Malice@Doll

Malice@Doll

Malice Doll est un robot conçu pour se prostituer ; elle fait partie des derniers êtres vivant au sein d'une ville fantômatique d'où les hommes ont disparu depuis longtemps pour des raisons inconnues. Chaque jour, elle se réveille un peu plus usée, mais cela ne l'empêche pas de rendre visite à ses amies, des robots du même type, et de croiser les gardiens robotisés de ce lieu abandonné.
Cependant, un jour, tout bascule, elle pénètre dans un endroit qu'elle n'avait jamais vu avant ; elle est alors saisie par des tentacules jaillis d'une sorte de statue étrange, qui pénètrent en elles et lui infusent d'étranges capacités.

Le lendemain, comme chaque jour, elle se réveille, mais elle est devenue humaine, et par de simples baisers elle devient capable de contaminer les autres robots pour les transformer en monstres humanoïdes...
Quelle est donc la mission que s'est attribuée Malice Doll ?

Cet OAV est entièrement réalisé en 3D. A l'origine ce sont 3 OAV qui ont été par la suite mis bout à bout pour faire un seul et unique film.

Synopsis soumis par watanuki

Yukie Yamada (Malice)

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Critiques des membres

#Par Nakei1024 le 16-01-2010

8

Malice @ Doll, ou comment avoir l'impression de faire un rêve éveillé, sans aucune prise sur l'histoire qui nous est contée. La première chose qui frappe, c'est que c'est quand même assez moche, dans un style proche de FF VIII, mais très mal animé. Mais si c'était aussi raté que ce que l'on pourrait croire au premier abord, alors pourquoi cette ville et ses "habitants" m'ont semblé si crédibles et, paradoxe total avec leur statut, si vivants et remplis d'émotions. Car oui, malgré leur état de simples objets de plaisirs (des poupées), on découvre qu'étrangement chacun des protagonistes cache en lui des rêves et désirs dont il n'a peut-être pas conscience, de par sa programmation, la [...] Lire la critique

#Par Yamaneko le 28-11-2008

5

Particulier, c'est le moins qu'on puisse dire... J'ai un peu de mal avec la 3D, et celui-ci ne déroge pas à la règle, Le seul personnage qui en matière de graphisme est réussi est, à mes yeux, le personnage de Doris (la geisha). En revanche le scenario est magnifique, une ambiance glauque, stressante. Une histoire emplie de tristesse et de faux-espoirs. Un peu trop sombre au niveau du graphisme des décors, on ne suit pas toujours tout ce qui se passe dans le decor tant les couleurs sont foncées. Cela dit les décors sont très bien, cette ville en abandon, aux allures de souterrains délabrés... La fin est une grande réussite, qui me rappelle un petit peu la fin de Gunnm, le côté [...] Lire la critique

#Par El Nounourso le 06-04-2008

5

L’univers de Malice@doll a de quoi dérouter : une ville désaffectée ressemblant à un tas de ferraille sans vie, des robots-prostituées désœuvrées, un certain joe@admin au rôle mal défini… difficile de ne pas hausser le sourcil d’un air vaguement hébété. Ajoutons à cela une héroïne de métal que se change soudainement en être charnel capable de donner vie aux androïdes, et nous voilà partis dans une aventure surréaliste, assurément glauque mais aussi fort dépaysante. De mon côté, j’ai quand même eu beaucoup de mal à être touché par l’atmosphère pourtant soignée du film (ou triple OAV si vous préférez). La faute à des choix artistiques très tranchés et parfois durs à digérer, comme par [...] Lire la critique

#Par watanuki le 04-04-2008

8

S'il ne devait rester qu'un chef-d'oeuvre en CG préhistorique, ce devrait être ce Malice Doll. L'animation est lacunaire, incroyablement pourrie, à tel point qu'elle répond merveilleusement bien aux impératifs d'un scénario chassant sans vergogne sur les terres du cyber punk le plus désenchanté. Contrairement à des chefs-d'oeuvre malgré eux tels que l'étonnant Galerians, Malice Doll fait preuve d'une maîtrise autrement plus visible au niveau du scénario : celui-ci instrumentalise la faiblesse technique pour la mettre au service d'une réflexion assez bien menée sur le statut de la machine, et par conséquent de l'image de synthèse et de son utilité. Même puissance visuelle qu'un [...] Lire la critique

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