MW

Pour moi, Osamu Tezuka est capable du meilleur comme du pire. Certains de ses manga sont impossible à lire, d'autres sont passionnants. Et pour moi, MW fait partie de cette catégorie. En plus de cela, MW fait partie des très très rares mangas qui m'aient jamais choquée (au moins un tout petit peu) par le personnage de Michio, qui fait passer pour de la nioniotte n'importe quel méchant de n'importe quel histoire. Et pourtant ce manga est vieillot pour le moins, donc il aurait été possible de dépasser ce stade depuis... Ainsi, toute l'histoire tourne autour de Michio, qui est LE personnage principal, et pourtant le [...] Lire la critique

Pour moi la lecture de MW a été un énorme flop; alors que j'avais énormément de critiques disant que c'était génial, je me suis profondément ennuyé en le lisant.  L'histoire paraît plutot intéressante et si il ne fallait tenir compte que de ca effectivement je dirais que MW est un assez bon manga.  Malheureusement il n'y a pas que ca qui compte! Le niveau graphique atteint des profondeurs abyssales: les personnages ont des visages pointus, aucune expression personnelle chez ces mêmes personnages, aucun effort sur le fond et à aucun moment on a l'impression d'un quelconque mouvement, que les personnages sont vivants.  Enfin bref, je vous déconseille ce manga qui m'a coûté une heure et [...] Lire la critique

Le MW est un gaz toxique et mortel qui tua toute la population d'une île - île "cobaye" - en très peu de temps, il y eu deux uniques survivants, ces mêmes survivants sont les deux personnages principaux de ce manga. Ayant lu Ayako du même auteur, j'ai eu envie de lire d'autres œuvres d'Osamu Tezuka. Je ne fus pas déçue par cette trilogie car l'histoire fut pour moi palpitante du début à la fin. Le premier des deux survivants est banquier et le second est prêtre, tous deux entretiennent des relations très, voire trop, intimes (mais tout en restant dans le politiquement correct) et je trouve que le sujet a été très simplement abordé par l'auteur et de manière comique ainsi que délicate la [...] Lire la critique