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Messages - Ileca

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Généralités animes et mangas / Re : Actualité/News
« le: 01 Octobre 2015, 00:16:09 »
Une décennie ? L'immense trahison de Manglobe date de 2010 avec Kami nomi zo Shiru Sekai. Une décennie, c'est leur durée de vie mais ça m'étonnerait que tu aies voulu dire que le studio rasait les murs depuis le début ?
Pas d'identité ? L'identité de Manglobe était de savoir faire la part belle au multiculturalisme. Tu n'as pas dû voir beaucoup de studios produire des séries qui se passent au Brésil ou qui insèrent du hip-hop dans leur chanbara, tout en s'essayant à la SF entre-temps. C'était ça l'identité de Manglobe, une offre diversifiée et ouverte sur le monde. Ce que Kami Nomi zo Shiru Sekai a piétiné d'une force. C'était un studio sur lequel j'avais fondé beaucoup d'espoirs alors je vous laisse imaginer la souffrance que cela a pu être d'avoir été l'observateur d'une telle décadence.
Je n'ai pas vu Gangsta mais j'ai lu le manga et on peut noter qu'avant que de rendre gorge, le studio ait essayé de renouer avec ce qui avait fait la superbe de ses débuts.
Ceci dit, je n'ai pas vraiment de regret car il vaut mieux achever un blessé que de le laisser agoniser éternellement.

Au passage, j'ai l'impression que celui qui a repris le flambeau de Manglobe s'appelle Mappa. Certes, en moins bien, mais en pas trop mal du tout quand même.

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En tout cas, ça me donne un chouia envie de redonner sa chance à Abarenbou Rikishi!! Matsutarou. Je ne serai pas dépaysé car Matsutarou est un personne exaspérant comme on en voit peu.

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Généralités animes et mangas / Re : Vos Critiques - V2
« le: 30 Septembre 2015, 02:35:51 »
Alors, l'avis du président du club des cinq...
Je trouve ça quand même un peu bizarre de ne pas pouvoir chercher du machisme en dosette dans un personnage comme si ce qui le constituait n'était qu'une conjonction inopinée d'éléments d'un récit jugé uniquement sur sa cohérence (ce qui permet de justifier à peu près tout et surtout n'importe quoi) alors que le personnage tout comme le récit n'est rien d'autres que le véhicule idéologique d'un créateur et du système qui l'influence. Vu le niveau de putasserie de cette série, Shirley n'est qu'un exemple à la marge mais un exemple quand même, une sorte de rappel du niveau d'écriture de base d'un personnage féminin chez la Sunrise où tu serais belle si tu te taisais. Donc, perso, ça ne m'étonne pas qu'on tape sur Shirley même si ça fait effectivement très waifu de ne se concentrer que sur elle. De même que je trouve que le coin de table et Viletta sont de bons indicateurs des dosettes de machisme cachés dans Shirley même si elle a plus de background que les autres pour se trouver des excuses.
En fait, je pense que la Sunrise est devenu moins un studio de misogynes qu'un repère de tapineurs. Ce que tu dis, Rhyvia sur l'interchangeabilité des sexes de Rollo ou de Kallen n'infirme pas leur caractérisation sexuée mais appuie le fait que la Sunrise sait que cela paie de ratisser du côté des fujoshis, ce qui fait que ces personnages masculins sont aussi détestables que ces appâts à buveurs de bière.
De toute façon, Ookouchi Ichirou est le digne successeur de son senpai infirme, le truculent Tomino. Pas seulement pour sa manière désastreuse de construire un récit. Il n'existe aucune critique de l'eugénisme ou de l'impérialisme américain dans Code Geass (si vous voulez voir un mec qui n'aime pas les américains et qui écrit un peu moins de la merde, regardez les séries de Takahashi Ryousuke) mais un grossier calcul où l'on cherche à déclencher l'émotion en étant le plus provocateur possible (étant donné qu'on a aucun talent). Que la série nous parle de génocide dans Code Geass me fout la gerbe autant que le gimmick de Tomino de lâcher une bombe atomique à un moment où à un autre de ses shows. Je trouve ce procédé infantile tout simplement infâme, la meilleure preuve de l'incompétence intersidérale de ces gens à comprendre ce qu'ils manient. Le côté baroque de Code Geass ne justifie en rien l'utilisation d'un tel ressort dramatique dans une perspective dramatique, au contraire, cela aggrave le constat. Shirley n'est que le plus banal des avatars d'une série qui veut faire appel aux plus bas instincts de ses spectateurs. A ce niveau, il est difficile de dire s'ils sont misogynes ou s'ils se basent sur des études qui leur signalent que leur public l'est. Sans doute un peu des deux.
Le moe est souvent la tête de turc mais on a du mal à concevoir à quel point une série comme Code Geass a été toxique pour son studio ainsi que pour d'autres. Son succès retentissant à confirmé que la ligne du père était la bonne à suivre, qu'une série n'avait pas besoin d'être portée par une histoire ou par une narration en béton mais par la quantité d'éléments racoleurs qu'il pouvait contenir sans exploser, que plus la chose était spectaculaire, vulgaire, et plus on allait vendre du dibouidi, que plus les rebondissements étaient choquants et plus on pouvait se passer du marketing. En gros, que cela soit du grand n'importe quoi n'a aucune importance. On s'est foutu de la gueule de Vulvrape mais cette série n'est que l'achèvement d'une idéologie dont Code Geass est le prototype. Et après on ose se plaindre de n'avoir que de la merde comme Cross Ange ou Buddy Complex tout en portant aux nues Code Geass ? Vous vous êtes bien regardés les fans de Code Geass ? Sans compter que des trucs comme Aldnoah.Zero ou Guilty Crown doivent énormément à Code Geass.

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Bah, sur 8 épisodes, il n'y a pas tant de contenu que cela et il y a beaucoup de routines. Rien que pour prendre un exemple, le second épisode est un copier-coller du premier. Ils nous l'ont refait à l'identique. A chaque épisode tu apprends un nouveau nom de gâteau et une nouvelle façon de Takeo d'être trop kakkoii. L'humour qui pourrait éclipser les longueurs se base trop sur la condition intrinsèque de Takeo, ce qui est facile, et que j'ai fini par trouver dégradant pour une série qui est supposée dépasser les apparences. Une fois que tu as compris les ressorts, tout devient convenu, même l'épisode 7 avec un combat de judo (où j'ai secrètement cru que la série bifurquait vers un tournoi), le début et la fin étant mous parce que c'est une énième manière de nous montrer que wow Takeo chou kakkoii, kakkoii Takeo, kakkoii. Ouais bah, c'est bon, on a compris, je crois.
A la rigueur, je serais bien tenté de me faire deux épisodes supplémentaires car ils sont centrés sur le sidekick amorphe qui est le seul perso cognitivement normal au sein du trio.
Il est où ton réalisme au fait ?

Concernant Ao Haru Ride, ce sont moins les événements que les personnages qui m'ont posé problème. J'étais vraiment enthousiasme au début mais au fur et à mesure, Kou a commencé à me taper sur le système. C'est typiquement le bogoss mystérieux de shoujo, connard torturé et condescendant qui cache une histoire triste au fond de lui pour justifier son comportement durant toute la série, tout ça pour qu'on le prenne dans nos bras à la fin. Car la série est moins centrée sur un flirt comme tu dis que sur le pourquoi que Kou c'est devenu un sale trou du cul alors que tout petit il était si mignon, parce que je veux comprendre les gens dans leur profondeur après avoir moi-même été si superficielle à traîner avec des gyarus. Sauf que la justification est en carton pâte et qu'étant insensible à son charme (c'est ce fanserv qui porte un peu toute la série en fait), j'avais juste envie de lui filer encore plus de baffes. Je me suis roulé par terre lorsqu'on apprend qu'il traîne en ville le soir. Holala, mais quel délinquant. Bon, j'arrête là où les gens vont comprendre que je cache un gros complexe d'infériorité. En gros, ce perso se donne des airs et ça a fini par me filer de l'urticaire. Parce que lorsque je lis un shoujo ou une adaptation de shoujo, je m'attends à autre chose que des mecs qui se donnent des airs.
Les autres persos n'ont rien fait pour élever le niveau, à commencer par Yuuri qui joue au papa et à la maman lors de la pause déjeuner. Encore une moe-blob à la Yamato. L'insupportable idéal féminin japonais, c'est-à-dire la fille infantile à la peau douce. Bref, c'est tout le casting que j'ai trouvé plus ou moins repoussant, ce qui fait qu'ils auraient pu s'écharper que ça m'aurait fait plaisir.

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Lorsqu'on dit qu'il y a un harem, ça ne veut pas dire que le mec doit coucher avec toutes les filles, juste qu'il les a à sa disposition. C'est un harem, point, héroïne favorite ou non (ce qui existe déjà en soit dans un harem). A moins que la relation ne soit fixée, et encore, c'est moins du ressort du héros que celui du spectateur qui, lui, se sent séduit par les héroïnes qui lui tournent autour. Ca me rappelle une discussion que j'ai eu récemment à propos du NTR où soit-disant ce ne serait plus du NTR à partir du moment où l'homme trahi n'est pas protagoniste ou la plupart du temps hors-champ alors que c'est l'oeil du spectateur qui compte et, dans ce cas précis, ses sentiments.
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C'est quand même terrible de se dire que, pour une fois qu'une série est en 24 épisodes, elle n'en méritait que 13. Si cela avait été le cas, j'aurais eu l'endurance de la terminer.
Par rapport au manga, ils ont étiré ou est-ce que le rythme est mieux adapté au support papier ?

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J'en suis rendu au 8ème épisode et je n'ai donc pas lu tout le sujet (milieu de deuxième page) mais est-ce que cela continue comme ça jusqu'à la fin ? J'ai vraiment essayé d'aimer, ne serait-ce que parce que ce n'est pas politiquement correct de rembarrer un animé qui essaie de faire la part belle à un physique ingrat. Sauf que Takeo est con comme un clou et l'humour va avec le physique, ne se détachant jamais de son image de gorille. Ca amuse au début, il y a toujours des passages amusants comme celui de l'entraînement au baiser à base de film étirable ou le fait qu'il s'approche trop près du visage des autres, mais plus on avance et plus cela devient lourdingue en plus d'être redondant. On a beau lui souhaiter tout le bonheur du monde pour son honnêteté et sa droiture, son absence de capacité intellectuelle le dessert énormément, et ce n'est pas le sidekick flasque à côté qui va le mettre en avant, lui-même riant comme nous à ses dépends. Perso, son image de gorille m'a rappelé un personnage physiquement du même genre, car comparé à un singe, Aramaki Daisuke, et ce mec fait mille fois plus pour la cause des "moches" que ne le fera jamais ce Takeo. Ok, pas la même cours de récré mais à part un sentiment de tendresse envers une bonne bête, il ne séduit pas alors qu'il s'agit d'une romance. D'autant que tout le potentiel lié à sa condition n'est pas exploité. A quand un animé avec une romance entre moches ?
Quant à Yamato Nadeshiko, si sa composition toute de sucre fait fondre dans le premier épisode, elle révèle surtout sa nature 100% made in moeblob.
La romance est à leur image, sans la moindre profondeur, se limitant à becter des gâteaux sur un banc. Sérieux, j'attendais le baiser où il lui bouffe la tête mais vu que pensées impures = se tenir la main... on a peut-être franchi la première base très rapidement mais on ne va jamais dépasser la seconde.

tl;dr, est-ce qu'Ore Monogatari est, jusqu'à la fin, aussi chiant qu'un épisode de Nisekoi ? Enfin, non, vu que, jusqu'où j'ai lu, pas mal de gens ont aimé jusque-là, je devrais sans doute tourner ça autrement : est-ce que c'est génial comme ça tout du long ?

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Séries TV - OAV - Films / Re : Captain Earth
« le: 26 Septembre 2015, 03:40:36 »
Hahaha, Captain Earth n'aura fait qu'une page dans ces contrées ! Personne n'a eu le courage de dépasser le second épisode ? Parce que moi, il m'en aura fallu du courage pour terminer la série... presque dix-huit mois après la diffusion du premier épisode.

La complexité du bullshit terminologique est proportionnelle au simplisme de son intrigue passé les débuts tominesque où l'on ne comprend rien à qui est quoi où quand comment. Simplisme et complexité qui, au final, se font au détriment des réponses, soit parce qu'elles n'existent pas, soit parce qu'elles sont planquées dans quelques crypto-références issues de la Kabbale et dont tout le monde se fout vu l'indigence.
Cela montre, et d'une, qu'ENOKIDO est un gros prétentieux, et de deux, qu'il est incapable de pondre autre chose qu'un formula show caricatural, signant un beau hors-sujet avec Captain Earth. Cela donne une espèce de grotesque parodie d'Evangelion, de Sailor Moon et de Dai Satou (pour les thèmes) tout à la fois. On me dirait qu'il est l'infâme homme mystère TAKEYOSHI Kakuto que cela ne me ferait même pas sourciller.
Il faut vraiment que Bones vire ce bouffon d'ENOKIDO ou le force à scénariser des oeuvres non-originales collant à son style, du genre d'Ouran Koukou Host Club, et en aucun cas qu'on ne lui demande d'avoir ses propres idées.

Cela fera en tout cas un très joli databook de 500 pages pour caler la table du salon.

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Bilan AVEC SPOILERS

Tout d'abord, le titre. En regardant les premiers épisodes, on se demande quelle a pu être la nécessité d'une telle accroche, car la série n'est ni vraiment humoristique, ni ecchi, pas au point de justifier un tel en-tête. D'accord, son grand-père lui disait blablabla et il a effectivement rencontré une fille, mais c'est tout. Et pourquoi l'interrogatif? Ca sent la décision éditoriale à la con, surtout que j'ai lu vite fait que le pilote s'appelait Familia Myth.
Un titre donc opportuniste (moins c'est long et moins tu dois vivre dans ton rayon LN) sauf que, bizarrement, c'est lors du combat contre le minotaure que ce titre entre en résonance avec son sujet puisque c'est moins l'histoire d'un mec qui veut pécho qu'un mec qui n'arrive pas à pécho dans un donjon, car il est faible, pas assez héroïque, et cool, et qu'il va encore se faire sauver par Wallen-nanigashi. En gros, c'est une métaphore de sa propre impuissance, à lier à son idéal de héros de contes de fée qui, lui, arrive à sauver des donzelles. Bref, l'habituel machisme qui n'ira sans doute pas plus loin que ce que j'ai bien voulu y voir de positif, si je n'ai pas tout simplement inventé la chose, ce qui fait qu'au-delà de l'épisode 8, on se traîne vraiment ce titre comme un boulet.
Des lecteurs du LN pour prendre la défense de l'auteur original ?

Ce titre est en quelque sorte à l'image de la série pour son world building qui est au niveau 0, la raison pour laquelle les levels ne montent pour l'instant que jusqu'à 6. On a l'habituelle tour et des gens qui se battent dedans, mais on ne sait pas pourquoi, car pourquoi savoir sur quoi repose l'existence même de la série, je vous le demande ? Bref, la fainéantise à son apogée. Ca tue toute notion d'enjeu car, qu'ils meurent dans ce donjon, qu'importe si l'unique raison se résume à moins qu'une cinématique d'une minute dans un RPG des années 90. Il n'y a pas de menace sur la ville donc ça se résume à... des raisons économiques ? Etre un PNJ dans un MMO pour dieux ? Se la péter en armure ? Pécho ?
Le world building ne fait que reprendre les lieux communs du dungeon crawler, sauf que nous savons tous qu'il n'y a rien de plus chiant que de regarder de l'extérieur son pote jouer à sa console en solo. J'allais dire que, bientôt, les personnages allaient finir par s'appeler Yuusha et Maou mais cela a déjà été fait et, surprenamment, difficile de reprendre la série en question sur ce facteur.

Au-delà de ces considérations de base, le divertissement est honnête. Il y a de l'humour et du drame mais pas trop. Cela ne commence pas très bien, ceci dit. Dès les premiers épisodes, on se croirait dans Sailor Moon a essayer de deviner l'identité de celle qui fout le dawa dans les coulisses alors que le générique nous l'a déjà spoilée (avec la composition de l'équipe, merci). On perd aussi la moitié de l'épisode 3 a rager sur le pourquoi que l'autre cruche ne lui a pas filé son coutelas dès le début. A part ça, on ne s'ennuie pas. D'ailleurs, si on peut rire de cette énième paresse qui consiste à filer des skills über cheatées à son noob (insultant au passage les valeureux pexeur de base qui triment depuis des années, tu m'étonnes qu'ils en aient gros sur le cœur à la fin), principe qui avait totalement ruiné Mahouka, ici, ils ont compris qu'il fallait compenser par l'ardeur de la tâche. Guts est super badass ? Bah mettez-lui cent bonhommes sur la gueule qu'il se démerde. Là, c'est pareil, vous lui filez un gros minotaure amélioré ou, mieux, faites que ça se barre en couille dans les niveaux intermédiaires. Il y a une vraie intensité lors de ces passages. C'est pour cette raison que j'ai préféré les deux premières parties à la dernière ; celle avec le minotaure car c'est le développement scénaristique logique et qu'ils ont réussi à en faire un ennemi de valeur ; celle avec cette fuite en avant désespérée car cela devient un concours d'endurance où tout le donjon se retourne contre les personnages ; alors que le combat contre le Titan échappé du manga voisin (quand je vous disais qu'il fallait sortir la grosse artillerie) aurait pu faire peur s'il ne servait pas à simplement conclure la saison proprement comme un bon boss de fin de jeu. Il aurait fallu que le 18ème niveau soit définitivement condamné, que ce soit une lutte difficile du groupe entier pour remonter à la surface, avec moult pertes. Impossible à réaliser en un épisode dans une série où personne ne meurt.

En plus, le tout est bien animé, de manière assez constante, pas énormément de 3D qui nous crache à la gueule. On peut remarquer une utilisation intelligente de la foule playmobile qui, lorsqu'elle devient trop présente, est rendue discrète par des personnages en 2D au premier plan qui attirent l'attention. Au passage, la manière d'animer m'a fortement rappelé Sword Art Online et en vérifiant vite fait, il semblerait que je ne me sois pas trompé. J'ai aussi remarqué vis-à-vis de la mise en scène un soin apporté (jusqu'au milieu de série) aux enchaînements de séquences. Un exemple flagrant serait la scène d'entraînement de l'épisode 7, un passage assez marrant où le seiyuu (qui joue aussi Kirito, tiens, tiens) s'autoparodie vocalement en couinant-brayant plus fort que d'habitude.

Au final, un série sympathique et divertissante dans son déroulement mais victime d'aboulie dans ses mécanismes et descriptions, sans doute le meilleur que l'on puisse attendre des standards de médiocrité de J.C.Staff. Si je devais faire une comparaison vidéo-ludique, ce serait un jeu qui n'a pour lui qu'un gameplay prenant.

Et puis, cette pénurie de Loki...
(Surtout que j'avais cru détecter un otokonoko vu qu'il... qu'elle a des pectoraux.)

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Séries TV - OAV - Films / Re : Knights Of Sidonia
« le: 21 Juin 2014, 21:15:44 »
Mais mais mais... arrêtez !
Vous ne voulez donc pas comprendre qu'on s'en fout du manga ? Et puis, les graphismes, dans un animé, ça n'a qu'une importance secondaire, ce qui compte, c'est le scénario obtenu grâce au manga qu'on s'en fout !
Oui, je suis partisan de l'animation la moins pire. Et alors ?
Mon barème ? La saison en cours.
True fan.

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Séries TV - OAV - Films / Re : Highschool of the Dead
« le: 26 Mai 2014, 21:09:57 »
C'est pour ça que je ne comprends pas la raison pour laquelle il faudrait déconseiller l'OAV. On est pas dans le cas de figure où ce n'est qu'un goodie qui prostitue l'oeuvre.

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Je ne crois pas que Yakitate!! Japan ait été cité. Une des séries qui m'aura le plus fait rire, avant que cela ne finisse par manquer d'inspiration aux alentours de la trentaine d'épisodes.

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Yep.

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Gros indice : ce n'est pas du NAGAI mais Cutie Honey est une influence directe.

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Nein. Ce n'est pas du NAGAI mais c'est vrai qu'il y a de la ressemblance. Vous brûlez à une/deux années près.

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