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Messages - DD069

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Généralités animes et mangas / Re : Vos Critiques - V2
« le: 08 Juin 2025, 13:18:31 »
Je ne sais pas si je suis au bon endroit, sinon delacer le.
Mais voilà ma critique sur Hikari no Densetsu.


Cynthia ou le rythme de la vie (Hikari no densetsu) est un anime en 19 épisodes. Il est réalisé par Tomomitsu Mochizuki (Creamy Mami), au studio Tatsunoko Pro ; auquel doit-on notamment des séries. Par exemple : Macross et Gatchaman.
C’est l’occasion de (re) découvrir cette série qui a fait tant bercer notre enfance, à l’époque sur feu La Cinq vers la fin des années quatre-vingt.

Synopsis
Cynthia (Hikari) jeune débutante en Gymnastique Rythmique, rêve de marcher sur les traces de son idole, la grande Diliana Gueorguiva. Pour cela, elle doit travailler dur. Elle est conseillée pour cela par Déborah (Hazuki) et de Willy (Takashi). Mais le chemin est long et semé d’embuches. De plus, question d’amour pour Willy, sa rivale Déborah convoite également ce dernier.
Quand mêle l’amour et la passion de la gym, ça ne préserve rien de bien pour la suite de leur carrière.

Au rythme de mon ruban !

Cette mini série reprend au plus près de la réalité et de l’envers du décor. Entre déboires, rivalité et amour vont bon train, il n’est pas facile de trouver le bon équilibre. Il n’est pas sans rappeler un certains « Jeanne et Serge ». Les émois des adolescents.
Une championne au talent brut qui demande qui monte en puissance au fil de ses prestations. C’est dans l’adversité que l’on devient meilleur. L’aspect et la pression psychologique des personnages jouent beaucoup dans la série.  Nous suivons la gym, comme si on regardait un championnat de GRS à la télé !
Elle est aussi aidée par Frédéric (Mao Natsukawa). Un chanteur de rock amateur qui compose les musiques, uniquement pour Cynthia. Elle pourra alors poursuivre son propre programme d’enchainement, aux entrainements comme en compétitions.

Analyse de fin
Le coffret collector, édité par Déclic Image, possède une piste japonaise en plus. À l’intérieur, on trouve cinq DVD sans bonus ainsi qu’un fascicule de 27 pages. En l’ouvrant, il contient : les origines de la série, les personnages, l’histoire de la GRS, fiche technique,etc. Aussi les images extraites, retraçant les meilleurs moments de ladite série.
Un bon moment vous attend. Cerise sur le gâteau : l’image ne souffre pas de l’époque et on sent le travail de l’éditeur. La qualité est au rendez-vous. Un doublage plutôt réussi. On se surprendra de fredonner ce générique culte et sympathique chantée par Claude Lombard. Un joli écrin à la couleur dominante blanche avec une touche de violet vaut vraiment le détour.
Cette licence ravira les petits et les plus grands d’entre-nous qui avons été bercé par « Youpi, l’école est finie ! ».
Alors à vos rubans !

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Anime-Kun Feedback / Re : Ajout dans la base de données
« le: 01 Juin 2025, 11:10:49 »
Bonjour

Sauf erreur de ma part, je ne vois pas dans la base de donnée : Magister, de l'école à l'hôpital & C'est de l'amour crois-moi !

est-ce qu'il serait possible de les ajoutés s'il vous plait ?

Merci  ;)

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Mangas / Magister - l'école à l'hôpital
« le: 17 Mai 2025, 14:09:58 »
« Magister, l’école à l’hôpital » est un one-shot épais. Scénariser par Junji Yamamoto et au dessin : Syoichi Tanazono. Publier en 2025 par Shogakukan au Japon et en France par Akata. Un titre qui sera émouvoir petit et grand. On partage les joies et les peines, dans cette unité pas comme les autres. Une occasion pour découvrir ce (gros) bijou.

 

Synopsis

Ume Sumi, enseignait à l’école primaire depuis trois ans. Quand un livre pris au hasard va alors bouleverser sa vie.  Depuis, inspirée par la lecture, elle a rejoint une unité un pas comme les autres. Spécialisé dans l’enseignement à l’hôpital. Mais les choses ne vont pas tourner en sa faveur comme prévu. Malgré son expérience, elle doit revoir les bases. Sous la tutelle de Kyôhei Misaki, ensemble, ils devront surmonter les épreuves.

Sera-t-elle à la hauteur de son nouveau boulot ?

 

Une expérience ultime, mais des incertitudes

Réapprendre son métier relève d’un véritable parcours du combattant. La moindre erreur se paye cash et devient comme un scalpel. Choisir les mots avec parcimonie est un casse-tête de tous les instants. Ume comprendra malgré son expérience que rien n’est acquis d’avance. À tel point qu’elle a pensé à démissionner !

Cependant, elle s’accroche tant bien que mal à sa vocation de professeur. Des incertitudes, tout le monde en aura, mais les réponses se trouvent toujours sur le terrain.  « Oublie toutes les théories qu’on t’a apprises sur la pédagogie ! »

Elle tombera sur des moments difficiles. Vivre va devenir une épreuve à surmonter. Les enfants sont plus ou moins atteints par la maladie, mais avec des aspects psychologiques très différents.

 

Mot de la fin 


Sous le titre : Magister - Misaki sensei no Byôin Hômon jugyo, est un manga émouvant et  tendres à la fois. Remplie de larmes et de joies. Le scénariste Junji Yamamoto, apporte toute son expérience vécue à travers plus de 200 pages que compose l’œuvre en question.

Avec pour seul bémol : qu’il n’y a pas de suite hélas !

Ce titre n’a rien de banal. On a entre les mains, une œuvre à la qualité remarquable. Tant à la traduction, qu’au papier mi-épais que l’on glisse sous nos doigts. Ce dernier et ultime chapitre est douloureux. Malheureusement, la réalité est bien réelle. Rien n’est laissé au hasard. De nombreux obstacles de la vie sont bien présents tout au long du tome. Les expressions de ces personnages sont touchantes et de réalisme, bien que parfois les dessins sont simplistes.  L’aspect psychologique est le point fort culminant. Sous le thème : éducation, enfance et solidarité en font un très bon choix de titre et on passe un moment agréable en leurs compagnies. Trois mots seulement, mais qui en dit long.

Cette licence, mérite plus qu’un prix honorable, tant il est intéressant. Par contre, comme bien trop souvent, certains titres d’une rare qualité passent inaperçus et c'est bien dommage. Voilà un conseil que je vous donne : c’est un titre judicieux que vous devez avoir dans votre mangathèque. Essayer, c’est l’adopter.

Etes-vous prêt à rejoindre cette unité spéciale ?

Auteur : DD69

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Mangas / Hitman
« le: 27 Avril 2025, 11:34:02 »
Hitman est un manga de 13 tomes, du mangaka Kouji Seo, l’auteur de Fûka. Il est prépublié au Japon en 2018 par Kodansha LTD. L’éditeur français sort la licence en 2020 par Pika. Une maison d’édition renommée.

C’est l’occasion de (re) découvrir ce titre, pour les fans de l’auteur.

 

Synopsis

Le jeune Ryûnosuke Kenzaki va pouvoir réaliser son rêve : travailler dans la rédaction en tant qu’éditeur, pour le Shônen Magazine. Célèbre pour ses prépublications hebdomadaires de mangas.

Très vite, il va déceler un talent pur, du nom de Tsukasa, sa toute première auteure pour décider d’en faire une mangaka numéro un dans le monde du manga. Mais les choses ne se passent pas comme l’aurait souhaité Ryûnosuke. Le monde est cruel et la moindre erreur peut être fatale pour les deux partis : l'autrice et l’éditeur en question.

Arrivera-t-il à faire volte-face ?

 

Un dénicheur de talent à l’état brut

Il est des signes qui ne se trompent pas. Ryûnosuke Kenzaki ne fait pas exception. Dans un premier temps, ses débuts sont laborieux. Ce qui irrite certains lecteurs. Pourtant, plus l’histoire avance, plus il s’affirme. Malgré ses choix un peu trop judicieux, qui attire la colère de ses supérieurs et collègues de travail ; retourne la situation en sa faveur. Au vu des résultats de Kenzaki, il n’aura pas une, mais trois auteures aux caractères bien différentes et de par leur style de travail (Tsubasa, Shiori et Nanoka). Ensemble, ils sont parés pour un challenge à surmonter. Kenzaki agit plus qu’il ne réfléchit. Mais s’en sort toujours. Le dénicheur de talent c’est bien lui sans l’ombre d’un doute.

 

Analyse de fin



À la vue du titre, on pense très souvent à « comics ». Cela n’a rien à voir. Mais derrière ce titre, se cache un manga frais et se lit facilement. Bon lettrage, une traduction fidèle et excellente et un papier mi-épais de qualité. Une couverture très colorée, tape-à-l’œil attire la curiosité du public. Pas de chevauchements de cases inutiles.

On sent le savoir-faire de Pika Edititon et rend hommage à l’œuvre originelle.  Désormais, les mangakas n’hésitent plus à mettre en page leur journée quotidienne. Voir l’envers du décor. Et ça marche !

C’est effervescence et atteins des records de vente. Hitman aborde les thèmes : manga, quotidien et travail. Un brin de comédie à ajouter n’est pas usurpé.

 Quelques scènes de nudité, mais de façon modérée. L’humour, s’il n’est pas omniprésent, existe bel et bien. Ce qui diversifie les passages un peu (trop) sérieux.

Si vous aimez les œuvres de cet auteur, je vous invite à consulter le réseau social : Twitter. Des titres comme : Fûka, Suzuka, W’S, Cross Over et bien d’autres qu’on ne peut énumérer dans cette critique. Un mangaka de talent et expérimenté, mérite bien qu’on s’y attarde plus. Prévoyez de la place à votre mangathèque. 

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Mangas / Re : Yuri is my job!
« le: 24 Avril 2025, 12:38:06 »
Il y a deux résumés car je mets plus en avant l’histoire par la suite. Après dans l’avis c’est ce que je recentre et ressens en plus.

Il y a quand même un peu plus de suspense au bout des deux tomes que j’ai lu. Il faut que le lecteur assidu s’accroche au titre et de poursuivre la série. L’homosexualité et le LGBT+ est le centre d’intérêt.

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Mangas / Yuri is my job!
« le: 21 Avril 2025, 22:03:38 »

Yuri is my job ! est un manga yuri signé par Miman, comptant 13 tomes en cours au Japon. Sous le nom en version originale tortueux : Watashi no yuri wa oshigotoo desu !

Prépublié en 2016 au pays du soleil levant, par Comic Yuri Hime. En France, 8 volumes sont sortis de l’éditeur Meian (Yuri).  À la traduction : Marina Bonzi. L’éditeur français a attendu six ans avant de faire acquisition de la licence. C’est l’occasion de faire le point de ce titre fort prometteur.



Synopsis

« Un amour sincère ou seulement simulé ? »

Une romance yuri dans une ambiance de café scolaire, parfois sous (haute) tension.

Ce que veut Hime Shiraki, en classe de seconde au lycée, c’est d’être adulé de tous et de toutes. Un jour pourtant, elle va bousculer accidentellement la patronne du café. Elle doit alors la remplacer au pied levé. Elle devient désormais une employée de l’institut Liebe pour jeune fille. Jouant le rôle d’élèves pures et gracieuses, appartenant à une école catholique. Elle sera secondée par son amie Kaneko qui sera de la partie et de Mitsuki. Cette dernière fut une camarade de classe de primaire que Hime ne parvient pas à la reconnaitre. Tristement, Mitsuki est en froid avec Hime à cause de ses mensonges en manipulant son monde. Elle ne l'a jamais pardonné.

Parviendront-elles à se réconcilier ?



Dis-moi que tu m’aimes (même si c’est un mensonge)


Durant son enfance, Hime vit dans le mensonge absolu. Jouer à être l’idole de son lycée et être bonne élève. Mais mentir n’est pas l'option idéale. Elle l’apprendra à ses dépens, depuis la primaire. Seule Kaneko, sa meilleure amie connait son secret depuis longtemps. Un jour, elle bascule la patronne du café, au nom de Mai. Blessée, celle-ci laissera alors sa place d’employée du café Liebe à Hime. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. En effet, Hime doit apprendre sur le tas, malgré les explications de ses nouvelles collègues. Ses débuts seront laborieux. Dans son élan, devant les clients, elle surnomme Mitsuki de “grande sœur”. Jouant le rôle à fond de schwestern, dans une entente et ambiance bon enfant.  Une fois le café fermé, bas les masques. Mitsuki en colère que Hime l’appelle “grande sœur”, Mai eu l’idée de sortir une croix. Preuve de l’appartenance l’une à l’autre en tant que sœur et grande sœur.

Au fil du temps qui passe, Mitsuki commence par apprécier Hime et tombe sous son charme, au point d’avoir des sentiments nouveaux. Mais Kaneko, voit en elle comme une rivale et jalouse cette union de loin. C’est alors que nait un duel à deux pour avoir le cœur de Hime. Malheureusement pour Kaneko, elle perdit son portable. Mademoiselle Tachibana, une autre employée du café, voit les photos remplies avec Hime dessus.

Est-ce que son secret sera percé à jour ?



Avis simple et efficace

Voilà un manga yuri qui sort de l’ordinaire. Les relations d’amitié vont bon train. Sur le thème de l’homosexualité et du LGBT+ en dit long au fil des volumes, de main de maitre, Miman. On sent son style, à l'histoire au suspense insoutenable et insoupçonné. Miman a eu deux rôles : le dessin et au scénario. Sa première prépublication date de 2016 sous le même nom.

Hime joue les idoles, elle ressemble à une poupée en porcelaine. En attendant de voir un prince charismatique succombe à son charme. Un vrai conte de fées. Elle a depuis son enfance, vécut dans son propre univers.

 En anime, il fallut attendre sept ans avant de voir son œuvre diffusée au Japon. La traduction du manga est excellente et le lettrage de bonne qualité. L’éditeur français a choisi avec élégance un papier à grain mi-épais. L’encre ne salit pas les mains (maintenant on a l’habitude et les imprimeurs ont vite compris).

Nous sentons que l’édition Meian a mis tout son cœur pour rester le plus fidèle possible à l’œuvre originelle, sans se moquer de l’auteur. Sous une jaquette grise et blanche, assez discret, au milieu de tous ces yuris, dommage. Le seul véritable bémol : cette licence compte 13 volumes en cours. Autant dire s’armer de patience et faire place dans votre mangathèque. Cette longévité n’est pas sans rappeler à Citrus. Dix tomes sortis et sa suite : Citrus + avec cinq tomes toujours en cours.

Pas de déception dans le scénario. Dès les premières planches, la mise en avant a fait son déjà son effet. Pour les fans de yuri, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Essayer c’est l’adopter.

En France, le yuri n’est pas très apprécié des diffuseurs du grand écran. Ce qui irrite certains connaisseurs. Peut-être qu’un jour qui sait sortira les titres en support physiques dans un avenir proche.

Auteur : DD069

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Anime-Kun Feedback / Re : Ajout dans la base de données
« le: 23 Octobre 2024, 10:30:02 »
RAS
Merci GTZ. J'ai pu ajouté ma critique dessus.

8
Mangas / Re : Vamos là!
« le: 20 Octobre 2024, 17:49:55 »
J'ai adoré ce titre. C'est marrant et en plus sur le sujet de football en salle, il y en a pas des tonnes. J'ai fais ma critique dessus. Il est très bien et je vous le recommande si vous aimez le style " Oshida Yoshimi".

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Mangas / My,Myself & Me
« le: 19 Octobre 2024, 15:15:01 »



Me, Myself & Him est un manga shôjo en trois tomes de Mika Kajiyama. Publier en France par pika en 2016 et édité avec une couverture rose dominante, flash et attire la curiosité des lecteurs. Je m’en vais tout de suite vous faire une analyse de cette œuvre plus originale que surprenante.


Synopsis

Hayate a tout du frère « trop » protecteur vis-à-vis de sa sœur jumelle, Chôko, une lycéenne romanesque. Suite à une dispute, ils font une chute accidentelle dans l’escalier et se retrouvent dans le corps de l’autre. Le cauchemar peut alors commencer, surtout pour Hayate, un brin bagarreur et au sale caractère. Comment faire quand on a rendez-vous avec le beau et séduisant Tsukiyono si l’on est plus soi-même ?


« On s’amuse de se voir comme dans un miroir »

Est-ce qu’un jour vous rêviez être dans le corps de quelqu’un d’autre pour une journée voir plus ? Eux en tout cas n’avaient rien demandé. Ils devront cependant apprendre et de coopérer afin de faire bonne figure auprès de leur famille ainsi qu’aux camarades de classe. Son frère semble mieux s’adapter que sa sœur à gérer cette nouvelle vie, qui elle, enchaine gaffe sur gaffe au point de mettre dans l’embarras tout son entourage. Chôko est amoureuse de Tsukiyono, le beau gosse du lycée dont elle avoue d’avoir un faible pour lui. C’est alors que l’intéressée lui fait sa demande en le proposant de sortir avec elle. Malheureusement, c’était peu de temps avant ce fameux drame. Comment déguiser cette situation rocambolesque lorsque les esprits de chacun s’en trouvent inversé ?
Chôko en garçon manqué, je pense que cela fait son charme à tel point qu’on n’aimerait pas qu’elle redevienne normale ! On s’amuse de se voir comme dans un miroir, genre :un reflet qu’on regarde dans l’eau. Un peu comme un changement de personnalité. L’auteure mélange subtilement le côté romanticisme avec une bonne dose d’humour et son dessin d’un style épuré, soyeux aux cases propres sont agréable à lire qu’à regarder. Sa stratégie fonctionne très bien vendre son travail tout en observant les lectorats de tout sexe, de tout âge. La qualité du papier est vraiment de très bon choix, on ressent bien là tout le savoir-faire et l’expérience dont tire profit Pika. L’encrage n’est pas baveux, correct dans son ensemble ne salissant pas les doigts. La jaquette chatoyante ravira bon nombre d’entre nous. Un collage digne, non bâcler, sans laisser les nombreuses « coutures » d’où parfois les détachements des pages qui risque d’irrité plus d’un lecteur assidu.



Chose insolite, brillante idée

L’éditeur Pika édition s’est engagé pour l’environnement en réduisant l’empreinte carbone de ses livres. Leur papier est ainsi plus proche de celui de la version japonaise, ce qui pourrait apporter un petit plus non négligeable par rapport à certains de ses concurrents.


Mot de la fin

Ce manga se termine en trois tomes seulement. Un suspense haletant mélange subtilement la finesse du design et l’humour donne toute sa saveur à son œuvre en tout point fort réussie. Un pari tenu et gagné par Pika. On passe un moment agréable à lire les (mes) aventures de nos héros. Même si ce n’est pas le shôjo du siècle, il se démarque par son originalité que le lectorat aussi bien féminin que masculin trouvera son compte.


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Mangas / Re : Gals!
« le: 19 Octobre 2024, 14:57:37 »
J'ai beaucoup adoré ce titre de Mihona Fuji, même en anime. Ma préférence reste Miyu, pour moi. Je la trouve belle et son passé tortueux me conforte encore plus dans mon choix. C'est un manga en 10 tomes, dont je ne me suis pas lassé. Le scénario a tenu bon, avec des rebondissements et l'humour qui s'en dégage. Des sujets forts, mais avec ce titre, (Gals !) quoi de plus normal que de voir le milieu urbain dans Tokyo..& du quartier de Shibuya ! 

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Anime-Kun Feedback / Re : Ajout dans la base de données
« le: 16 Octobre 2024, 10:33:16 »
Bonjour

J'aimerai rajouter s'il vous plait dans la BDD, Sirius de Ana Cristina Sanchez (shojo ai).

Merci  :)

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Mangas / 300 jours avec toi
« le: 13 Octobre 2024, 20:47:50 »

300 Jours avec toi, en version originale à rallonge : Boku wa mata, kimi ni sayonara no kazu wo miru, ; est un manga édité en deux tomes chez nous par Doki Doki en 2022 et en 2016 au Japon. La première publication fut quatre ans plus tard par Square Enix Co.LTD . Une œuvre touchante, mélancolie à la fois. Ce titre sensibilisera tous les lecteurs de tous âges confondus, par la pureté des dessins et des personnages tant sur le plan émotionnel que psychologique. Faire face à une maladie incurable, dont on se sent impuissant à une épreuve sans aucun doute la plus dure à supporter. Dans ces pages, nous voyons ici nos jeunes héros vivant leurs derniers instants de bonheur avant le jour tant redouter.

Synopsis

En ce jour de printemps rempli de pétales de fleurs de cerisier, je l’ai rencontrée. Une fille solaire et pleine de vie. Mais lorsque j’ai pris sa main, un nombre troublant est apparu au-dessus de sa tête : « 300 ». Voici notre histoire commune, au fil des jours qui défilent trop vite.

Écris l’histoire

L’histoire raconte comment notre protagoniste du nom de Naoto Sasaki, qui va faire sa rentrée en première année de médecine. Les journées se passent comme à son habitude, jusqu’au jour où, en se baladant dans un parc cet au milieu des cerisiers en fleurs, il aperçoit une jeune fille au regard pensif du nom de Miu Minehara. Enjouée, mais aussi très directe, il lui propose à Naoto une promenade en barque. Ni une ni deux avec aplomb de se déclarer officiellement être « sa petite amie ». Notre héros est plutôt pris de cours par cette idée soudaine de Minehara. Ne cherchant pas trop à lui en dissuader de peur de sa réaction, accepte sans broncher. Minehara, le sentant mal à l’aise, le rassurera. Naoto, à un lourd secret qu’il ne peut pas révéler : il est capable avec son don, rien qu’en touchant la main d’une personne, de voir le nombre de jours qui lui reste à vivre. Dès son plus jeune âge, il a déjà vécu cette scène avec sa mère qui fut hospitalisée à cause de sa maladie. Quelques jours passèrent et Naoto intégra enfin sa nouvelle faculté de médecine le premier avril (jour de rentrée au Japon). Que ne fut pas sa surprise, quand il aperçut « la nouvelle », dont parlèrent les deux garçons ; qui n’est autre que Miu Minehara elle-même !

La fille « d’un jour » qu’il a fait connaissance par hasard partage le même établissement que lui. Grâce à elle, notre jeune étudiant qui jusqu’à présent timide et pas très sociable prend peu à peu de l’assurance. Leur brève rencontre va se transformer en véritable histoire d’amour et se rapprocher de plus en plus sérieusement au fil des pages.

De faire que chaque jour qui passe, soit une vie normale, malgré sa maladie qui la ronge, elle décide de la vivre à fond. Explorer des horizons différents à chaque instant avec son nouveau petit ami. C’est alors qu’arrive le jour tant redouté et notre jeune couple doit faire face à l’inévitable confrontation de la douloureuse expérience : la mort.

Des paysages et une couverture chatoyante

La couverture du premier tome est simplement magnifique. Claire et aux dessins réalisés par Kohei Nagashii, nous montre son panel de son brillant talent d’illustrateur. La teinte rosée dominée par le plan des fleurs de cerisiers en guise de décors à la jaquette tape l’œil du public. Ce qui attire la curiosité à l’envie de lire cette œuvre à la fois sublime apporte la subtilité des scènes tragiques jusqu’au bout.






Biographie de l’auteur

Kohei Nagshii est un dessinateur et scénariste ayant œuvré sous le nom du manga, « Hoshino, me o tsubette » des éditions Kodansha, qui est diamétralement opposé à 300 jours avec toi.  Né en 1991 au Japon. Ses ouvrages les plus connus sont : en 2015 Make me up ! en tant que scénariste et dessinateur. Puis en 2019 avec 300 jours avec toi dans le rôle qui lui est dû.

Epilogue

300 jours avec toi est un recueil en deux volumes. Si la première couverture est claire, la deuxième penche dans le côté sombre. On peut traduire par-là, comme la nuit, mais aussi les ténèbres. L’éditeur a eu la bonne idée de sortir une version écrin, dans un boitier cartonner fin et fragile. Ce procédé est très souvent utilisé en bande dessinée, notamment chez Bimboo édition, la maison mère de Doki Doki. De plus, vous aurez droit à un visuel supplémentaire au dos de l’écrin. Ici pas de doubles tomes reliés, mais tout simplement deux volumes parus peu de temps avant. Considérer ça comme une séance de rattrapage, s’il vous manque un volume, de se procurer cette version plutôt que de faire un achat séparément. Bien attendu, le prix est un peu plus bas pour cette dernière édition et plus avantageux. Attention, cela peut varier en fonction des magasins spécialisés.
S’il y a dans cette licence, une profondeur de la mise en page, ainsi les personnages de la série ne se perdent pas, bien au contraire. La qualité du papier est excellente avec un encrage des plus réussis. Rien à voir avec les débuts chez nous en France avec des pages qui jaunissent au fil des années avec des pigmentations et de l’encre sur les doigts. À la réflexion, on ne peut pas s’empêcher de faire une comparaison à un titre semblable avec le même style, mais un tout autre scénario : 100 jours avant ta mort, des éditions Glénat par Migihara. Procurez-vous ce titre, il en vaut largement la peine.

Ma critique ici


13
Chouette le clip de PSY. J'aurais jamais pense qu'il en existait.

- Gnamgnam style
- New Face
- That That
- Daddy

De bon clips pour passer un bon moment.

14
Mangas / Le maitre des livres
« le: 11 Octobre 2024, 20:20:03 »


Voici un manga qui mérite toute notre attention, de l’auteur Umiharu Shinohara des éditions Komikku qui se démarque par un ton juste, beaucoup d’humilité. Un cinquième art apprécié par les uns et bouder par d’autres. Pourtant à travers ces mots se cache une profonde sensibilité. Au Japon, il est édité par Houbunsha sous le titre Toshokan No Aruji en version originale en 15 tomes. Voici une analyse de ce titre. Showtime !

 

Synopsis

À la bibliothèque pour enfants « La Rose trémière » vous êtes accueillis et conseillés par Mikoshiba, un bibliothécaire binoclard célèbre pour son caractère bien trempé. Mais contrairement à ce qu’il peut laisser paraître, c’est un professionnel de premier ordre. Aujourd’hui encore, adultes comme enfants perdus dans leur vie viennent à lui en espérant qu’il leur trouvera le livre salvateur.



 « Ce n’est pas toi qui choisis les livres, mais les livres qui te choisissent »

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je pense qu’une brève présentation de quelques personnages sera utile. Commençons sans tarder par Mikoshiba : cet homme à la coupe de champignon que surnommera Kanzaki plus loin dans l’histoire est plutôt du genre sérieux et pas souriant loin de là ! Il le fait pour sa raison de vivre et prend son métier très à cœur. Cependant, il prête une oreille attentive aux demandes des clients. Un employé modèle à part. MR Miyamoto : fils d’un grand PDG d’une entreprise très importante. Sans ambition, il ne suit pas le chemin tracé par son père pour prendre sa succession et travaille dans une boîte modeste avec un petit grade de chef. Il est très modéré, ne s’énerve pratiquement jamais et naïf au niveau des sentiments qu’il ne cherche même pas à les exprimés. Il est devenu un client assidu, par la suite dû à un virus des livres. Les mères des enfants le surnommèrent « Le prince de la bibliothèque ». Itaya : considérée comme un peu le maillon faible des trois (Mikoshiba, Kanda & Itaya) sans aucun diplôme en poche, elle fût recrutée par Mme Kotegawa de façon assez originale. Tête en l’air, ne cachant en rien et dis ce que les autres pensent tout bas sans prendre de gants, blessant certain inconsciemment. Néanmoins, elle mesure l’ampleur de sa tâche et prend son métier très à cœur. Kanda : une jeune femme qui est diplômée. Son seul défaut c’est sa timidité, tout le contraire de Itaya, qui exprime (rarement) sa colère, mais de façon à bon escient intelligemment. Elle est amoureuse de Miyamoto en secret, même si cela se lit sur son visage, ce que ne voit pas l’intéressé, hélas ! Shôta : garçon dynamique parfois vulgaire et insupportable au début du tome. Le contact avec le monde des adultes, des bibliothécaires et de sa soudaine passion comme Miyamoto va le faire évoluer de manière flagrante au point de poser des questions plus pertinentes. Kotegawa Aoi : elle est la propriétaire de la bibliothèque qu’elle a fondée il y a trois ans. C’est la présidente du groupe Kotegawa spécialisée dans l’immobilier. Sa fortune colossale s’estime à plusieurs centaines de millions d’euros. Sa rencontre avec Mikoshiba remonte justement à trois ans, alors que celui-ci démarra sa carrière. Kotegawa était venue à l’époque en tant que cliente, mais rendue célèbre pour ses plaintes. Au fil du temps, elle fait de lui son principal conseiller. Puis lui fit une proposition intéressante qu’il ne peut pas refuser : tenir une bibliothèque privée avec la (futur) patronne ! Sa carrière va être boostée, prend du galon et deviendra responsable. Bon, sur ce, place à mon analyse sur les volumes que j’ai lue jusqu’à maintenant… Dès les premières pages, nous faisons de suite la connaissance du futur « Prince de la bibliothèque », Monsieur Miyamoto. Il est alors le digne héritier pour succéder à la tête d’une très importante entreprise dirigée par son père. Mais celui-ci ne veut pas attendre parler d’une voie déjà toute tracée et décida de prendre une autre direction dans sa vie. Il se fera embaucher dans une succursale plus modeste avec un petit grade de chef. Après une beuverie un soir avec ses collègues de travail, il erra sans but précis en pleine nuit. Son destin a voulu que sur son chemin, à peine éclairé par les lampadaires, trouve une bibliothèque privée perdue au milieu de nulle part en plein cœur d’un parc. Une fois à l’intérieur, il sentit une douce chaleur agréable dans cet espèce de « refuge » pour enfant où il fait bon vivre et fait donc la connaissance de celui qui sera pour lui le déclencheur de sa nouvelle vie. Étant petit, son enfance fût alors assez difficile et lire était un luxe pour lui. Au contact des livres, un nouveau virus (jusqu’à présent c’était les courses de chevaux) viendra ranimer sa flamme et nous connaissons maintenant pourquoi il est devenu depuis un client à part entière aux yeux des employés de ce lieu. D’emblée, au premier tome, le lecteur est conquis par la force que dégage ce titre. Non par le scénario, mais aux protagonistes tous aussi touchants malgré les caractères qui les opposent ! Nous passons par différents auteurs de livre que notre « tête de champignon » énumère sans la moindre difficulté. Passant de Dickens avec Oliver Twist, Stevenson célèbre pour l’ile au trésor, Conan Doyle pour son œuvre sur Sherlock Holmes & Victor Hugo avec Les Misérables pour ne citer qu’eux. Les clients sont des âmes perdues que Mikoshiba s’empresse à les aiguiller (les guides) à coup de titres par rapport aux problèmes que rencontre la personne. Ainsi celle-ci se sent en confiance, apaiser et apporte un semblant de solution aux questions auxquelles elle se pose. Les mots sont une force vivante sans le savoir et nous font souvent réfléchir. Dans ce premier volume, notre bibliothécaire va alors dire une phrase qui prendra tout son sens au fil de leurs aventures : « Ce n’est pas toi qui choisis les livres, mais les livres qui te choisissent ». Apporter du bonheur et de la joie aux enfants, aux adultes également, tels sont les objectifs des bibliothécaires de satisfaire les plus exigeants.
Le tome quatre vaut vraiment qu’on s’y attarde dessus. Pourquoi me direz-vous ?
Tout simplement parce que le passé des uns et des autres, qui dévoilés, même Mikoshiba ne fait pas exception (lui ce sera la seconde fois, soit dit en passant). Les sentiments s’enchainent aussi, laissant une liberté totale aux lecteurs de se faire un film ou une idée dans laquelle nos héros sont confrontés. Est-ce voulu de la part de l’auteur ?

Mot de la fin

Si vous avez aimé la littérature et l’ambiance qui se dégage de ce titre, alors je n’aurai qu’une seule phrase, « Bienvenue à la Rose trémière ». Nous prenons tous à un moment au cours de notre vie des chemins différents. Mais l’objectif est le même : prendre un nouveau départ en allant de l’avant sans jamais se retourner vers le passé et y faire face !
Komikku n’arrête pas pour notre plus grande joie à sortir des titres de qualités exceptionnelles que leur catalogue fourmille encore et encore par tant de richesse. Gageons sur une réussite à long terme. Umiharu a insufflé une touche personnelle dans ses personnages en leur attribuant des rôles.

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Auteur : DD069

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Séries TV - OAV - Films / Re : Jeanne et Serge
« le: 11 Octobre 2024, 11:41:37 »
J’ai vu cette série bon nombre de fois. C’est toujours aussi culte. Le succès est tel, que le nombre de licence a augmenté  aupres des clubs.

Par contre éviter la saison deux, elle n’en vaut pas la peine, sauf pour la nouvelle génération

Ma critique sur l'anime

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