
Il est clair que personne ne m'a attendu pour poser des mots sur cette série.
Il est clair qu'il n'est plus besoin de lire une critique à notre époque pour savoir ce qui est bon ou ce qui ne l'est pas.
Quelle idée d'ailleurs d'écrire une critique "papier", qui ne fait qu'être lu, d'un pauvre écrit pauser sur une page quasiment blanche, sans aucun mouvement, sans aucun clique ni glissement, qui nécessite qui plus est plus de trente secondes pour être lu. Quelle répétition de "lu". Fut une époque cela m'aurait dérangé mais actuellement me conforte simplement que je ne serai que peu "lu", le triptyque, ce qui ne m'oblige pas à trouver moulte et mouvement dans mes mots, mes intrications à vous exprimer mon ressenti.
Déjà trop de perte de temps, que ces glyphes poser sur votre écran, si peu de mouvement, de flexion, de changement. Sans chat, sans péter.
Ceci s'appelle lire. Mais que faisons nous encore à écrire ?
A poser par des mots notre ressenti sachant que nous sommes si peu "lu", si peu "vu".
Nous devrions parlons, nous montrer, parfois nous déguiser, dix minutes si ce n'est vingt pour les plus abouti(e)s, afin de présenter notre avis. En fait deux, voir une pour être suivi.
Pourquoi tant d'efforts, à taper sur le clavier, à exprimer notre pensée.
Parce nous sommes gourmands.
Car rien ne vaut l'écrit, qui une fois poser, bien inscrit dans vos esprits, car vous avez pris la peine, la souffrance d'aller jusqu'ici, enregistrer que vous le vouliez ou non dans votre matrice, car ici je suis dans la facilité.
Pourquoi encore écrire.
Parce que nous somme vraiment gourmands.
Nous avons tellement envie de vous exprimer par le meilleur biais qui est ce qui est bon, ce qui est goûtu. Et ce biais qui frappe, encore et toujours le plus fort, est celui que vous lisez.
Car vous prenez le temps.
Vous êtes gourmands.
Ceci est notre départ, ce pourquoi vous avez même cliquer sur ce lien, pour être conforter que ce que vous valorisez est au delà d'un simple caprice, il est de grande qualité, vous n'êtes pas un(e) sauvageon(nne), un glouton(ne), mais un(e) orfèvre. Non, vous vous respectez.
Oui, vous vous respectez. Vous avez regardé quelque chose de qualité, et cela pendant plus de vingt épisodes, propres, bien animés, bien faits. On ne peut nier sur ce propos le produit que vous avez apprécié.
Vous êtes un gourmet, vous aimez à le penser.
D'autant plus que le produit consommer n'a fait que confirmer cette qualité. Auriez vous cru, vous, en général(e) ignorant(e) du produit de départ, que tant de qualité, de contenue, bien étoffé, vous seriez donné. Cela n'est pas français.
C'est japonais.
Et oui, dans cette période de disette de fantaisie du soleil couchant, dont une humble Frieren vous avait rappelé l'existence, dont l'absence d'un Trône en Fer ne peut que se faire sentir, c'est de l'autre côté du globe que pitance est enfin donné. Enfin, vous le saviez, qu'ici vous le trouveriez.
Soyons noble, ne boudons point cette opulence, cette année, qui par deux fois, sans interruption à pu nous faire savourer la valeur de ce qui est de voyager même en intérieur.
Que de saveur, finalement, dans les plus vieux pots, sans grande mouvance, juste en mélangeant enfin correctement les bons aliments.
Mmm, correctement, certains s'offusqueront de cette aisance, cette insolence que j'ai à poser cela.
Cela fut fait avec brio, talent, passion. Maîtriser la recette n'est pas tout donné au tout venant, mais à ceux et celles qui savent, qui ont réfléchis, pris le temps, ont sorties les vieux tuyaux, les vieux fourneaux.
Si vieux que ça ?
Non... Mais suffisamment pour que seuls les nouveaux(elles) barbus(es (?!)) puissent prétendre être bien connoisseurs(es) du nouveau produit consommé. Mais en fait, il n'y eu point de grand gourmet pour se pavaner et se poser précurseur d'un produit qui n'était point attendu mais qui clairement ne demandait qu'à être dévorer. Discret et clinquant, sonnant et trébuchant, du wagyu bien dissimilé.
Ou pas...
Nous si peu, presque honteux, en l'occurence votre serviteur, à oser l'exprimer, le taper sur le clavier, en ce lieu, si dépassé.
Gloutons nous sommes, sans réfléchir nous consommons, et parfois à notre grand bonheur nous consommons des dragons, sans frémir ni même nous abasourdir, excepté les gens de petites tailles qui conservent un poil de moral.
Grand merci au chef, aussi mal casqué qu'il soit.
Toutes mes félicitations.
Repu je suis, mais...
Je suis gourmant.
Un deuxième service est attendu.