Critiques des membres d'Anime-Kun - page 62
Tomoi – Rêve au musée
Hier, j’écrivais une critique de Sleeping Beauty Boy, un manga qui date du début des années 1980, et surtout remarquable pour ses parti-pris francs et osés. Tomoi en est la suite directe ; mais ce qui fait l’intérêt de cette suite, c’est que l’autrice a laissé passer cinq ans avant de la publier. Aussi, en raison de... Lire la critique
La Dégénérescence assumée de Short cuts
Furuya Usamaru. Auteur entre autres de La Musique de Marie, Tokyo magnitude 8 et plus récemment de Je Voudrais Être Tué Par Une Lycéenne . Il a un style certainement à part, et une dent pour les personnages étranges. Avec Short cuts, pas d’histoire à proprement parler. Comme le titre l’indique, il s’agit là d’un... Lire la critique
Sleeping Beauty Boy – Sieste au musée
S’il y a un genre que le yaoi moderne a tout à fait oublié, c’est le drame réaliste. Alors qu’il était omniprésent dans les années 1980, il a peu à peu disparu au début des années 1990, complètement submergé par la nouvelle génération de mélodrame expressionniste, dont fait notamment partie Zetsuai. Imaginez ce que... Lire la critique
Full Baseball Alchemist
J'aimerai dire que j'ai re-regardé la première année de Sawamura et ses coéquipiers en pure conscience professionnelle et pour préparer la nouvelle saison. Sauf que c'est loin de la première fois que je re-regarde Ace of Diamond. Comme d'habitude, une bonne dose de flemme m'a empêché de rédiger une critique. Mais il y... Lire la critique
KAKEGURUI XX — Qui ne tente rien…
L’Académie Hyakkaô est en pleine tourmente ; l’arrivée de Yumeko Jabami et ses exploits contre les membres du Conseil des élèves ont bouleversé l’ordre établi. La présidente Kirari Momobami, soucieuse de réaffirmer son autorité, décide de dissoudre le Conseil et d’organiser des élections anticipées. Cependant la... Lire la critique
The perfect insider:
Une bonne histoire de détective à mon sens ne doit pas essayer de surprendre coûte que coûte, mais bien de définir des règles claires et tangibles pour le lecteur, comme pour un jeu. La vérité est le point culminant du récit, l'atteindre est le but poursuivi par le détective, ainsi que le spectateur. Il est normal... Lire la critique
Presque déçu mais pas pour les raisons attendues
J'avais regardé avec un peu de curiosité mais aussi un peu de condescendance l'adaptation de Goblin Slayer. Pourtant régulièrement loué par les lecteurs, j'y voyais un issekai qui ne s'assume pas et comme il en pullule tant en ce moment qui essaye avec sa violence graphique racoleuse de se démarquer. Le vieux con est... Lire la critique
Lelouch of the Resurrection – Mais où est passé le défibrillateur ?
Le temps n’est pas au beau fixe pour Sunrise. Le studio qui autrefois faisait briller les yeux de tous les amateurs de gros robots tire un peu la langue depuis plusieurs années, et son dernier vrai succès dans le créneau remonte à la fin des années 2000 : c’était en 2006, avec Code Geass. Depuis ? Un ou deux Gundam... Lire la critique
HAND SHAKERS — Souvent sous un beau gant se cache une laide main
GoHands est un studio apparu en 2008 à la suite d’une scission du studio Satelight, et qui s’est fait remarquer depuis dix ans par des productions d’un style bien spécifique. Mardock Scramble, K, Coppelion partagent ainsi cette direction artistique bien particulière avec un chara-design élaboré à partir de magazines... Lire la critique
Modest Heroes – L’oiseau prend (tout doucement) son envol
Pour la première fois en quinze ans, on a pris au sérieux l’annonce de la retraite de maître Miyazaki, qui répétait inlassablement depuis Princesse Mononoké qu’il arrêtait. C’était fin 2014 : le studio Ghibli décidait de refondre son équipe de production principale. C’était l’occasion pour « Maro », Hiromasa... Lire la critique
