Critique de l'anime Hakkenden

The Hakkenden, une adaptation d’un roman de 106 volumes écrit par Kyokutei Bakin durant la moitié de l’ère Edo. Donc, ça démontre bien l’anime et les travaux d'Hakkenden sont un classique nippon.

J’ai trouvé que l’animation pour un anime des années 90 était superbe. Il ne faut pas être surpris du résultat à cause du gros effort d’équipes de cette décennie-là. C’est vraiment beau niveau visuel à part que l’épisode 10 où l’animation est différente. Ce qui m’a déçu et qui a fait perdre un point à ma critique. (Une chance qu’après tout redevient normal). La musique est très bien faite surtout avec le premier ending qui nous fait adorer le tout.

Le scénario est vraiment d’une beauté unique sans pareil! On est accros assez vite à l’histoire parce que c’est unique, chaque personnage à leurs personnalités et que tout est en place pour aimer une situation, qu’on rebondisse sur une situation triste ou bien qui nous fait réagir. C’est le genre de chose qu’on oublie de nos jours, ce qui est vraiment désolant. Merci à Kyokutei Bakin pour cette œuvre merveilleuse. Sinon, les personnages ont tous leurs voies propres ce qui nous fait plus qu’adorés les épisodes. Ils évoluent au fur à mesure de l’histoire. Il y a aussi le fait de voir leurs passés propres qui nous fait bavé. Je n’ai pas vraiment de personnage préféré, l’auteur les utilise assez à bon escient. L’antagoniste de l’histoire est tellement vicieux, il y a une tête qui fait haïr et on le déteste déjà à la première rencontre. Je vous donne un conseil, ne vous fiez pas trop à l’épisode 1 qui peut vous mélangez, mais après tout devient plus clair.

En conclusion, Hakkenden nous démontre les qualités chez l’être humain tout comme les défauts de l’homme avec une bonne morale à la fin de l’histoire. Je me demande pourquoi l’anime est méconnu par beaucoup de monde dans le monde. À part, les Japonais qui devraient tous connaître cette œuvre fantastique. Ça mérite d’être pris en considération pour diverse raison qui vous poussera à aimer cette OAV.