Lettre à Momo

Lettre à Anime-Kun .

Cher lecteurs et lectrices d'anime-kun Je tiens dans cette lettre à vous faire partager un petit chef-d’œuvre de l'animation japonaise. Okiura Hiroyuki, qui nous a déjà glorifié de Jin Roh - La Brigade des Loups, signe son deuxième long métrage avec Lettre à Momo. Si je tiens à partager ma joie avec vous, c'est pour faire connaître ce film et ce réalisateur qui le méritent amplement. Notons que c'est son premier film où il s'occupe à la fois de la réalisation et du scénario. Je peux vous dire que c'est une réussite, ma seule déception à la fin étant que je prenne connaissance qu'il n'est pas plus de film à son actif. Lettre à Momo c'est avant tout une belle histoire. Après la perte [...] Lire la critique

Réalisateur du génial Jin-Roh en 1999, Hiroyuki Okiura s'était fait plutôt discret depuis. Il faut dire que le mec est animateur de métier, ce qui le destine pas tellement à briller sous les projecteurs... Dans les années 2000, le Japonais a notamment travaillé sur Blood : the Last Vampire, Metropolis, le deuxième Ghost in the Shell 2 et Paprika. Que du lourd. Pour ce qui est de Momo, le projet a mis sept ans à éclore, dont deux pour l'écriture du scénario par Okiura himself. Il s'agit d'ailleurs de son premier scénar, puisque le très sombre Jin-Roh avait été pondu par Mamoru Oshii à l'époque. Sorti en 2011 au Japon, Lettre à Momo déboule en ce moment sur nos écrans. Pas quoi sauter au [...] Lire la critique

A fin de Momo e no Tegami, j'avais les yeux mouillés. Je continue de suivre assidument l'animation japonaise, mais ça faisait longtemps que je n'avais pas été aussi touché. Je ne savais si je me faisais vieux au cœur de pierre ou bien si sur le refrain trop facile du "c'était mieux avant", l'archipel avait perdu sa magie. Le film de Hiroyuki OKIURA m'a rappelé à mon souvenir que je ne suis pas si bourru que je veux le faire croire et que le talent n'est jamais loin. Ce simple aveu de sentimentalisme pourrait faire office d'avis critique mais je sens qu'il vous en faut plus. A l'instar de Colorful l'année dernière, je crains également que la sobriété de Momo e no Tegami ne le condamne à un [...] Lire la critique