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Guin Saga – C’est plus fort que toi !

Publié le 12/05/2009 par Vit Zayder dans Anime - 19 commentaires

Guin Saga n’est ni plus ni moins que l’adaptation de la plus longue série de romans écrite par une seule personne de l’histoire : plus de 120 volumes racontant l’épopée de Guin, l’homme au masque de léopard. C’est à Kaoru KURIMOTO que l’on doit ce chef d’œuvre débuté en 1979 et encore en cours. Voilà pour le côté historique.

Si l’on s’intéresse à l’adaptation elle-même, on se rend compte que derrière Guin Saga se cache Satelight, un jeune studio (par rapport à un Madhouse par exemple), à qui l’on doit déjà Noein, Macross Frontier, les OAV de Hellsing et en ce moment même Basquash! Bien que ce studio ait connu des ratés, il faut lui reconnaître un niveau technique impressionnant et force est d’admettre que c’est l’un des studios qui montent.
Le réalisateur de Guin Saga, Atsushi WAKABAYASHI, a déjà travaillé sur Noein et Otogizoushi. Le directeur artistique Junichi HIGASHI remplissait déjà ce rôle pour Cowboy Bebop et RahXephon. Le scénario a été confié à Shôji YONEMURA, le scénariste de l’anime Death Note. Ah ! Et comme si ça ne suffisait pas, la musique de Guin Saga est l’œuvre du grandissime Nobuo UEMATSU, le papa des thèmes de la série des Final Fantasy.
Avec un pedigree pareil, on est en droit de se demander pourquoi cette série n’a pas affolé la plupart des otakus du monde. La réponse est finalement assez simple : comment adapter une saga pareille en anime sans que cela soit, au choix, un fiasco, une déception ou quelque chose qui n’a rien à voir avec l’original ? Penchons-nous donc sur le cas Guin Saga.

Guin Saga raconte l’histoire de Rinda et Remus, le prince et la princesse du royaume de Parros. Ce dernier a été détruit par l’armée de Mongaul, qui n’a rien mais alors rien à voir avec celle de Gengis Khan, visuellement parlant. Nos deux héros, aussi surnommés les perles jumelles de Parros, réussissent à s’échapper magiquement et se retrouvent téléportés dans une forêt, en plein cœur du royaume de Mongaul. Sur le point d’être capturés, ils sont sauvés par Guin, un homme à tête de léopard (est-ce un masque ?) qui en plus d’être amnésique est forcément monstrueusement puissant à mains nues. Et avec une épée n’en parlons pas.

Je n’irais pas plus loin, mais on voit déjà là des recettes diablement efficaces de l’heroic fantasy. Retenez surtout que Guin est vraiment très fort, à tel point qu’il ne faut plus se poser de questions de réalisme ou de crédibilité.

Pour commencer, je dirais que si Satelight avait voulu prouver leur monstrueuse maîtrise technique, Basquash! aurait suffi. Mais avec Guin Saga, le studio annonce à tout le monde qu’ils ont décidé d’entrer dans la cour des grands. Sans être du niveau de la claque technique qu’est Basquash!, Guin Saga présente de magnifiques décors, fouillés bien que parfois un peu fades.
Les couleurs sont bien choisies et passé le choc de la blancheur immaculée des crinières de nos deux héros en cavale, on se rend compte que les tons sont parfaitement maîtrisés. Je reviendrais sur le chara-design un peu plus tard.
En termes d’animation, c’est extrêmement propre dans la globalité. Et plus encore lors des séquences d’actions. Sans atteindre la quasi-perfection de Seirei no Moribito, les combats sont aussi réalistes que les normes de l’heroic fantasy le permettent. Comprendre ici que Guin possède une telle force qu’à chaque coup, l’écran en tremble. En agrémentant tout cela de rugissements et de rendus de vitesse très efficaces, les combats obtenus sont intenses, rythmés et juste assez longs pour nous mettre en transe. En cela, l’apparition de Guin dans le premier épisode avait annoncé la couleur et il semble que l’on restera dans cette approche pour la suite.

Bien, passons au retour de bâton. Le principal problème de l’adaptation d’un grand classique, c’est qu’elle se retrouve souvent victime de ce classicisme. Et Guin Saga c’est de l’heroic fantasy à l’état pur, à la limite du kitsch façon Musclor. Conséquence fâcheuse : le chara-design et le design en général, en plus d’être vieillot, manque d’originalité. Ce n’est pas un défaut intrinsèque à l’anime lui-même, mais à l’œuvre elle-même. Il y a tellement eu de séries de ce genre qu’un design classique devient un défaut.
Ceci étant, dans le cas présent, se pose la question de l’œuf ou la poule. Il se trouve que des œuvres références du genre se basent sur Guin Saga, comme Berserk pour n’en citer qu’une. Donc, bien que ce soit un défaut, personne n’en est responsable.

Par contre, l’un des avantages du classicisme est l’absence totale de fan service. Logique, vous me direz, mais quand on voit Basquash!, ça a quand même quelque chose de rassurant. Comme quoi Satelight sait faire ça aussi.

Cela nous amène à l’histoire elle-même. Nécessairement, c’est de l’ultra-classique. Mais contrairement au design, ici, c’est efficace et prenant. Comme il n’y a pas de fumée sans feu, une œuvre littéraire aussi renommée propose forcément une histoire extraordinaire. L’anime semble suivre la trame du roman. On se retrouve ainsi avec une série prenante, bien rythmée. Ceci étant dit, adapter une œuvre littéraire entraîne des sacrifices et malgré la qualité du staff, on n’échappe pas à cette règle.
Je ne connais pas l’œuvre originale mais on sent bien que les choses vont trop vite. Si cela évite les longueurs, il est difficile de se défaire d’un sentiment de précipitation qui pourrait entraîner la série dans un grand n’importe quoi scénaristique qui perdrait totalement le spectateur.
Notons pour l’exemple que le premier volume a été résumé au cours des trois premiers épisodes.  Il sera nécessaire de trouver un compromis entre adapter même quelques volumes de plusieurs centaines de pages en un nombre d’épisodes raisonnables et couper au sécateur dans l’histoire afin de compresser le tout dans 26 ou 52 épisodes (ou plus encore car même dans le dernier cas, cela semble impossible). Il s’agit sans doute du plus gros point noir de cette série pour l’instant. A voir si cela persiste.

Quant au contenu lui-même, il est difficile de critiquer et les évènements et les personnages croisés puisque, encore une fois, sans avoir lu les romans, comment juger de l’anime ? Néanmoins, hormis le personnage de Remus qui est des plus agaçants, Guin, Rinda et Istvan sont une réussite. Reste à savoir quand même si le côté bouffon de Istvan est original ou s’il s’agit d’un choix propre à l’anime.

Je finirais sur ce qui est l’une des plus grandes satisfactions de cette série, à savoir la musique. Satisfaction proportionnelle à l’attente et le risque couru par Nobuo UEMATSU. Et là, rien à redire. UEMATSU est au sommet de son art. L’opening est magnifique et annonce la couleur d’entrée : Guin Saga sera fantasy ou ne sera pas. L’ending, par Kanon, est lui aussi de toute beauté. Mais le talent d’UEMATSU se situe surtout dans ses musiques d’ambiance. Toute personne ayant joué à un Final Fantasy retrouvera avec plaisir la « patte » du maître. La musique est prenante, source d’émotions choisies, toujours présente au bon moment. Les séquences de tout type sont desservies par une bande-son magnifique. Par contre, on reste bien là dans des musiques d’heroic fantasy avec tout ce que cela implique de tambours, d’orgues, de violons et de chœurs. Mais bon, c’est de l’heroic fantasy made in UEMATSU.

Ainsi pour conclure, Guin Saga est pour l’instant très prometteur. Les derniers épisodes commencent à nous mettre de plein pied dans l’épopée. Néanmoins, je crains que le classicisme parfois insipide du design n’en fasse fuir plus d’un. Sans oublier que la série pourrait bien se diriger vers une adaptation hasardeuse qui déplaira peut être à ceux qui auront lu le roman. Enfin, je conseille cette série à tous les fans de Nobuo UEMATSU tant la musique pourrait justifier, à elle-seule, le visionnage de Guin Saga.

19 commentaires

J'aurais préféré voir un personnage à tête de Chow chow pour changer...
Pour ma part, aucun problème à regarder cet animé bien que les VOSTAs mettent horriblement de temps à venir. :/
3 shadow8 le 12/05/2009
Pour l'instant ce me va, mais l'ending est trop beau
4 orieur le 12/05/2009
Pour ma part, je préfère un anime de 52 épisodes avec de grosses coupes franches bien placées plutôt qu'un anime de plus de 600 épisodes, ca serait décourageant car le scénario ne permet pas de faire des "arcs".

Tu n'en as pas trop parlé mais même le soldat de base est capable de faire des déplacements de ninja en armure complète ou bien de désintégrer les lourdes portes du château avec son épée.

C'est l'anime d'avril qui m'a le plus captivé.
On sent vraiment qu'on est au début d'une saga épique sans doute grâce aux musiques mais aussi aux décors grandioses.
En trois épisodes, il y a eu énormément de contenus dont leurs réponses pourront déjà remplir 26 épisodes facile.
Tu oublies le fouet briseur de murs de prison et tueur d'homme-chats !!!

Comme je disais je pense pas qu'il faille attendre de la crédibilité à ce niveau mais ça me va. Finalement ça passe.

Pour le contenu des trois premiers épisodes, c'est clair que ça aurait pu être traité en beaucoup plus. Mais par contre, je ne crois pas que l'adaptation de la totalité de l'œuvre soit déjà prévue...
6 shadow8 le 12/05/2009
Orieur, c'est vrais, mais la vrais oeuvre sont les romans et non l'anime. POur en faire un anime, il a fallu que ça soir populaire comme série de roman.^^
Ca m'a l'air bien sympa... Il faut que j'y jette un oeil mais il y a un truc qui m'en empêche un peu : je dois d'abord dépasser mon blocage sur King de Tekken, que j'ai toujours considéré comme un des persos les moins charismatiques du jeu vidéo. Mais bon, dans un univers héroic fantasy, ça à l'air de beaucoup mieux passer : Guin est presque classe sur les photos, bien bestial, bien héroique, bien... King of Iron Fist Tournament ! Haaaa, saleté de blocage !
8 DylaNolife le 12/05/2009
J'ai pas trop accroché au roman mais je vais essayé l'anim' en espérant que ce soit pas trop mauvais et peut-être plus plaisant que l'œuvre originale.
9 darkonis le 13/05/2009
J'ai lu les romans mais je n'ai toujours pas vu l'anime en vostfr. Pour l'instant seulement 5 romans sont traduits en France. Je ne sais pas si l'anime va s'arrêter au même moment que les romans sortis en France, ce que je ne souhaite pas car on aimerait la suite. Je ne vais pas en dire plus, sous peine de spoiler... Il faudra être patient et attendre que les bouquins soient traduits.

Tout ce que je peux dire du peu que j'ai vu, juste le trailer et l'épisode 01 (en diagonal et vosta), c'est que ça avait l'air fidèle au roman. Les personnages sont assez bien retranscrits, quoiqu'un peu "enfantins". J'aurais préféré un côté plus seinen (peut-être dû à la vision que j'ai faite après lecture des romans). Les lieux aussi, on les reconnait de suite. Le démarrage de l'histoire se passe comme dans le livre I : le Royaume de Paroh est assiégé par l'armée de Gorha, Linda et Rémus s'en sortent par "magie" et atterrissent dans la forêt de Rood où ils font la rencontre d'un guerrier à tête de léopard surpuissant... mais amnésique : Guin ! Et fort sympathique, le bougre, puisqu'il leur vient en aide. La suite vous la verrez dans les épisodes suivant.

D'après l'article, on voit apparaître rapidement Isht Van, dit le Mercenaire Rouge. Ce qui me fait un peu peur c'est "le côté bouffon" cité plus haut. Dans le roman, je me souviens bien qu'avec Linda il se prenait la tête car ils possèdent deux caractères différents, ce qui fait le charisme aussi des deux personnages, mais en aucun cas il était le "bouffon" de la classe... Wait and see.

Je ne vais rien dire sur le design, l'animation ou la musique, car n'ayant pas encore vu de version strf, je n'ai pas pris le temps de bien détailler un épisode.

En conclusion, j'espère que l'anime sera aussi bien que les romans. Même s'il y a des passages creux dans les bouquins, je peux d'ores et déjà vous annoncer de très bons moments de fantasy dans les prochains épisodes. Je pense que cette série fera au moins 52 épisodes. S'il y en a moins, ce sera un énorme bâclage. S'il y en a plus, eh bien le studio aura su rester fidèle aux romans.

Il ne me reste plus qu'à regarder les épisodes en stfr pour voir ce que ça donne, en espérant ne pas être déçu.
10 orieur le 13/05/2009
Ma dernière phrase mal écrite ne voulait pas dire que les 3 premiers épisodes auraient pu être développé en plus d'épisodes bien que ce soit vrai mais qu'ils avaient beaucoup de contenus et questions dont le développement et les réponses pourraient déjà remplir une saison entière.

Par exemple, il y a un prêtre que l'on voit au début et qui apparait dans les génériques et on se doute bien qu'il réapparaitra.
Bien sur il y a l'origine de Guin et du mot Aurra.
Si ça peut te rassurer arkhonis, le mercenaire rouge n'est pas un "bouffon" mais plutôt l'insouciant du groupe, il reste sérieux.
On se demande quels seront les rapports entre lui et Linda.
Compte tenu de la longueur de la série on peut supposer qu'on verra les jumeaux grandir voire même adulte.

Pour shadow8, bien sûr mais moi j'ai toujours pensé que les supports adaptant une œuvre devaient se regarder indépendamment les uns des autres quittent à être vraiment différents.
Je n'ai pas envie de lire les 120 volumes en japonais pour comprendre l'anime et une adaptation fidèle est impossible.
Il faut qu'ils reprennent les moments clés du roman et qu'ils adaptent tout le reste.
C'est sûr que c'est pénible pour ceux qui ont lu les romans mais ça sera vraiment sympa pour ceux qui ne les ont pas lu.
Il faut plutôt voir ça comme deux versions de la même légende.
En effet le terme "bouffon" est un peu fort. Je trouvais juste le côté insouciant, blagueur (masi pas trop) beau gosse un peu décalé vis-à-vis de l'ambiance générale.

Sinon, Orieur, autant pour moi, j'avais mal compris. Ceci dit je pense que ce contenu jette l'intrigue pour une bonne partie de la saga. Auquel cas j'espère comme Darkonis qu'on aura le droit à au moins deux saisons (52 épisodes).

Par contre, darkonis je suis intrigué. J'avais déjà remarqué ça sur différents sites mais apparemment la traduction française ne retranscrit pas les noms de la même manière qu'ils sont prononcés dans l'anime. Les deux exemples me venant à l'esprit étant Parros (dans l'anime le "s" est prononcé, dans le roman ce serait Paroh) et Ist Van (je n'avais pas saisi qu'ils s'agissait de deux mots dans l'anime).
12 darkonis le 13/05/2009
Vit Zayder, les noms que j'évoque sont ceux des romans français, donc traduits du japonais mais peut-être "remaniés" par le traducteur pour faire "plus" fantasy à la française. Concernant l'anime, les team Fr se basent souvent sur les trad Us, donc deux traductions et adaptations après la version japonaise... Pour Isht Van, il y a rien de choquant ; mais c'est vrai que pour Paroh/Parros c'est étrange. On a souvent du mal à remettre les bons noms à partir du japonais, dû à une prononciation très jap... comme par exemple : Linda et Rinda. L'auteur de l'article a d'ailleurs commencé avec un R pour suivre avec un L -qui est plus logique, car Linda est un prénom relativement courant-. D'où peut-être ces variations de retranscription des noms.
Oui d'ailleurs coquille de l'auteur (c'est à dire moi). Rinda avec un "r" est un choix personnel qui fait plus fantasy. Mais je suis intrigué pour Parros/Parroh...Bon c'est un détail. En tout cas merci de tes précisions.
14 Afloplouf le 13/05/2009
J'hésite à mme lancer dans cette série et ton article confirme mes doutes Zayder. A part Seriei no Moribito, l'heroic fantasy japonaise ne m'a jamais vraiment tenté. De plus 120 romans ? Non que la qualité soit inversement proportionnelle à la la quantité, ce serait réducteur, mais là on tient un ratio de 2 romans par an. Ça semble peu pour retravailler son œuvre en profondeur.
15 darkonis le 14/05/2009
Juste une petite précision. Je viens de regarder les 3 premiers épisodes chez une team Fr, AnT pour ne pas la nommer, et les noms sont bien retranscrits. Même pour Paroh et Isht Van. Les trad et adapt sont bonnes, à noter quelques légers problèmes de check/QC et de raw (MD à l'heure actuelle ça fait léger). Mais vous pouvez mater chez eux... ou attendre une sortie DVD.
Il s'agit en réalité de différences entre la CF et version anglaise. La version anglaise utilise bien Parros. Après je n'explique pas la différence...

Encore merci des infos Darkonis.

Et pour toi Aflo, je pense que ça reste largement en dessous de Seirei no Moribito pour l'instant. Et tes craintes, je les ai aussi. En gros je te conseille d'attendre un poil avant de te lancer.
17 iKo- le 15/05/2009
Comme dit dans ce magnifique article, l'enchainement est trop rapide, j'ai personnellement beaucoup de mal à suvire et à savoir ou cette série se dirige. Le bon exemple est le premier "méchant" qui a à peine le temps de s'immiscer dans l'histoire avant de ...
Je rajouterai que lors du premier épisode, l'Eveil de Guin, n'est pas assez sombre. Il se réveille un peu comme une fleur et la confusion qui devrait être la sienne n'est pas assez ressentie, il défonce tout sur une musique héroique, je trouve que ça ne colle pas vraiment.
C'est une réaction à chaud et j'espère que la série sera réussie mais pour le moment je fais partie des septiques (bien que j'appréçie la série à ce jour).
18 Godzila le 24/11/2009
GENIAL ! La fin de la série de 26 épisodesarrive malheureusement trop rapidement et le personnage charismatique Guin nous manque déjà. C'est vrai, Serei No Moribito est un légèrement mieux réalisé mais là on chipotte car l'histoire comme les graphismes et l'animation vous emmènent à travers une épopée grandiose ... Vivement la suite.

A VOIR ABSOLUMENT !
19 Hotaru le 08/12/2009
C'est génial, j'ai tout simplement accroché!
Certes il y a quelques défauts mais pas non plus si énormes XD

Tout à fait d'accord, les musiques sont tout simplement magnifique! Uematsu m'impressionnera toujours!

Le seul truc qui m'a vraiment dérangé, c'est la fin, en effet 26 épisodes, c'est beaucoup trop court pour résumer une telle saga et je suis restée sur ma faim >.<

Je sais pas par contre ce qu'on reproche au chara design, les perso sont pas mal du tout!
Je trouve au contraire que le chara design du manga n'est vraiment pas terrible (sans doute car je me suis habituée à l'anime)

J'espère qu'il y aura une suite ^^

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