J’ai bien avancé sur
DQ XI. J’ai récupéré tous les PJs disponibles (si j’en crois l’image sur la boîte du jeu), et il y’a eu pas mal de révélations sur le passé du héros. À priori on attaque un nouvel « arc » du scénario dans lequel on se met à la recherche de puissants artefacts sensés aider à vaincre le mal.
Pour l’instant, j’avoue que le jeu est très agréable à suivre: les différentes étapes et villes visitées au cours du voyage ne manquent pas de charme et l’on sent l’envie des développeurs de renforcer l’impression de voyage, quitte à forcer le trait et tomber dans la caricature (Gondolia et ses habitants à l’accent Italien très prononcé). Chaque nouvelle rencontre est généralement particulièrement plaisante, et l’exploration d’une nouvelle zone est grandement encouragée (généralement je passe une bonne heure à fouiller les villes de fond en comble avant même de commencer à m’intéresser à la suite de l’histoire).
D’ailleurs l’histoire, malgré un design signé Toriyama, n’hésite pas à aborder des thématiques très matures, heureusement contrebalancées par une ambiance très colorée et vivante. Mais on sent que le héros et ses compagnons vivent des trucs pas toujours très agréables, et la plupart semblent cacher quelques lourds secrets.
Il y’a aussi la zone « cachée » de Chronopolis à laquelle il faudra que je m’intéresse, mais pour l’instant que l’histoire avance à bon train, ça m’ennuie de revenir en arrière pour ça. D’autant que j’ai du mal avec le design 2D de la zone.
Dernier point, la musique. Alors oui, le thème en version orchestrale est très bien, mais c’est le même qui tourne en boucle la majeure partie du temps. J’ignore si c’est le cas pour les autres jeux de la licence, mais pour un RPG signé Square-Enix j’aurais pu m’attendre à une BO plus fournie et variée, s’adaptant aux situations et lieux visités.
Bref, pour l’instant je m’éclate et c’est un vrai plaisir de découvrir cette histoire.