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A la Découverte de l’Isekai

Publié le 25/08/2023 par dans Dossiers - 4 commentaires

Jour

Si vous êtes du genre à suivre régulièrement les sorties saisonnières, vous avez dû remarquer qu’un genre particulier se démarque. Cette vague d’anime plus ou moins similaire où un protagoniste se retrouve transporté dans un monde fantastique ou parallèle dans lequel il obtient un pouvoir démesuré pour sauver le monde, se construire un harem ou pour encore d’autres raisons plus obscures. Sans trop de suspens, vous avez compris que nous allions parler de l’isekai.

Regardez-vous ce genre d’anime ? Comprenez-vous pourquoi se ressemblent-ils tous ? Ou tout simplement souhaitez-vous en savoir plus ?

Bienvenue dans cet article “ À la découverte de l’Isekai” ! 

Mais d’abord, qu’est-ce qu’un Isekai ?

“isekai” est un terme japonais qui signifie “autre monde”, autrefois simplement utilisé comme un terme d’initié pour décrire les œuvres qui en utilisent le concept, de nos jours il s’est généralisé pour devenir un genre à part entière qui possède ses propres règles et codes.

Certaines œuvres précurseures comme « Fushigi no Umi no Nadia” sont des isekai par leur concept, mais ils n’ont pas de rapport avec le genre actuel. En effet, l’isekai est un concept qui a muté et subi de nombreuses transformations. Aussi, le concept d’isekai tel qu’il est compris aujourd’hui, avec le protagoniste transporté dans un monde fantastique, s’est développé plus tard. D’abord utilisé comme un élément peu important du récit, il est au fur et à mesure devenu un élément – marketing – incontournable qui dispose d’un public suffisamment conséquent pour que le nombre de productions augmente d’année en année.Et la demande ne semble pas s’essouffler puisqu’il en sort plusieurs par saison.

Quelle est donc la raison de cet engouement ? Est-ce parce que l’isekai est un genre novateur qui se démarque par la qualité de ses œuvres ? Ou au contraire s’agit-il d’une machine bien huilée dont le succès ne doit rien au hasard ?

Au travers de cet article nous allons tenter, ensemble, de décrypter le genre, les raisons de son succès, ensuite nous vous présenterons ses œuvres phares, suivie par une analyse un peu plus poussée de Sword Art Online, un anime défrayant les chroniques dans le monde de la japanimation ainsi que diverses autres petites surprises !

E=MC² : comprendre la formule de l’Isekai

Le genre isekai existe depuis de nombreuses années, sans pour autant être reconnu tel quel. Il peut y avoir des débats sur la catégorisation spécifique d’un anime ou d’un autre, selon la définition personnelle qu’on peut donner à un anime isekai. Toutefois, restons dans les clous et commençons par le commencement.

paysage isekai

Il existe 5 règles d’or de l’Isekai. Ces 5 règles permettent d’identifier correctement un anime comme un étant un anime Isekai.Il est important que celles-ci soient respectées un maximum :

  • Être transporté ou réincarné dans un autre monde ;
  • Le monde doit être différent de son monde d’origine ;
  • Le protagoniste doit avoir un objectif bien précis ;
  • Le protagoniste doit avoir un pouvoir ou des connaissances lui donnant un avantage sur les habitants locaux ;
  • Le protagoniste doit passer par une phase de découverte du monde, de la culture et des habitants de son nouveau monde.

Bien que ces quelques règles semblent être “de bon sens” pour pouvoir catégoriser correctement un isekai, c’est toujours intéressant de les connaître pour pouvoir les identifier et ne pas les confondre avec de la fantaisie plus classique.

Le débat s’ouvre évidemment avec l’interprétation que nous pouvons avoir de l’une ou l’autre règle. Par exemple : peut-on considérer que le classique de Jules Vernes, 20 mille lieues sous les mers, est un isekai ? Certains vous répondront directement que non. Et pourtant, en tant qu’être humain, visiter le fond des océans, qui est un monde totalement inconnu et différent de la surface, n’est-ce pas similaire à la seconde règle des isekai ?
Et pour revenir à la japanimation, Bleach ne serait-il pas en partie un isekai ? Bah oui, rappelez-vous de l’arc Soul Society. Ne respecte-t-il pas les codes ?

Le débat est ouvert.

L’Isekai en dehors de la japanimation

Ce chapitre est anecdotique, mais l’exercice d’identification de certaines œuvres : films, livres, contes ou dessins animés non japonais est intéressant. Voici quelques œuvres qui ne sont pas issues de la japanimation, mais qui respectent les codes du genre. :

• Alice au Pays des Merveilles
• Le Monde de Narnia
• Jumanji
• Outlander
• Peter Pan
• Le Magicien d’Oz
• la trilogie Matrix
• Les Chroniques de Spiderwick
• Voyage au Centre de la Terre de Jules Vernes
• Frères des Ours
• Le cycle des Fourmis, le cycle des Anges et le cycle des Dieux de Bernard Werber
• et bien d’autres encore…

Vous voulez en discuter ? Il y a effectivement l’un ou l’autre exemple qui ouvrent le débat ! Rendez-vous dans le sujet spécialement dédié sur le forum :)

Quelques œuvres phares du genre

Comme tous les genres, il existe quelques œuvres sortant du lot. Nous avons décidé de vous en présenter quelques-unes. Une liste plus exhaustive est disponible en fin d’article.

  • « .hack//Sign » (2002) : Cette série met en scène un joueur de jeu en ligne se retrouvant piégé dans un monde virtuel. Elle a contribué à populariser le thème de l’isekai dans les années 2000.
  • « InuYasha » (2000-2004) : Cette série raconte l’histoire d’une jeune fille transportée à l’époque féodale japonaise où elle rencontre des démons et un demi-démon nommé InuYasha.
  • « Sword Art Online » (2012-Présent) : Cette série est l’une des plus populaires du genre isekai. Elle se déroule dans un jeu de réalité virtuelle où les joueurs sont piégés et doivent combattre pour survivre. Elle a été très influente et a inspiré de nombreux animes isekai ultérieurs.
  • « Mushoku Tensei » (2012-Présent) est apprécié pour ses personnages bien développés, son monde fantastique riche et son intrigue captivante. L’histoire explore des thèmes tels que la rédemption, le développement personnel, la croissance personnelle et les liens familiaux. Le protagoniste, Rudeus, passe par un voyage émotionnel complexe, ce qui en fait une série appréciée par de nombreux lecteurs et téléspectateurs.
  • « Konosuba » (2013-Présent) est une série comique qui se moque des conventions des mondes de fantasy et des clichés des animes isekai. Les personnages sont souvent incompétents, et leurs interactions loufoques et leurs maladresses donnent lieu à des moments hilarants. La série joue également sur des éléments de jeu de rôle, en suivant les aventures de l’équipe de Kazuma et de ses compagnons qui se retrouvent à accomplir des quêtes étranges et ridicules.
  • Re:Zero – Starting Life in Another World » (2016-Présent) : L’histoire suit Subaru, un jeune homme transporté dans un monde fantastique où il possède la capacité de revenir à la vie après sa mort. La série explore les thèmes de la souffrance et de la rédemption.
  • « That Time I Got Reincarnated as a Slime » (2018-Présent) : L’histoire tourne autour d’un homme devenu un slime après sa réincarnation dans un monde fantastique. Il acquiert de nouvelles compétences et se lance dans une aventure pour transformer le monde.
  • « The Rising of the Shield Hero » (2019-Présent) : L’histoire suit un jeune homme transporté dans un monde de type jeu vidéo où il est désigné comme le héros du bouclier. Il doit lutter contre l’adversité et gagner la confiance des autres personnages.

Le cas Sword Art Online

Il me semblait impensable d’écrire un article sur les isekai sans parler du cas Sword Art Online.
Qu’on l’accepte ou non, SAO est une œuvre emblématique du genre. Il utilise les 5 règles d’or citées précédemment et le fait correctement. Bien que le débat tourne plus autour de la qualité globale de l’œuvre que de son appartenance au genre isekai, il est intéressant d’analyser plus en profondeur l’œuvre de l’écrivain Reki Kawahara.

sao

En se déroulant dans un premier temps dans un jeu VR, SAO propose un concept différent, à l’époque, de la fantaisie classique, où les joueurs sont piégés et où ils doivent se battre pour survivre à un jeu mortel dans les arcs Aincrad (S1) et Gun Gale Online (S2).
En poussant l’analyse un petit peu mieux, nous pouvons découvrir que la licence aborde également des questions philosophiques très précises, qui se poseront certainement dans les années à venir.

Tout d’abord, il y a un réel questionnement identitaire entre le monde IRL et IVL, surtout après l’arc Aincrad (S1). Cette question se pose déjà aujourd’hui avec certains gamers qui sont totalement immergés dans leurs jeux. Nous pouvons aussi parler de nous, membres de la communauté d’AK, qui lors de la dernière réunion IRl à Paris, nous nous sommes tous appelés par nos pseudos. Par simplicité ? Probablement, mais n’est-ce pas aussi une question d’identité ? Un mélange inconscient et logique de nos identités IRL et IVL respectives. La question mérite d’être posée.

Dans l’arc Alicization se déroulant dans l’Underworld, et non dans un jeu VR (S3-4), comme c’était le cas dans les premières saisons, on peut également parler d’un questionnement philosophique à venir dans plusieurs générations : quels sont les droits d’une IA ? En partant du principe que la société évolue au point de créer des IA aussi développées et conscientes, devrons-nous un jour considérer ces éventuelles nouvelles formes “de vie” numérique comme des ayants droits au même titre que nous ? Ces notions me semblent assez fondamentales aujourd’hui, de plus en plus avec l’avènement des VR-Verse et des IA comme ChatGPT ou MidJourney qui évoluent à la vitesse de l’éclair.
Il existe également d’autres questionnements qui donnent de la profondeur à l’œuvre, comme la liberté, la valeur de la vie ou encore une certaine forme de questionnement sur le sens de la vie et sa place dans la société IRL ou IVL.

En dehors de ces questions plus sérieuses, il faut obligatoirement ajouter quelques zestes d’éléments plus vendeurs, comme quelques protagonistes féminins, des scènes d’action, de l’aventure ou encore de la romance. Sinon, ça ne marche tout simplement pas.

Attention, ce chapitre ne sert pas à vous convaincre de la qualité globale de SAO, mais plutôt à vous permettre de comprendre l’œuvre au-delà de son apparence parfois moyenne ou racoleuse. Sword Art Online peut être bien plus qu’un anime moyen si on se donne la peine de pousser la réflexion.

Notons également que SAO est devenu un véritable monstre marketing, avec des dizaines de produits dérivés et autres spin-offs. Ce n’est pas totalement anodin.

Moi ? Pas objectif ? C’est fort probable. J’aborderai les mauvais côtés du genre plus loin dans l’article. Donc accrochez-vous encore un petit peu !

Regardez un Isekai pour fuir la réalité ou pas ?

En lisant le titre, vous pourriez avoir tendance à penser : « C’est un peu le but de tous les animes », et je vous donnerais totalement raison ! Cependant, le genre isekai possède une particularité qui le distingue de la majorité des autres animes : la question « Et si c’était moi le personnage principal ? ».

Laissez-moi m’expliquer. Oui, nous avons tous, un jour, rêvé de réaliser un Kaméhaméha, de capturer un Salamèche, de trouver le One Piece, de réaliser un Kage Bunshin no Jutsu ou d’invoquer le Dragon Blanc aux Yeux Bleus. Cependant, la distinction entre ces animes et les isekai est essentielle : le protagoniste d’un isekai est, dans la plupart des cas, un être humain ordinaire, tout comme vous et moi. Il est donc nettement plus simple de s’identifier au personnage, voire de s’imaginer à sa place.

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Ce genre représente également une opportunité de renaissance, une porte de sortie vers un nouveau départ. Les personnages principaux sont souvent des individus un peu « foireux », décalés socialement par rapport aux autres, en somme, ils ont quelque chose qui cloche à la base. Cette aventure dans un nouveau monde constitue pour eux une sorte de nouvelle chance, une opportunité de recommencer à zéro. Et soyons honnêtes, qui n’a jamais rêvé d’obtenir une seconde chance ? C’est plus simple de s’identifier à eux, et c’est là que les isekai prennent légèrement l’avantage.

Toutefois, échapper à la réalité n’est pas la seule raison qui pousse les spectateurs à regarder un isekai. Les motivations varient, allant de l’intérêt pour la fantasy et les aventures épiques, à l’exploration de la psychologie des personnages confrontés à des défis extraordinaires. Certains sont attirés par les thèmes philosophiques sous-jacents (relire le chapitre sur SAO est un bon début), tels que la redéfinition de l’identité, les choix moraux dans des mondes nouveaux, ou encore la manière dont les interactions avec des créatures fantastiques reflètent nos propres relations.

En bref, si les isekai offrent une évasion temporaire vers des mondes imaginaires, ils offrent également une possibilité d’explorer une gamme variée de thèmes et d’émotions humaines. L’un des points forts de ces animes réside surtout dans leur capacité à nous emmener au-delà de notre réalité quotidienne, tout en reflétant en même temps nos propres aspirations, doutes et rêves.

Il y a toujours un côté négatif.

Bien qu’il faut avant tout noter que tous les animes isekai n’en souffrent pas, il faut néanmoins, objectivité oblige, reconnaître que certains d’entre eux possèdent un ou plusieurs éléments négatifs qui poussent les spectateurs à les éviter. Je pense notamment à une manque d’originalité parfois dramatique. Il n’est pas rare de voir des animes isekai se ressembler au fil des saisons. Bien que fan de ce genre, j’avoue qu’il m’arrive également de les abandonner en cours de route quand c’est vraiment trop mauvais. Il existe aussi des soucis au niveau des personnages. Certaines œuvres se concentrent plus sur l’histoire et les pouvoirs de certains personnages que sur les personnages en eux-même. Ainsi les animes finissent par manquer de finesse et de profondeur. C’est dommage. Notons également une sur-sexualisation et majoritairement des personnages féminins. Certains apprécient, je peux l’entendre, mais ça reste pas ouf et pas toujours nécessaire pour faire avancer l’histoire. Une armure décolleté ça peut passer, mais un plan culotte pendant 23 secondes, c’est pas utile.

Isekai Ojisan - 01 - Large 18

Et enfin, un point qui me semble négativement essentiel… Bah c’est tout simplement que les MP (Main Protagonist) sont parfois beaucoup trop cheaté. Quand tu tombes sur un isekai ou le personnage est carrément imbattable dès l’épisode 2 bah l’effet de surprise est quand même vachement moins présent. C’est dommage. Mais c’est comme ça.

Vous voyez, même moi, je peux faire preuve d’objectivité et pointer quelques aspects négatifs du style !

Et le MVP intercontinental et toutes catégories est…

Parmi les fans de l’isekai, il existe un élément incontournable, légendaire, voire mythique. CAMION-SAN ! (ou Truck-kun pour les anglo-saxons). Ce banal véhicule de transport routier a gagné une place spéciale dans le cœur des amateurs d’anime en raison de son rôle récurrent dans le lancement des aventures de nombreux protagonistes. Ce véhicule anonyme est devenu un symbole. Un symbole que nous allons décrypter.

De nombreuses fois, Camion-san signe le début de l’aventure de ce MP ordinaire, qui innocemment traverse la rue et se fait choper de façon “totalement inattendue” et ainsi commencer son périple. Ce schéma a été tellement utilisé qu’il en est devenu un running gag légendaire dans le milieu, au même niveau que la mort à la con de Yamcha face à un Saibaman.

Toutefois, en dehors des clichés rigolos, Camion-san symbolise également le passage d’une vie ordinaire à une vie extraordinaire, par un renversement (c’est le cas de le dire) brutal de la réalité du MP. Camion-san est littéralement devenu l’une des lignes de départ des acteurs du genre.

Cependant, certains auteurs, ayant bien compris la symbolique de Camion-san, s’en amusent en ajoutant un clin d’œil sous forme de petites blagounettes, comme dans Konosuba, Isekai Quartet ou même Gintama.

Ainsi, bien qu’il existe de multiples manières de débuter une aventure isekai, Camion-san est rentré dans la légende comme un symbole puissant et cocasse d’un début d’aventure, marquant une façon brutale de rompre avec le quotidien du MP et s’attribuant ainsi un statut de légende dans le monde de la japanimation tout entière.

En bonus, une petite compilation des plus belles apparitions de Camion-san dans les animes. À voir ou à revoir entre amis !

Youtube

Pour conclure

L’univers riche et varié de l’isekai offre une multitude de possibilités, tant aux spectateurs qu’aux auteurs. Peu importe les raisons, passant par l’envie d’échapper à la réalité, l’exploration de nouveaux mondes fantastiques, voire même remettre en question sa propre identité, ce style reste indéniablement l’un des styles offrant une richesse de possibilités, expliquant en partie pourquoi l’isekai est un style particulièrement apprécié dans le monde.

Les œuvres isekai, issue de la japanimation ou non, nous donnent la possibilité de développer notre créativité, de nous poser des questions et de tout simplement passer un bon moment. Du mythique Camion-san aux mondes virtuels complexes, le genre isekai ne cesse d’évoluer et de se réinventer, tout en offrant des expériences captivantes et mémorables. Même s’il arrive que certaines œuvres isekai prennent des raccourcis ou tombent dans la facilité, au détriment de la qualité globale de l’œuvre, nous pouvons maintenant, à la fin de cet article comprendre pourquoi ce genre est l’un des genres les plus appréciés dans le monde.

Enfin, les isekai nous apprennent une leçon qui me semble être importante.
Peu importe qui vous êtes, ce que vous faites et ce que les autres peuvent penser de vous, vous êtes et restez le héros de votre histoire et c’est à vous de transformer votre vie ordinaire en une aventure extraordinaire.

C’était Benja pour vous servir, à vous les studios.

Tu pensais que c’était fini ? Ça ne l’est jamais !

Découvrez une liste d’anime isekai à voir ou à revoir !

Venez discuter avec moi sur le forum au sujet de cet article et du monde passionnant de l’isekai !

*Notons que cet article a été écrit par moi, Benja, mais en comptant sur l’aide de Dant, la relecture de Sartha, un soutien technique de Sacrilège et également avec l’aide de ChatGPT, qui m’a aidé à mettre de l’ordre dans mes idées et me donner des tournures de phrases moins ghetto.

**Cet article est écrit dans le cadre du projet  » À la découverte de… » lancé par le staff d’Anime-Kun pour vous faire découvrir les différents genre d’anime. Redécouvrez l’article sur les Mechas de Deluxe !

*** Les images utilisées dans cet article n’appartiennent pas à Anime-Kun Elles seront enlevées sur le champ à la demande de leurs auteurs.

4 commentaires

Merci Benja pour cet article très documenté, qui va peut-être finir par me convaincre de jeter un oeil à ces bêtises !
Et contente que le staff s’élargisse de nouveaux rédacteurs =]

Sur l’origine des Isekai il manque plusieurs titres phare parmi les précurseurs. Plutôt qu’un Nadia dont je ne comprend pas trop le rapport au genre, plus ou moins à la même époque il y a déjà Vision d’Escaflowne ou bien Fushigi Yugi, sans oublier L’autre Monde et les 12 Royaumes qui sont sortie après.

A part cela un bon article.

Merci pour cette introduction à ces univers divers et variés par leur qualité.

Beau boulot les gars. Pour une première, c’est pas mal !

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