Voila une série à conseiller à tous ceux qui voudraient commencer une série manga !
Le design des personnages est classique, avec un accent porté sur la finesse des expressions émotionnelles. Les personnages sont charismatiques, là-dessus, rien à dire.
La bande son est obsédante, excellente et restitue parfaitement l’ambiance du manga. Elle est truffée de petits samples qui vous mettent tout de suite dans le climat. Je vous conseille de vous la procurer ! (les génériques sont pas top).
Le scénario, c’est cela l’assise de son succès bien mérité. Ni scènes d’action, de combat, d’événements surnaturels ou cosmiques, mais une narration subjective capable de stimuler votre empathie pour le (anti) héro.
Le point négatif (ce qui justifie le -1), c’est la saison 2, j’ai été déçu mais ça n’a pas été un calvaire de la suivre, au contraire. Disons qu’il a fallu raccourcir la série et l’achever pour une fin qu’on sentait depuis le début.
En tout cas, si vous aimez les séries comme Dexter, où votre opinion philosophique sur la question du droit de tuer est traitée avec tout le travail qui se doit, foncez !
Au moins une série qui considère le spectateur comme un consommateur avec un cerveau actif.
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Death Note
Light Yagami (Raito Yagami) est un brillant étudiant de 17 ans. Affligé par un monde sans intérêt et qui pourrit de jour en jour, il ne tente rien pour fuir l’ennui que lui inspire la vie. Cependant, un cahier ramassé par terre va bouleverser le cours de cette existence monotone, un cahier au titre étrange : Death note.Il faudra peu de temps à Light pour comprendre que ce cahier lui confère le pouvoir de tuer qui il souhaite à condition d’en connaître le nom et le visage. Envahi par un sentiment de puissance il prend conscience de son désir d’exterminer les criminels et rêve de créer un monde parfait où règne la justice. La succession de morts va attirer l’attention d’un détective réputé aussi bien pour son talent que pour le mystère dont il s’entoure : « L».Commence alors une lutte effrénée pour la justice.