Maiwai ou l'accomplissement de différentes quêtes: fictives, réelles..
Minetaro plante direct le décor ; Funako a 15 ans, un caractère fort, elle n’a pas froid aux yeux. Plutôt douée en arts martiaux, elle ratatine le gros balèze du club un peu misogyne sur les bords. C’est bon, ça s’est fait, on peut passer à la suite. Cela étant, l’intrigue qui nous mène tout droit dans l’aventure de "Maiwai", c’est le grand père marin pêcheur défunt de Funako qui l’a généré, un vieux dont on ne voit pas le visage mais qui se pose là, le temps de quelques flashbacks, avec toute la classe d’un pêcheur qui regarde la mer au loin muni d’un harpon, qui aura marqué son nom dans l’histoire des chasseurs en mer. Notre héroïne, dont la poitrine bat la chamade depuis quelques [...] Lire la critique