Mouais... j'ai vu mieux comme animé. J'aurais dû m'y attendre : le thème du garçon amoureux d'une fille qui ne veut pas laisser parler ses sentiments a été maintes et maintes fois visité. Mais parfois, ce genre de séries réserve des surprises, alors je me suis dit pourquoi pas. En fait, j'aurais mieux fait de passer mon chemin.
L'histoire est lente (limite soporifique) et le scénario se concentre exclusivement sur les histoires de coeur des uns et des autres. Tout ça dans une ambiance triste, morne et mélancolique. De quoi vous donner envie de vous tirer une balle dans la tête ne serait-ce que pour quitter cette léthargie dans laquelle vous plonge la série...
Bon ! Soyons honnête, l'animé n'est pas complètement mauvais. Les personnages sont bien dessinés, certains sont même sympathiques à défaut d'être profonds et intéressants. Mais était-il vraiment nécessaire de nous gaver avec 26 épisodes ? Un concentré de 12 épisodes aurait largement suffi, d'autant que l'histoire ne comporte pas 50 000 rebondissements.
Le moment que j'ai préféré dans la série, c'est quand je suis enfin arrivée au dernier épisode. Ouf ! Je n'en pouvais plus. Un de plus et c'était l'overdose.
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Infos sur l'anime
Suzuka
Yamato Akitsuki quitte sa petite bourgade pour entrer au Lycée à Tokyo. Il sera hébergé par sa tante qui tient une auberge de jeunesse pour jeunes filles. Alors qu'il fait connaissance avec son nouveau lycée, Yamato reste figé en regardant une jeune fille s'entrainer au saut en hauteur. C'est le coup de foudre ! Et quelle ne fut pas sa surprise lorqu'il decouvrit que cette belle sportive, Asahina Suzuka, n'est autre que sa voisine de chambre...