166
Général Blabla / Re : Animation en Dehors du Japon
« le: 11 février 2021, 20:09:04 »
Onyx Equinox
Probablement la production Crunchyroll Originals qui avait le plus retenu mon attention lors de l'annonce du projet.
Plongée en plein folklore Aztèque:
alors qu'un pari sur le sort de l'humanité se joue entre les Dieux, Izel est choisi comme champion pour représenter les hommes, sa mission, fermer les cinq portes des Enfers avant que la situation ne devienne irrémédiable.
Folklore Azteque, rien que cette mention a suffit pour me motiver, pas tant que je sois un dingue de cette ancienne culture mais je n'avais pas vu tel dépoussiérage depuis Les Mystérieuses Cités D'or et c'est largement appréciable.
D'ailleurs plus que de Folklore à proprement parler, il s'agit plutôt de mythologie, si la patte graphique est assez conventionnelle dans le style U.S, le charadesign en revanche tire son épingle du jeu dans sa représentation de l'univers, les divinités et autres créatures fantastiques en l'ocurrence, sont plutôt géniales, on sent une véritable étude dans le choix de la palette largement bariolée de rouge sang, de vert outre-tombe et bien sûr d'or précieux.
Onyx Equinox a sû se parer d'atours pertinents ce qui vient rattraper l'animation un peu faiblarde.
Ensuite l'écriture semble d'avantage axée sur la construction de l'intrigue que sur celle des personnages ce qui expliquerait pourquoi les relations entre les personnages semblent si... chaotiques? pour ne pas dire hystériques dans certains cas... malgré tout un attachement qui se crée autour des persos' rassemblés là par la force du destin après avoir pris cher.
j'en reviens décidement toujours à ce bon vieux Avatar sauf qu'à la différence d'Avatar il y a très souvent des effusions de violences genre fracture ouvertes qui m'ont d'abord étonnés mais qui finalement font écho au contexte d'urgence apocalyptique.
sans parler de la violence sacrificielle et tout les trucs fun propre aux civilisations Amerindiennes.
L'avantage c'est que la structure elle, au fur et à mesure devient de plus en plus solide.
Des twist osés, d'autres juste néccesaires, en tout cas la série n'hésite pas à faire ce qu'il faut pour avancer et même si ça semble un peu condensé, on sort des 12 épisodes en ayant la sensation qu'il s'est vraiment passé des trucs, qu'on a eu des réponses pas trop mal ficélées et que ça promet pour la saison 2 (inch' Allah).
Probablement la production Crunchyroll Originals qui avait le plus retenu mon attention lors de l'annonce du projet.
Plongée en plein folklore Aztèque:
alors qu'un pari sur le sort de l'humanité se joue entre les Dieux, Izel est choisi comme champion pour représenter les hommes, sa mission, fermer les cinq portes des Enfers avant que la situation ne devienne irrémédiable.
Folklore Azteque, rien que cette mention a suffit pour me motiver, pas tant que je sois un dingue de cette ancienne culture mais je n'avais pas vu tel dépoussiérage depuis Les Mystérieuses Cités D'or et c'est largement appréciable.
D'ailleurs plus que de Folklore à proprement parler, il s'agit plutôt de mythologie, si la patte graphique est assez conventionnelle dans le style U.S, le charadesign en revanche tire son épingle du jeu dans sa représentation de l'univers, les divinités et autres créatures fantastiques en l'ocurrence, sont plutôt géniales, on sent une véritable étude dans le choix de la palette largement bariolée de rouge sang, de vert outre-tombe et bien sûr d'or précieux.
Onyx Equinox a sû se parer d'atours pertinents ce qui vient rattraper l'animation un peu faiblarde.
Ensuite l'écriture semble d'avantage axée sur la construction de l'intrigue que sur celle des personnages ce qui expliquerait pourquoi les relations entre les personnages semblent si... chaotiques? pour ne pas dire hystériques dans certains cas... malgré tout un attachement qui se crée autour des persos' rassemblés là par la force du destin après avoir pris cher.
j'en reviens décidement toujours à ce bon vieux Avatar sauf qu'à la différence d'Avatar il y a très souvent des effusions de violences genre fracture ouvertes qui m'ont d'abord étonnés mais qui finalement font écho au contexte d'urgence apocalyptique.
sans parler de la violence sacrificielle et tout les trucs fun propre aux civilisations Amerindiennes.
L'avantage c'est que la structure elle, au fur et à mesure devient de plus en plus solide.
Des twist osés, d'autres juste néccesaires, en tout cas la série n'hésite pas à faire ce qu'il faut pour avancer et même si ça semble un peu condensé, on sort des 12 épisodes en ayant la sensation qu'il s'est vraiment passé des trucs, qu'on a eu des réponses pas trop mal ficélées et que ça promet pour la saison 2 (inch' Allah).