The Garden of Sinners (Film 2)

Après avoir accroché au premier épisode de Kara no Kyoukai, ma quête se poursuit et m'amène au second. La série reste toujours aussi intéressante qu'avant, elle nous fait revenir en arrière au moment où nos deux protagonistes -Shiki et Kokuto- se rencontrent pour la première fois. Je me plaignais dans la critique du premier épisode de Shiki, qui demeurait pour ma part trop mystérieuse, trop inconnue pour le spectateur, mais c'est ce second épisode qui va nous apprendre certaines choses sur elle, ainsi que sur Kokuto. Je n'ai rien à ajouter sur le design ainsi que sur celui des personnages, il semble toujours de très bonne qualitée. Là où j'aurais une raison de me plaindre est le sénario, [...] Lire la critique

Ce 2ème opus nous éclaire sur la rencontre de Kokuto et Shiki. Pas grand chose à raconter sauf que les auteurs se sont amusés, dans la dernière partie à nous montrer des scènes un peu plus gore. Ce qui contribue, une fois de plus, à plonger le spectateur dans cette atmosphère si glauque et sombre. Comme il a été dit précédemment pendant une grande partie du film on s'ennuie ferme. Ce rythme lent est pourtant voulu. Le personnage de Shiki se met tout doucement en place. A la fois belle et mystérieuse, difficile pour Kokuto de résister à quelqu'un qui l'attire par son côté « dangereux ». Voilà ce qu'on retiendra de cette 2ème réalisation. La dernière partie redresse l'intérêt car encore [...] Lire la critique

A l'image du premier opus, ce second film est en demi-teinte. L'histoire s'intéresse au passé de la mystérieuse Shiki et de sa rencontre avec Kokuto. Là, on est en droit d'espérer quelque chose de plus complet. Verdict? Oui et non. Si certains éléments sont mieux gérés dans ce film, c'est au prix de la compréhension. En effet, on devine assez vite ce qui se passe mais la raison profonde nous échappe encore, histoire de laisser un peu de suspens. Et là, c'est le drame. La fin donne l'impression d'un pétard mouillé car il n'y aucune réponse fournie et l'on se retrouve exactement au même point que dans le premier film. Peut-être est-ce une intention volontaire du réalisateur pour ne pas [...] Lire la critique