particulièrement apprécié Tear et Mieu (mignon).

Les OST ne m'ont laissé aucune empreinte marquante même si je tiens à dire qu'elles étaient bel et bien présentes. Les thèmes musicaux sont sympathiques à l'écoute et visuellement jolis à zieuter. Seul défaut à mes yeux l'opening qui est vachement long.

Je pense que les amateurs de série type héroic fantasy trouveront peut-être leurs comptes car en ce qui me concerne je fus partiellement déçu par cette œuvre qui sent la banalité et c'est pourquoi les notes variant entre 5 ou 6,5 (avec trop de compassions) sont celles qui lui correspondent le mieux à mon avis  :)


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Général Blabla / Joyeux Anniversaire Sayurisan
« le: 07 août 2009, 03:44:38 »
Très bon anniversaire Sayuri

Une petite musique pour accompagner l'évènement  :P

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=_bM19ZpI8VE[/youtube]

100
Séries TV - OAV - Films / Peach Girl
« le: 06 août 2009, 13:25:56 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL : Peach Girl
ANNÉE DE PRODUCTION : 2005
STUDIO : STUDIO COMET
GENRES : COMéDIE, AMOUR & AMITIé
AUTEUR : UEDA MIWA
VOLUMES & DURÉE : 25 eps 25 mins



.::Synopsis::.
soumis par Pharaoh

Momo, jeune femme d'apparence exubérante, est amoureuse de Tôjikamori Kazuya depuis l'époque du collège. Par manque de confiance, elle ne l'a jamais approché. Mais alors qu'elle veut tenter sa chance, et qu'elle va tout faire pour se l'approprier, son ennemie Sae apprend son amour et prépare des plans pour contrecarrer ses intentions.


Peach girl est un shoujo qui à priori selon moi se regarde sans trop de problèmes puisqu'il suit plus ou moins les cordes vu et revu des animés de même facture qui ne sortent pas intégralement du lot. Bref nous suivons les déboires de l'héroïne Momo dans ses histoires de cœur au sein d'un environnement lycéen. Elle fera donc face à l'une des pires sadiques dans cet univers "shojoique" que j'ai jamais vu Sae. C'est elle qui insuffle le chaud et le froid à travers son talent de manipulatrice et ses coups tordus dans cet animé car sans elle, Peach girl serait une histoire à l'eau de rose. D'autre part la série se veut révélateur de certains faits en rapport avec quelques maux de la société nippone notamment l'Ijime dont Momo en sera victime (j'ai pris pitié pour elle à certains instants) et le stéréotype que l'on peut accorder aux jeunes filles blondes et au teint bronzé que l'on appelle kogaru.

Les graphismes ne sont pas transcendants mais restent agréables, le chara-design est assez inconstant je le reconnais. Mais bizarrement il ne m'a vraiment pas posé de problèmes.

Les personnages apparaissent clichés notamment les figurants masculins et en particulier ce boulet de Tôjikamori Kazuya . Momo l'héroïne et Sae sont les deux qui arrivent sortir du lot à mon avis..

Les thèmes musicaux (petite préférence pour l'ending) s'écoutent dans leur construction que je trouve convenable mais s'oublient aussi assez vite et je n'ai aucun souvenir des OST que ce soit au niveau de leur présence ou de leur qualité.

Une série qui se regarde pour le plaisir avec ses quelques leçons de vie à tirer (La jalousie rend aveugle) et les fans de Shojo s'y plairont je pense (Beck ;) ).


101
Séries TV - OAV - Films / Myself; Yourself
« le: 31 juillet 2009, 19:50:05 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL: Myself ; Yourself
ANNÉE DE PRODUCTION: 2007
STUDIO: DOGAKOBO
GENRES: DRAME, AMOUR & AMITIé
AUTEUR: STUDIO YETI
VOLUMES & DURÉE: 13 eps 25 mins


.::Synopsis::. soumis par Yang Fuu

Après avoir passé 5 ans loin de ses amis, à cause d'un déménagement, Sana revient. Il redécouvre sa ville natal qui, en 5 ans, a subi quelques changements. Mais à sa grande surprise Sana se rend compte que le temps n'a pas tout changé. Ses amis d'enfance ne l'ont pas oublié et les sentiments qu'ils avaient les uns pour les autres sont restés intacts. Mais il subsiste un trou de 5 ans où chacun a vécu sa vie et a eu son lot de problèmes. Et il peut se passer beaucoup de choses en 5 ans....

Avant tout sachons que Myself; Yourself la série serait inspirée du Light Novel Myself ; Yourself Sorezore Overture selon Wikipedia.

On ne sort pas des standards habituels ou la plupart des personnages constituant l'entourage du héros sont des filles. L'histoire nous présente des jeunes adolescents en pleine fleur dans leur puberté (16 ans dans leur majorité) découvrant d'étranges sentiments liés à l'attraction corporelle ou encore le ressentiment d'émotions enfouis en eux. Biensur celà ne se déroule pas sans ennuis ou les uns seront liés aux conflits émotionnels gravitant autour de nos bonne vielles relations triangulaires et les autres sources d'intérêt seront liés aux mystérieux secrets que chacun des protagonistes semble cacher. Mais bon, l'amitié tient aussi une place importante dans l'intrigue ainsi que l'aspect humoristique et le côté fan-service qui tiendront lieu d'apéritif.

Les graphismes sont très beaux sans pour autant être exceptionnels, ils seront accompagnés de dessins joliment coloriés retranscrivant l'atmosphère fraiche qui plane autour de cette œuvre.
Le chara-design quant à lui est assez typique pour ce genre de séries (Type harem) mais se laisse convenablement regarder. Une bonne réalisation en conclusion sur l'aspect visuel de cette série qui nous égaie de par la multitude de ses images coloriées.

Concernant la psychologie des personnages, il n'y a pas photos, ils sont tous clichés. Mais celà n'empêche qu'ils soient tous intéressants et attachants dans la fonction qui leur incombe dans la série car ils se révèlent ne pas être aussi lourds qu'on s'y attendait sauf peut-être Aoi-chan (dans une moindre mesure, il nous fallait bien notre neuneu non!!?)

Je n'aime pas traiter de Nul le labeur des gens. Mais ces OST sont pourris, de manière acceptable je dirais qu'elles sont médiocres. Les Thèmes musicaux sont très sympathiques et vraiment entrainants notamment l'opening dont la configuration imagée est vraiment très très belle.

Pour le moment, je n'ai pu voir que 5 épisodes mais je compte bien le terminer et vous  :huh:


102
Séries TV - OAV - Films / Xenosaga
« le: 29 juillet 2009, 20:47:15 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL: Xenosaga the Animation
ANNÉE DE PRODUCTION: 2005
STUDIO: TôEI ANIMATION
GENRES: ACTION, CYBER, MECHA, ESPACE & SCI-FICTION
AUTEUR: NAMCO
VOLUMES & DURÉE: 12 EPS 25 mins


.::Synopsis::.

L'histoire débute en 4767 après Jésus Christ, 4000 années ont passé depuis que les hommes ont abandonné la terre. Shion Uzuki est la chercheuse en chef du projet KOS-MOS à bord de la flotte spatiale Woglinde. Cette dernière découvre l'existence d'un objet doré mystérieux appelé Zohar et fait aussi la connaissance de Kirichweisser, une realian à bord du vaisseau. C'est alors que des êtres surgissant de nulle part nommés Gnosis s'attaquent à l'escadrille. Après avoir été secouru par Kirichweisser alors que la bataille continue de faire rage, Shion se retrouve à nouveau dans une situation critique, ce qui déclenche le réveil de KOS-MOS, l'arme anti-Gnosis.


Pour information sachons déjà que Xenosaga: The animation est l'adaptation du jeu populaire Xenosaga sur Playstation basé sur l'un des épisodes de cette trilogie ludique: Xenosaga Episode I: Der Wille zur Mach.

Malgré son histoire que j'ai trouvée un peu brouillon car certains éléments y sont plus ou moins survolés, Xenosaga est une série assez intéressante. Le scénario quant à lui de manière générale mettra en avant les affrontements entre factions humaines, l'Organization U-TIC et Gnosis pour l'acquisition de l'héritage d'un scientifique appelé Joachim Mizrahi (Qu'on surnomme l'assassin/le meurtrier) liés au mystérieux artéfact qu'est le Zohar. Il sera aussi question dans son dénouement de présenter l'origine du conflit à travers la narration de certains personnages jouant un rôle assez important tout en présentant l'évolution de l'espèce humaine et l'interaction sociale de certains d'entre eux avec les créatures artificielles que sont les realians. Bref l'intrigue est assez sympathique, elle nous présente une humanité à la recherche de sa destinée et d'un futur. J'ai beaucoup apprécié aussi le mélange des univers mécha et cyber qui est assez réussi et l'animé se conclu sur un fin frissonnante qui fut très plaisante pour ma part.

L'animation est correcte sans pour autant briller de mille feux puisqu'elle réserve tout de même certaines séquences qui ne sont pas assez adroites. Le design des éléments qui remplissent le tableau visuel de cette série est véritablement très prenant, la forme des vaisseaux spatiaux nous offrant de superbes scènes de combats, l'apparence des Gnosis qui piquaient toujours ma curiosité quand à l'esprit inventif qui a imaginé leur forme assez charmante, et bien entendu, un design des figurants qui reflétait un côté vieillot sur des images qui demeuraient cependant charmantes.

Concernant donc les protagonistes, j'ai trouvé que leur développement était assez intéressant au vue des circonstances dans lesquelles chacun d'entre eux était impliqué même si certains d'entre eux frôlaient des caractères déjà-vu notamment l'héroïne. Personnellement j'ai été séduit par le rôle qu'a joué Albeldo dans l'histoire car j'en ai peu vu des méchants aussi charismatiques.

Les OST sont bien présents et retranscrivent convenablement les scènes dans lesquelles elles étaient présentes. Les thèmes musicaux sont un délice auditif notamment l'ending in this serenity chanté par Mayumi Gojo et son air angélique.

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103
Séries TV - OAV - Films / Kurokami
« le: 28 juillet 2009, 17:10:23 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL: Kurokami The Animation
ANNÉE DE PRODUCTION: 2009
STUDIOS: SUNRISE & BANDAI VISUAL
GENRES: ACTION, FANTASTIQUE & MYTHE
AUTEURS: LIM DALL YOUNG & PARK SUNG-WOO
VOLUMES & DURÉE: 23 eps 25 mins


.::Synopsis::. soumis par Sirius

Keita est un jeune étudiant qui a perdu sa mère au lendemain d’une étrange rencontre : elle s’est trouvée face à une sorte de doppelgänger. Un soir, il rencontre Kuro à un stand de ramen, une mystérieuse jeune fille qui affirme que chaque individu possède deux sosies dont la rencontre engendre de funestes conséquences en supprimant celui qui n'est pas l'original. Ils sont soudain attaqués par un homme armé d’une batte qui semble en vouloir à Kuro. Mais celle-ci s’avère une combattante émérite.

Le lendemain, une camarade de Keita dit avoir vu une fille qui lui ressemblait à un concert. Malgré les mises en garde du jeune homme, elle périt dans un accident. Au retour de l’école, une jeune voisine lui raconte la même histoire avant d’être renversée par un poids lourd…


Pour ce que je crois avoir compris, le scénario tournera autour d'affrontement entre Doppeliners et Mototsumitama ou l'on ne sait pas encore qui est véritablement le méchant. J'ai comme eu l'impression que chacun des groupe du côté ennemi complotait pour leur propre intérêt alors que tous étaient étroitement liés. On verra dans la suite comme la trame évoluera.

Très grosse impression en ce qui concerne l'animation, les combats sont très fluides et le terme dynamique prend ici toute sa valeur. La chorégraphie des coups employés lors des échanges m'ont rappelé celle du jeu vidéo King of fighters et bien d'autres du même genre. Seul bémol, on a comme l'impression qu'il y'a un côté magical-girl avec leur histoire de synchronisation durant les séquences de combats et celà fait un peu tache à ce niveau. Les graphismes sont plutôt réussis puisqu'ils arrivent à retranscrire assez convenablement l'univers moderne dans lequel baigne la série. Le chara-design est assez inconstant en particulier au niveau du visage des protagonistes et c'est un peu irritant au vue du travail fourni sur le panel imagé.

Je ne peux pas encore dire grand chose sur les personnages, mais Keita le héros apparait comme étant quelqu'un de meurtri par le malheur qui l'a frappé dans le passé le plongeant souvent dans des phases dépressives. Kuro est la touche qui apporte le côtés combatif et  humoristique dans la série même si je ne ressens pas ce mélange comme étant une parfaite réussite puisqu'elle parait assez bécasse sur les bords.

Concernant les OST que dire, on ressent véritablement leur impact durant les passages d'action et se marient convenablement à ses moments là. L'ending a beaucoup hatisé  mon attention visuellement parlant à travers la bonne synchronisation des éléments qui la composent ou l'on note un passage de l'obscurité à la lumière.





104
Séries TV - OAV - Films / Inukami!
« le: 26 juillet 2009, 18:45:00 »
FICHE TECHNIQUE

TITRE ORIGINAL: Inukami!
ANNÉE DE PRODUCTION: 2006
STUDIO: SEVEN ARCS
GENRES: AVENTURE, FANTASTIQUE, MYTHE & ECCHI
AUTEUR: ARISAWA MAMIZU
VOLUMES & DURÉE: 26 eps 24 mins


.::Synopsis::. soumis par Nakei1024

Keita Kawahira est le descendant d'une famille d'exorciste, en temps que tel, il accomplit son devoir avec efficacité et rapidité. Pour se faire, il est aidé de Yoko, une Inukami (dieu loup), particulièrement puissante, avec qui il est lié par un pacte jusqu'à sa mort.
Mais Keita est également un abominable pervers, qui perd tout maintien de soi en face de la gent féminine, et qui trouve toujours un moyen de détourner une simple mission d'exorcisme en véritable "chasse aux rondeurs", quitte à en affecter son efficacité au travail. Yoko de son côté se révèle être une jeune fille extrèmement possessive et jalouse vis à vis de son maître, et lui fait payer au prix fort tout écart de conduite ou infidélité.
Autant dire que les punitions pleuvent au fur et à mesure de leurs aventures, d'autant plus que leurs adversaires sont particulièrement imprévisibles ou délurés, et que Keita semble peu attiré par celle qui le suit (et le surveille) désormais jour et nuit.


Comme le synopsis de Nakei nous le présente la série semblait prometteur à travers la fonction d'un maitre et son Inukami. Mais voilà, il se trouve que l'animé s'embourbe trop dans des schémas quasi répétitifs durant les séquences d'action pour au final rester dans un classicisme désolant. La liaison sentimentale qui semblait se développer n'est nullement exploité de manière concrète, elle parait juste servir de bouche-trou. L'humour quant à lui devient aussi très lourd par la suite car s'appuyant uniquement sur l'aspect fan service rendant ce dernier insipide. Et quand on arrive au final, celui-ci est tellement ridicule à cause de cet affrontement inégal qui semblait présager une fin tirée par les cheveux. Avec un début assez marrant, la série perd de fil en aiguille la gaieté qu'elle nous procurait à cause de sa lourdeur du au fait qu'elle rentra dans les cordes d'un classicisme scénaristique à tel point que la fin se fait attendre.

Les graphismes sont assez jolis et coloriés pas grand chose à redire dessus même s'il ne reflétait pas de la qualité. Le chara-design comme l'animation étaient vraiment moyens mais en s'adaptant on finit par s'y faire. Les personnages sont tous ultra-clichés, on avait de tout: de la tsundere, du Kawai... etc Je mentionnerai aussi que le personnage de Nadeshiko m'a beaucoup énervé sur la fin.

Les thèmes musicaux sont à l'image de la série (banal) malgré le fait que ce soit la célèbre Yui horie (seiyuu de Yoko) qui interprète l'opening. Les OST n'ont pas été oubliés juste qu'ils sont passés inaperçu à mon écoute.

Inukami! est une série quelconque dont le terme moyen voir même médiocre revient de nombreuses fois sur tous ses aspects. Maintenant reste à savoir si elle saura captiver votre attention... ou pas :)


105
Mangas / Kimi no Iru Machi
« le: 23 juillet 2009, 20:14:38 »
FICHE TECHNIQUE

Auteur: Seo Kôji
Origine: Japon
Année de création: 2008
Titre original: Kimi no Iru Machi
Nombre de volumes: Indéfini


.::Synopsis::. soumis par yamato

Eba Yusuki quitte Tokyo et ses ami(e)s pour aller étudier et vivre chez Haruto. Sur le chemin de l'école, ils rencontrent Kanzaki Nanami, une camarade de classe, ce qui met mal à l'aise Haruto. Un triangle amoureux se serait-il mis en place ?

Mon avis sera très bref après lecture de quelques pages de ce manga. C'est un shonen sentimental qui est édulcoré, on prend du plaisir à suivre l'évolution relationnel de nos protagonistes dont les caractères et les agissement sont assez potables. J'apprécie aussi beaucoup les traits de dessins de Mr Seo Kôji le papa de Suzuka.
Bref encore un mélange d'histoire sentimentale lycéenne & Co. certains diront... Il faut toutefois reconnaitre que cette œuvre ne suit pas le chemin habituel puisqu'à travers son fil conducteur elle réussit à intégrer d'autres thèmes dont je n'ai pas encore la certitude absolue et j'attendrai un peu avant de le confirmer.
Quoiqu'il en soit je trouve l'histoire mignonne comme tout, rose bonbon de quoi vous filer un sourire après sa lecture pour ceux/celles qui seront tentés. Affaire à suivre...

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