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Général Blabla / Re : Quels animes à adapter en jeu de rôle
« le: 23 Février 2012, 09:44:23 »
bonjour à toutes et à tous ! Je vous laisse découvrir le personnage que j'incarne dans cette magnifique campagne de Fay ^^
Konstantyn Zalesky, Executeur de l'Eglise.
"Homme de peu de foi, n'est pas ce qui caractérise cet homme... Ce n'est qu'après une vie pauvre que la religion l'a absorbé en son sein. Tout du moins, qu'il ait pris en lui cette croyance avec une ferveur que peu de gens sont capable d'atteindre. Priant aux alentours de 4h du matin, continuant un rythme de vie pieux et minutieusement calculé et organisé selon le bon vouloir de Maître Temps. Une chronologie stricte et impartiale, inchangées et sans remèdes visible... Tel est le rythme de la vie de cet homme que vous voyez. Mais, ce regard que vous portez sur lui vous avait déjà donné ces réponses.
N'étant pas de taille assez imposante pour être un éxécuteur classique, Konstantyn avait donc l'apparence d'un homme déglise que vous rencontreriez au détour d'une paroisse communale sans le remarquer vraiment. Mais la taille n'est pas la seule chose qui vous ferez penser une chose telle que celle ci. En effet, dans son entourage il ne côtoie que trop peu de monde, même parmis les membres de son ordre. Si un jour vous tenez une discussion avec lui rien de réellement exceptionnel ne sortira de sa bouche, ni ne vous donnera l'envie de poursuivre une discussion avec la fougue de l'envie de savoir et connaître les mystères de cet homme. Peut être simplement parce que celui ci n'en a pas, ou trop peu pour vouloir les cacher. Tous ces détails ne sont que la futilité du premer regard que l'on pose sur lui, un simple être humain ordinaire ayant une vie d'éclésiastique normale.
Mais un détail particulier attire votre attention sur lui. Une infime particularité qui lui donne un ordre d'exception nouveau...
Vêtu d'un long manteau noir au col romain, il est accroupi, comme accablé par le poids de la croix de ses pêchés. D'assez bonne facture, celui ci semble bien plus lourd qu'un simple vêtement d'homme d'église. Des éraflures marquant le passage des années sur celui ci semblaient comme étant les cicatrices de Konstantyn lui même. Se relevant tranquillement lors de la première sonnerie indiquant 5 h du matin, il se tourne vers vous et, adressant un sourire, vous salut d'un signe de main. Une chemise blanche en meilleure forme que le manteau recouvrait son torse, et laissait dévoiler sur sa peau blanche deux croix en bois accrochées autour de son coup. L'une d'entre elle avait en son centre une image de Marie, la protectrice des mères. Quand à l'autre, le christ reposait dans une expression de compassion triste sur son support de mort.
Il était effectivement peu impressionnant ni marquant. Son visage était certe fin et marqué par le rythme isochronique de sa vie, mais rien de cela n'était particulier. Rasé de près, le teint blanc des européens imigrés au japon marquait son visage et contrastait avec sa crinière sombre ébouriffée qui ornait le haut de son crâne. Mais... Le bleu légèrement gris de ses yeux n'étaient pas commun... On voyait au travers de ceux ci l'envie d'avancer sur ce chemin de foi, tel une montagne implacable de volonté inébranlable. Un souffle d'assurance dans ces choix et sa façon d'être. Un voeux d'aller toujours vers ce que son coeur et sa foi lui dictaient. Comme le lac juché au creux d'une montagne par un soir d'hivers, la fine pellicule de neige recouvrant les feuilles des arbres autour du point d'eau... Ce paysage vous inspire un intérêt... Et vous poussait a regarder cet homme qui prie devant le Saint Homme Déifié...."
Je me souviens encore de cet être en face de moi... Cet homme persuadé que le mondedans lequel il vivait et par lequel il vivait était le bon, le juste, le cercle et le cycle de vie à suivre. Son dernier témoignage figure également dans ce carnet dédié à son existence, oeuvre d'une vie. Il parle avant l'arrivée de changements parvenus dans sa vie et surtout dans son coeur, das ses gestes mais aussi dans ses pensées. Il affirme son point de vue de manière objective, posant les bases de sa vie devant celui qui l'écoutait en cet instant. Je vous laisse donc la découvrir...
"Mon passé n'es rien comparé à l'instant présent, car la vie est un cycle perpétuel, une boucle sans fin ou la vie et la mort s'entremêlent dans un balet de contrastes et d'étincelles. Je ne suis qu'un maillon de cette longue chaîne qu'est la réalité confrontée à elle même. Crée par le Tout-Puissant, nous sommes le fruit de sa bonté et nous nous devons d'honorer cette volonté d'insuffler la vie en nous. Tout ce qui est contraire à cette vie ne mérite plus cet amour qu'il nous offre... Tout ce qui est contraire a cet amour doit disparaitre.
C'est ainsi que par le feu et l'acier Dieu m'a choisi pour accomplir sa volonté. Il ne veut rien qui sorte de sa création, rien qui soit contraire à sa compassion et son amour... "
Joignant le geste et la parole et comme pour expliquer ses dires, il sort de sous sa bure une Black key dans un main. Une poignée sombre, garde d'une épée du 17eme siècle, miroitant d'éclats bleutés, comme reflettant le regard de notre cher inquisiteur. Les Black keys, armes de prédilection des Exécuteurs de l'Eglise... C'est depuis la création de cet ordre que ces lames maintenant si ordinaires pour eux existent. Capable de trancher la chair aussi bien que l'esprit, ces lames puisent leurs forces dans le mana de son porteur, devenant meurtières entre les mains de celui ci.
De son autre main, il nous présenta quelque chose de plus commun, mais également d'anormal pour un éclésiastique tel que lui. Un petit magnum chargé et d'excellente qualité, étincellant à la lumière du soleil qui était en train de se lever. Devant mon regard interrogateur, il sourit avec un éclat de tristesse.
"C'est par l'acier ou la divinité que les ennemis de Dieu seront terrassé. Le Père de toutes chose m'a donné les deux, j'appliquerai donc sa volonté."
Il rangea son attirail et nous pria de l'excuser, car l'heure était pour lui venue de vaquer à une autre occupation. Il était 8h du matin... L'heure d'un entraînement pour le combat contre les "incycliques"... Peut être ceci sera le titre de ce carnet de note, qui sait...
Konstantyn Zalesky, Executeur de l'Eglise.
"Homme de peu de foi, n'est pas ce qui caractérise cet homme... Ce n'est qu'après une vie pauvre que la religion l'a absorbé en son sein. Tout du moins, qu'il ait pris en lui cette croyance avec une ferveur que peu de gens sont capable d'atteindre. Priant aux alentours de 4h du matin, continuant un rythme de vie pieux et minutieusement calculé et organisé selon le bon vouloir de Maître Temps. Une chronologie stricte et impartiale, inchangées et sans remèdes visible... Tel est le rythme de la vie de cet homme que vous voyez. Mais, ce regard que vous portez sur lui vous avait déjà donné ces réponses.
N'étant pas de taille assez imposante pour être un éxécuteur classique, Konstantyn avait donc l'apparence d'un homme déglise que vous rencontreriez au détour d'une paroisse communale sans le remarquer vraiment. Mais la taille n'est pas la seule chose qui vous ferez penser une chose telle que celle ci. En effet, dans son entourage il ne côtoie que trop peu de monde, même parmis les membres de son ordre. Si un jour vous tenez une discussion avec lui rien de réellement exceptionnel ne sortira de sa bouche, ni ne vous donnera l'envie de poursuivre une discussion avec la fougue de l'envie de savoir et connaître les mystères de cet homme. Peut être simplement parce que celui ci n'en a pas, ou trop peu pour vouloir les cacher. Tous ces détails ne sont que la futilité du premer regard que l'on pose sur lui, un simple être humain ordinaire ayant une vie d'éclésiastique normale.
Mais un détail particulier attire votre attention sur lui. Une infime particularité qui lui donne un ordre d'exception nouveau...
Vêtu d'un long manteau noir au col romain, il est accroupi, comme accablé par le poids de la croix de ses pêchés. D'assez bonne facture, celui ci semble bien plus lourd qu'un simple vêtement d'homme d'église. Des éraflures marquant le passage des années sur celui ci semblaient comme étant les cicatrices de Konstantyn lui même. Se relevant tranquillement lors de la première sonnerie indiquant 5 h du matin, il se tourne vers vous et, adressant un sourire, vous salut d'un signe de main. Une chemise blanche en meilleure forme que le manteau recouvrait son torse, et laissait dévoiler sur sa peau blanche deux croix en bois accrochées autour de son coup. L'une d'entre elle avait en son centre une image de Marie, la protectrice des mères. Quand à l'autre, le christ reposait dans une expression de compassion triste sur son support de mort.
Il était effectivement peu impressionnant ni marquant. Son visage était certe fin et marqué par le rythme isochronique de sa vie, mais rien de cela n'était particulier. Rasé de près, le teint blanc des européens imigrés au japon marquait son visage et contrastait avec sa crinière sombre ébouriffée qui ornait le haut de son crâne. Mais... Le bleu légèrement gris de ses yeux n'étaient pas commun... On voyait au travers de ceux ci l'envie d'avancer sur ce chemin de foi, tel une montagne implacable de volonté inébranlable. Un souffle d'assurance dans ces choix et sa façon d'être. Un voeux d'aller toujours vers ce que son coeur et sa foi lui dictaient. Comme le lac juché au creux d'une montagne par un soir d'hivers, la fine pellicule de neige recouvrant les feuilles des arbres autour du point d'eau... Ce paysage vous inspire un intérêt... Et vous poussait a regarder cet homme qui prie devant le Saint Homme Déifié...."
Je me souviens encore de cet être en face de moi... Cet homme persuadé que le mondedans lequel il vivait et par lequel il vivait était le bon, le juste, le cercle et le cycle de vie à suivre. Son dernier témoignage figure également dans ce carnet dédié à son existence, oeuvre d'une vie. Il parle avant l'arrivée de changements parvenus dans sa vie et surtout dans son coeur, das ses gestes mais aussi dans ses pensées. Il affirme son point de vue de manière objective, posant les bases de sa vie devant celui qui l'écoutait en cet instant. Je vous laisse donc la découvrir...
"Mon passé n'es rien comparé à l'instant présent, car la vie est un cycle perpétuel, une boucle sans fin ou la vie et la mort s'entremêlent dans un balet de contrastes et d'étincelles. Je ne suis qu'un maillon de cette longue chaîne qu'est la réalité confrontée à elle même. Crée par le Tout-Puissant, nous sommes le fruit de sa bonté et nous nous devons d'honorer cette volonté d'insuffler la vie en nous. Tout ce qui est contraire à cette vie ne mérite plus cet amour qu'il nous offre... Tout ce qui est contraire a cet amour doit disparaitre.
C'est ainsi que par le feu et l'acier Dieu m'a choisi pour accomplir sa volonté. Il ne veut rien qui sorte de sa création, rien qui soit contraire à sa compassion et son amour... "
Joignant le geste et la parole et comme pour expliquer ses dires, il sort de sous sa bure une Black key dans un main. Une poignée sombre, garde d'une épée du 17eme siècle, miroitant d'éclats bleutés, comme reflettant le regard de notre cher inquisiteur. Les Black keys, armes de prédilection des Exécuteurs de l'Eglise... C'est depuis la création de cet ordre que ces lames maintenant si ordinaires pour eux existent. Capable de trancher la chair aussi bien que l'esprit, ces lames puisent leurs forces dans le mana de son porteur, devenant meurtières entre les mains de celui ci.
De son autre main, il nous présenta quelque chose de plus commun, mais également d'anormal pour un éclésiastique tel que lui. Un petit magnum chargé et d'excellente qualité, étincellant à la lumière du soleil qui était en train de se lever. Devant mon regard interrogateur, il sourit avec un éclat de tristesse.
"C'est par l'acier ou la divinité que les ennemis de Dieu seront terrassé. Le Père de toutes chose m'a donné les deux, j'appliquerai donc sa volonté."
Il rangea son attirail et nous pria de l'excuser, car l'heure était pour lui venue de vaquer à une autre occupation. Il était 8h du matin... L'heure d'un entraînement pour le combat contre les "incycliques"... Peut être ceci sera le titre de ce carnet de note, qui sait...