Critique de l'anime AIKa

Précédent la série Najica de quelques années, Aika tient en trois concepts :

1) Gros flingues, gros équipements (Hind Russe... Auteur amoureux de l'armement soviétique ???), ambiance James Bond Girl... sans l'agent 007.

2) Scénario classique (Héroïne doit sauver la terre de vilains pas beaux). Très léger, mais on n'est pas là pour ça.

3) Pantsu. Mais alors :

Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu- Pantsu-pantsu-pantsu

(Non, je ne suis pas Chi, lol).

C'est en gros le nombre de fois où vous verrez par épisode ( +- 20 à 25 minutes) une culotte.

Vous l'aurez compris, le genre est spécifique et vise le fétichiste du bout de vêtement qui couvre la pudeur et préserve la morale publique de ces dames (paraît que le même syndrôme existe avec des caleçons portés... Pouark, nettement moins érotiques pour moi, lol). Sous tous les angles, en dentelles ou en coton, vous allez être servi, en travelling, en zoom, de toutes les couleurs, sous toutes les poses (souvent bien choisies d'ailleurs, "bedit bervers" dit le colonel Shultz), c'est orgiesque... Et franchement lassant. *** NB : Pensée pour moi-même, Je ne dois pas être féchiste ***

Le dessin est sympa, mis à part l'excès d'intérêt pour les culottes. Jolies nanas, jolies formes, dessin aux teintes chaudes, musiques réussies et discrètes.

Bon, maintenant, faut que je refile la série sur eBay...

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Bilan :

Fétichiste de sous-vêtement : 10/10

Etre normalement constitué : 3/10