et Zankaze jette le pavé!
Nan mais c'est vrai que l'intérêt se situe ailleurs.
Quoi pas ouf??!!! Waterworld c'est le bijoux type qui a mangé le mur injustement et qui a connu la gloire post mortem comme un peintre Impressionniste.
Master and Commander lui a connu la gloire brièvement et a sombré aussi tôt.
victimes de l'injustice!
À part ça j'ai décidé de rebrancher sur American Horror Story S8.
Je regardais en dents de scie un peu déçu par une baisse de niveau - certes attendue - après deux fucking excellentes saisons!
et malgré mon respect pour un challenge ambitieux et un concept de roulement d'acteurs vraiment talentueux, j'avais fini par carrément zappé après la 5 parce que les saisons suivantes s'enlisaient et peinaient à renouveler les mécanismes narratif et de mise en scène d'une licence ayant déjà atteint un sacré niveau d'ingéniosité en terme de construction et découpage de plans.
Bref, premier épisode:
Cette nouvelle saison comme l'annonce son titre a pour thème l'apocalypse.
Ça se fait d'entrée de jeu au moins, avec notamment le fameux coup du journaliste qui balance son Oh my God, this is the end, God Bless You gnagnagna.
On commence à instaurer la dynamique de cette future saison après avoir introduit le cadre avec efficacité et même une certaine sobriété au-delà du contexte intitial.
Une direction artistique qui se réinvente toujours dans la fusion des styles, oscillant entre l'édito de modasse et le riche héritage des grands classiques d'horreur, notamment au niveau des costumes et bien sûr du Giallo.
de nouveaux acteurs que j'attend au tournant et les autres qu'il est fort agréable de retrouver comme Sarah Paulson ou Evan Peters.
Reste à savoir si le recyclage des mythes ou autres fantasmes morbides et sulfureux connus du plus grand nombre suffira à entretenir l'ambiguïté d'une trame pleine de suspens et de terribles promesses...
Depuis les derniers précédents, j'aurais tendance à penser à un coup d'épée dans l'eau mais j'espère que je me plante, cette fois-ci j'ai envie d'y croire.