MUSHOKU TENSEI — « Je traverse l'isekai et je vous trouve un travail » (E. Macron)
Cela fait quelques années maintenant que l’animation japonaise est saturée de ces histoires de personnages qui se retrouvent transportés dans un monde parallèle, le plus souvent un monde de fantasy et de magie dans lequel le protagoniste, et à travers lui le spectateur, trouve une échappatoire à sa réalité insatisfaisante. Propulsée par le succès commercial, le genre est devenu quasiment synonyme de l’anime moderne au point que beaucoup de spectateurs ne regardent désormais plus que ça. Les producteurs, poussés par une demande intarissable, sont obligés d’aller chercher leurs sources au-delà des mangas et des romans traditionnels et de fouiller dans les recoins sombres de l’Internet, où [...] Lire la critique