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Les animes du printemps 2024

Publié le 15/04/2024 par dans Anime, Printemps - aucun commentaire

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Salut Anime-kun ! C’est avec un (traditionnel ?) léger retard que nous avons le plaisir de vous présenter les quelques pépites de cette saison ! Ces choix sont ceux de la team et ne représentent évidemment pas une liste exhaustive des animes à suivre absolument cette saison. Toutefois, ces petites présentations pourront vous diriger vers le chemin de la qualité et du bon temps. Merci aux membres du webzine pour leurs textes et merci à vous, membres ou non-membres, de lire nos articles tous les mois !
Fini le blabla, place à ce qui nous intéresse : les animes du Printemps 2024 !


Deluxe pose ses choix !

Si vous aimez les séries d’action tendance shônen de baston, vous risquez d’être occupé cette saison de printemps 2024. On aura notamment le retour de deux valeurs sûres du genre avec la reprise de My Hero Academia et celle de Demon Slayer un peu plus tard dans la saison. Deux séries qui s’approchent lentement mais sûrement de leur conclusion, et qui on ne va pas se le cacher ont pas mal perdu de leur énergie au fil du temps. Il faut dire que de récentes claques telles que Frieren ou Jujutsu Kaisen ont placé la barre très haut tant du point de vue de la mise en scène que du storytelling, reléguant MHA et Kimetsu au rang de séries sympa, mais plus aussi exceptionnelles. On ne va pas bouder son plaisir cependant, voir des studios aussi prestigieux que Bones et Ufotable dans leurs œuvres ça se refuse pas.

L’autre très gros morceau de la saison sera Kaiju n°8 par le studio Production IG. Le récit se déroule dans un Japon envahi par les monstres et le héros, jusque là simple manutentionnaire, va évidemment acquérir le pouvoir de se battre pied à pied avec les méchants. Les quelques tomes du manga que j’ai lu laissaient voir un scénario assez balisé par les clichés habituels du genre (l’organisation, l’examen, etc) mais l’adaptation a visiblement de hautes ambitions. Production IG a annoncé la série il y a plusieurs mois et a révélé s’être associé à Khara (Rebuild of Evangelion) pour les scènes d’action avec les kaiju. Le fait que le héros soit plus âgé que la moyenne pourrait également attirer un large public au-delà des fans de shônen et de monstres. A mon avis on a ce qui se rapproche le plus d’un blockbuster animé, au sens propre comme figuré.

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Si on passe dans le tier inférieur, deux nouvelles adaptations ont retenu mon attention. La première est Sentai Daishikkaku qui raconte l’histoire d’un sbire de l’organisation maléfique qui en a marre de se faire battre par les gentils et décide de se rebeller contre l’ordre établi. Le manga a bonne réputation et l’animation du trailer est franchement convaincante, mais je me demande si ce récit qui joue avec les codes du sentai va intéresser grand-monde au-delà des amateurs de tokusatsu. Une autre série qui interpelle est Wind Breaker, une série de furyo avec des jeunes délinquants qui se tapent dessus, un genre que l’on pensait éradiqué de la japanime moderne mais le succès de Tokyo Revengers semble avoir ravivé l’intérêt du genre.

Dans un genre complètement différent, l’ultime saison de Hibike Euphonium s’apprête à être diffusée pour conclure l’histoire de Kumiko et sa fanfare. Après les deux premières saisons exceptionnelles et un long-métrage sympathique, cette dernière saison va être le point d’orgue de la licence, sans mauvais jeu de mots. Préparez les mouchoirs, vous n’êtes probablement pas prêts… Une petite mention pour Astro Note, une des rares séries originales de la saison, qui s’inspire très nettement de l’œuvre de Rumiko Takahashi avec son histoire de jeune garçon qui tombe amoureux de sa gardienne qui s’avère être… une extraterrestre.

Cette saison sera également celle du retour en masse de licences qui datent de la préhistoire. On aura ainsi un remake de Spice and Wolf, une nouvelle saison de Mahouka, et même de nouveaux OAV Code Geass (qui ont l’air pas trop mal en vrai). Bref, entre l’ancien et le nouveau, il y aura de quoi faire cette saison qui sera très chargée.

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Les fantaisies de RadicalEd !

Ce printemps 2024 semble placé sous le signe de l’isekai, « comme les précédents » grommelleront certains fans désabusés, mais il s’annonce particulièrement chargé.

En effet, nous voyons le retour simultané de 3 grosses pointures du genre:
Pour commencer, la saison 3 de « KonoSuba » dont le retour était fort attendu pour parodier le genre et dont le spinoff sur Megumin l’an passé ne semblait pas avoir enthousiasmé les foules. Ensuite, la saison 3 de « Moi, quand je me réincarne en Slime » avec un Rimuru qui va continuer à vivre sa meilleure réincarnation: « Écraser ses ennemis, les voir mourir devant lui et entendre les lamentations de leurs femmes » comme le préconisait un grand penseur Cimmérien. Enfin, celle que j’attends le plus, la seconde partie de la saison 2 de Mushoku Tensei, qui après une première partie un peu irrégulière et qui s’est surtout affairé à poser le décor et une partie des personnages pour la suite, devrait réserver pas mal de surprises et peut-être un nouveau « tournant » dans l’histoire. Cela laisse présager certaines difficultés pour les nouveaux arrivants comme « Chillin’ Life in a Different World » qui devra s’appuyer sur l’interprétation de Rie Kugumiya en mode « deredere » pour capter une once d’attention dans ce paysage surchargé.

Au niveau des bandes-annonces, il apparaît qu’en termes d’animation en dehors des classiques MHA an Demon Slayer, deux séries ont attiré mon attention, toutes les deux adaptant des mangas.

Kaiju N°8 se déroule dans un Japon où des attaques régulières de Kaijus ont lieu. Un groupe de défense surhumain les tue et le protagoniste principal, Hibino Kafka (on sent le nom innocent) appartient à l’équipe de récupération/équarrissage des Kaijus (une idée provenant de Pacific Rim peut-être). Quoiqu’il en soit, la série est basée sur l’action et Production IG semble avoir misé pas mal dessus à voir les premières images. De plus, au niveau des design des Kaijus on trouve l’intervention du studio Khara en la personne de Maeda Mahiro qui a démarré au côté d’un certain Hideaki Anno sur Daicon IV. C’est un ancien de la Gainax et il devrait proposer des design somptueux pour les monstres. Mon seul reproche, c’est que l’histoire fait furieusement penser à un One Punch Man qui se prendrait au sérieux, et je ne la regarderai surement rien que pour les Kaijus détruisant la ville et les affrontements qui en découlent.

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La seconde série est l’adaptation du manga « No Longer Rangers » (Sentai Daishikkaku) qui présente un monde où les sentais réalisent plus une performance hebdomadaire qu’ils ne sauvent la Terre. Yostar studio qui réalise cette adaptation est assez nouveau dans le milieu et semble suivre la trajectoire de Cygames: une compagnie financée par des jeux de gatchas qui diversifie son activité. On ne sera donc pas étonné de trouver Satô Keiichi à la réalisation qui avait officié sur « Rage of Bahamut » accompagné de son collègue Hayama Kenji pour superviser l’animation (Inuyashiki). On peut donc espérer avoir une adaptation de qualité, car le but est, je suppose, de former les talents internes au studio dans un plan à plus long terme et probablement pas un retour sur investissement immédiat.
Dans le genre « mystère/fantastique », une série aura quant à elle les coudées franches avec comme d’habitude peu de concurrence dans ce genre. Il s’agit à nouveau d’une adaptation de manga: « Kaii to Otome to Kamikakushi » ou « Mysterious Disappearence » en langue de Shakespeare. De mon côté, je me contenterai de « Totokami », ce sera plus simple. Donc Totokami, se déroule dans le japon contemporain et l’on va suivre Sumireko, interprétée par Ai Farouz, une jeune femme de 28 ans travaillant dans une bibliothèque. Elle souhaite devenir écrivain mais ses manuscrits n’ont pas été acceptés par un éditeur (elle n’est pas de la génération Web Novel à priori). Elle cherche des inspirations dans les histoires surnaturelles ou les légendes urbaines qui la passionne. Sa situation basculera lorsqu’elle devra s’occuper d’un livre ramené à la bibliothèque, mais qui n’y appartenait pas…
La série s’inscrit donc dans le genre du fantastique japonais avec peut-être un brin d’horreur, et va explorer des histoires de fantômes, légendes urbaines et autres créatures ou forces surnaturelles. Le manga semblait également intégrer un peu de fanservice/ecchi qui pimentera le tout. Ce n’est pas sans rappeler Mieruko-Chan comme mélange mais au moins Sumireko n’est pas une lycéenne. Quoiqu’il en soit, les synopsis qui trainent sur internet insistent sur la taille de sa poitrine, c’est que ce doit être très important pour la trame scénaristique à n’en pas douter. Le studio en charge, Zero-G, fait intervenir une équipe de vétérans et l’on retrouvera par exemple le trio réalisation/musique qui avait officié sur Goyô.

Dans le genre fantasy (et commerce), on voit le retour de « Spice and Wolf – Merchant Meets the Wise Wolf » après 15 ans d’absence du paysage animé. Il s’agit d’un remake des aventures de Holo et Lawrence, reprenant donc cette adaptation des Light Novel depuis le début. Il y a 25 épisodes annoncés donc la série devrait retracer l’intégralité de l’adaptation précédente, ouvrant la possibilité sur une adaptation de la suite si le succès est au rendez-vous. Le studio en charge, Passione, s’est plutôt fait remarqué pour des séries un peu chaude comme « Ishizoku Reviewer » mais semblait ne pas se limiter qu’à ce type de série et je note surtout l’intervention de Kevin Penkin (Made in Abyss) au niveau de la musique qui devrait nous régaler encore une fois. La question ouverte est « est-ce que Holo récupérera son trône dans les « waifus wars » ? » qui agitent certaines sphères du dark fandom. Comme le studio a fait le choix d’un chara-design plus proche des LN et de mettre le paquet sur l’animation de la queue et des oreilles, tout est possible. Les bookmakers anglais prennent déjà les paris et le « duel des louves » entre Holo et Fenrys (Chillin’ Life in a Different World) risque d’être passionnant ou pas.

Pour finir et amener un peu de légereté, « Grandpa and Grandma Turn Young Again » (Jiisan Baasan Wakagaeru) suivra un couple de grands-parents qui, après avoir mangé une pomme d’or de leur verger, se réveillent jeunes à nouveau. Adaptation d’un manga produite par le jeune studio Gekkou, il sera centré sur de la comédie avec un brin de romance, et jouera sur un humour exploitant la fracture générationnelle. Le concept est original mais présente le risque d’être répétitif, il faudra juger sur pièce.

Pour conclure, je considérais la saison comme assez faible à priori, mais entre toutes les suites et les nouvelles séries, il y aura surement de quoi trouver son bonheur pour la plupart des publics.


Le Top 3 de Kanade  !

Lv2 kara Cheat datta Moto Yuusha Kouho no Mattari Isekai Life

Alors, en tant qu’apôtre officiel de l’Isekai autoproclamé par moi-même (oui c’est un pléonasme, et alors, tu vas me coller un procès en grammaire ?) il y a toujours un Isekai que j’attends par saison, voir plusieurs. Mais cette fois-ci mon choix c’est posé sur celui-ci pour 2 simples raisons. Dans le synopsis il est dit qu’il va se marier, apparemment tout de suite vu que c’est dans le syno. Et moi j’aime bine les romances, et la, pour une fois, on a pas un héros qui va tourner 7800 ans autour d’un harem avant de (pas) choisir celle de son coeur. Nop, marié dès le début. Ça change, ou en tout cas c’est plus rare, ça me donne envie de voir ça. D’ailleurs, ça suppose aussi que le héros est un adulte et pas un ado de 15 ans. Ça aussi, ça change. Et puis le titre anglais  » Chillin’ in Another World … etc etc « . Moi j’aime bien le chill, j’aime quand ça chill, et quand ça chill dans un isekai c’est encore mieux, et quand ça chill dans un isekai avec un adulte marié c’est encore plus très mieux?

Donc pour ces raisons c’est mon attente Isekai de la saison.

Et puis studio J.C Staff, valeur sure pour la tech.
Par contre le real, Iwasaki Yoshiaki, C’est déjà moins mon dada, carrière très en dent de scie, mais on garde espoir on sait jamais.

Bartender

Mon Oni à moi

Alors pour celui-là ça va être techos de développer parce que, je n’en ai aucune idée. Je ne sais pas si vous vous rappelez l’époque lointaine avant internet (ouai vous êtes vieux) ou quand tu allais acheter un jeu videal, ou éventuellement une cassette d’un film ou d’un dessin animé, tu devais te fier à la jaquette pour savoir si ça te tentait ou pas ? Cette époque où tu te disais :  » ok l’image à l’air sympa, le résumé derrière à l’air sympa, allons-y, let’s go, c’est parti les amis « . Ben c’est exactement la seule et unique raison que j’ai pour attendre cet anime.

En plus quand on voit que c’est un anime Netflix, en général, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.

Mais bon, le Realisateur Shibayama Tomotaka a été assistant Réal sur  » Grimgar, le monde des cendres et de fantaisie  » et le studio  » Studio Colorido  » dont je n’ai certes vu aucune œuvre, existe néanmoins depuis 2013 donc ils ont de la bouteille. Je vais prendre ça comme argument. En tout cas, ce sera le film que j’attends pour cette saison.

Bartender: Kami no Glass

Pour le dernier, ça va aller encore plus vite. C’est parce que je suis Barman… Voilà. Un anime sur un barman, moi je suis Barman (entre autres) donc j’ai envie de voir.

Et puis quand on voit le real , Kuraya Ryoichi, qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? (plein de choses… voir même tout) et pour le studio c’est son 2ème anime. Le 1er etant The ice Guy & The coll girl. Anime tout à fait sympathique. Donc ils sont sur un ratio de 100% de réussite. Voilà, on se rassure comme on peut.


Benja plonge encore plus dans l’Isekai !

C’est décidé. Cette saison, j’assume totalement mes petits penchants. Je me plongerai totalement dans de l’Isekai ! Et ce qui m’emballe encore plus, c’est que 3 d’entre eux sont des Isekai que j’ai découverts dans des LN ! 

Le premier, bien connu de tous, n’est autre que la suite des aventures de Rimuru Tempest, dans Tensei Shitara Slime Datta Ken 3rd season. Pas grand-chose à dire, le public étant déjà conquis par les aventures de notre Slime favori. Côté staff, c’est pas mal, hein. Le studio 8-Bit garde la main sur la série et assure la continuité, de même que pour la réalisation et le chara-design avec respectivement Atsushi Nakayama et Ryôma Ebata. Pourquoi changer une équipe qui gagne n’est-ce pas ? 

En tout cas, pour avoir déjà fini la série, ou du moins la version Web Novel, ce qui arrive va être LOURD ! Alors, préparez le pop-corn, car notre petit slime va vous montrer ce que c’est d’être le boss ! 

ReMonster

Mon second est un plaisir coupable. Un petit LN que j’ai découvert aux alentours de 2016 ou 2017 et qui est ensuite sorti de ma tête. Re-Monster. Vous me direz que ce n’est pas le premier Isekai ou le protagoniste principal se réincarne en monstre et vous aurez peut-être raison. MAIS ! Je peux vous assurer que Re-Monster peut tenir la dragée haute aux autres isekai “monstreux”, mais gardera les codes du style tout en profitant de la vie. Car je peux vous assurer que Gobrou va bien bien en profiter, if you know what I mean… 

Côté staff, on retrouve le studio Deen qui n’est plus à présenter. Je ne suis personnellement pas fan de toutes leurs productions, mais il faut reconnaitre qu’ils sont actifs depuis pas mal d’années, donc on peut espérer que le taf soit fait correctement. Et pour cela, ils ont confié ce nouveau bébé à Takayuki Inagaki qui a la particularité d’avoir réalisé mon tout premier anime, en dehors des classiques DBZ et YuGiOh,du coup j’ai envie de faire confiance. Toutefois, il n’a pas un CV incroyable derrière lui. Mais par principe, je lui laisserai le bénéfice du doute. Dans sa lourde tâche d’adapter cette petite pépite de l’isekai, il peut compter sur Junichi Takaoka, qui n’est plus un débutant, mais qui n’a pas un CV incroyable non plus. Pour résumer, sur papier : ça craint un peu. Mais s’ils suivent correctement l’histoire, ils ne pourront pas se tromper et Re-Monster devrait ravir les amateurs d’Isekai tel que moi ! 

Enfin, mon dernier choix est un véritable coup de cœur. Je suis la série depuis le début. J’ai pris un peu de retard ces derniers mois, mais voir enfin son adaptation est un plaisir infini. Chers amis, je vous parle de The New Gate. Le plot est assez basique en fait. Un mec est bloqué dans un jeu vidéo. Haha. Mais en butant le dernier boss du jeu, il se retrouve projeté dans un monde alternatif fantaisiste… qui n’est autre que le monde du jeu, mais des centaines d’années après. J’avoue, cela ne semble pas pas prometteur. Mais je vous assure une chose. Cela va le devenir assez rapidement. Enfin, cela dépend du nombre d’épisodes. Mais ça va être biiiiien ! Il n’y a que 2 séries qui peuvent détrôner SAO dans mon cœur. Il s’agit de Mushoku Tensei, qui au passage nous propose la suite de sa saison 2 et The New Gate. Espérons que cette adaptation rendra honneur à son support d’origine. Et pour ce faire, un duo de studio s’y attèle. Cloud Hearts qui semble se lancer avec cette première adaptation dans leur CV et Yokohama Animation Lab qui n’est pas un acteur très ancien dans le milieu, mais à qui nous devons par exemple un anime fort sympathique de la saison passée, The Witch and The Beast. 

Cette adaptation a été confiée à Tamaki Nakatsu à qui nous devons le premier Fullmetal Alchemist et d’autres animes que je ne connais pas vraiment. De même pour le chara-design qui est à la charge de Tamaki Nakatsu qui travaille sur son premier anime. 

Je ne vais pas vous mentir, quand j’ai fait mes petites recherches pour cette brève, j’étais en PLS. En effet, on ne peut pas dire que le staff vend du rêve. Il ne reste plus qu’à attendre et juger sur ce qui va être proposé.


Comme dit en début d’article, ces quelques présentations d’animes ne représentent pas une liste exhaustive. Mais il y en a une, comme d’habitude que vous pouvez consulter.

Merci à toutes et tous de nous suivre et rendez-vous sur le forum pour discuter de ces animes du Printemps 2024 !

Le Staff Webzine.

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