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Les animes du printemps 2017

Publié le 03/04/2017 par dans Anime - 9 commentaires

Mes chers compatriotes, l’heure de choisir vos animes du printemps 2017 est arrivée ! Cette saison pas moins de dix-sept séries et films concourent au suffrage des électeurs d’AK, et cet article concocté par le service politique d’Anime-Kun vous permettra de voir au mieux les programmes des candidats et de faire votre choix pour la France. N’hésitez pas à réagir par vos commentaires en bas de l’article car quel que soit votre parti, l’important c’est de voter !

L’Attaque des Titans (TV 2) Atom the Beginning Rage of Bahamut Virgin Soul
Zero Kara Hajimeru Maho no Sho Re:Creators Kabukibu
Rokudenashi Majutsu Koshi to Akashic Records Sagrada Reset Shūmatsu Nani Shitemasu ka? Isogashii Desu ka? Sukutte Moratte Ii Desu ka?
Alice to Zoroku ID-0 Warau Salesman NEW
Kado the Right Answer BLAME! Resident Evil Vendetta
Yoru wa Mijikashi Arukeyo Otome Yoake Tsugeru Lu no Uta LISTE DES ANIMES DU PRINTEMPS 2017

L’Attaque des Titans (TV 2) – The Flying Dead

84177Et voilà. Nous y sommes. Après des années d’attente pour les fans, la voici enfin. La deuxième saison du phénomène mondial l’Attaque des Titans arrive en ce mois d’avril 2017. Mais on ne sait jamais, peut-être que certains d’entre vous étaient cryogénisés lors de la première saison. Pour rappel, il s’agit à la base d’un manga de Hajime ISAYAMA qui se vend à des millions d’exemplaires de par le monde (21 volumes chez Pika pour le moment). Et l’adaptation animée a ensuite entraîné un succès incommensurable pour la licence avec films en prises de vue réelles, romans et autres… Dire que cette deuxième saison était attendue comme le Messie serait un euphémisme.

L’histoire reprend juste après le dernier épisode de la première (et son fameux cliffhanger). Les Titans menacent toujours l’humanité et les murs protecteurs qui entourent la cité où vivent nos héros Eren, Mikasa, et Armin ne sont pas loin de s’effondrer. Après avoir découvert que la menace venait aussi de l’intérieur et que lui-même présentait certaines particularités communes aux Titans, Eren se promet néanmoins de continuer à protéger les humains et à assouvir sa vengeance envers ces êtres gigantesques. Mais pour cela, il faudra découvrir les secrets que ceux-ci, et certains humains, cachent bien enfouis.

Bien évidemment, pratiquement toute l’équipe de la première saison a été reconduite. Tetsuro ARAKI (Death Note, Kabaneri) reprend donc les armes pour nous offrir des scènes de combats aériens à nous couper le souffle (et pour être sûr que ce sera réussi, il aura trois directeurs de l’animation quand même). Kyoji ASANO (Psycho-Pass) sera toujours en charge des personnages et bien évidemment, la musique a été confiée à Hiroyuki SAWANO, qu’on ne présente plus depuis la composition qu’il a faite pour la première mouture. Wit Studio chapeautera tout cela et a tout de même la pression de sortir un truc à la hauteur de l’attente mondiale.

Que rajouter ? L’Attaque des Titans a été la porte d’entrée pour beaucoup de personnes dans le monde de l’animation japonaise, et a même été évoqué dans la presse généraliste comme le « Games of Thrones » de l’animation. L’Attaque des Titans a été, et est toujours, un succès mondial. Inutile de préciser que bons nombres de personnes seront présentes devant leur écran dès la sortie du premier épisode. Et comment leur en vouloir ? L’histoire ne pouvait pas s’arrêter sur cette scène, et l’aventure promet encore de belles surprises. Rendez-vous est pris.

Rydiss

Atom The Beginning – J’ai peur

Voilà un projet aussi intriguant qu’inquiétant. Atom est plus connu en Occident sous le nom d’Astro. Oui celui-là même d’Astro Boy, connu aussi sous le vocable Astro le Petit Robot en France. Alors autant dire que quand on touche au manga le plus culte de l’auteur le plus culte, les gardiens du temps affûtent leurs couteaux. Le spin-off Pluto a été très bien accueilli mais le mangaka en charge était un homme d’expérience en la personne de Naoki URASAWA. Qu’en sera-t-il de ce préquel ? Avant la naissance d’Atom, le Dr Ochanomizu et Dr Tenma ont travaillé de concert à la création d’un robot : A106. Le premier voulait fabriquer un ami, le deuxième un dieu.

Bien que la publication ait débutée en France chez Kana, je concède n’avoir jamais touché au manga de Tetsuro KASAHARA. J’avoue que la lecture du synopsis ne m’émoustille pas tant que ça car c’est un thème somme toute assez classique, mais quitte à ne pas être original, je me dis que c’est parfois dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures. J’aborde donc la série vierge de toute information, mais pas sans a priori. Les héritiers d’Osamu TEZUKA ont la réputation d’être pointilleux sur le respect du travail du maître, ce qui peut s’avérer être autant un atout qu’un boulet à se traîner. Le manga est supervisé par Makoto TEZUKA, « fils de », et  le dessinateur de Patlabor, Masami YUUKI. Un bel entourage si  tout ce petit monde arrive à travailler ensemble, une gageure.

On retrouve la même pluralité dans les studios en charge de cette adaptation. La supervision revient comme il se doit à Tezuka Productions mais pas moins de trois autres studios sont crédités : Oriental Light and Magic, Production I.G. et Signal MD. Le travail collaboratif est une habitude dans l’animation japonaise mais de la polyphonie à la cacophonie il n’y a qu’un pas. Et je ne sais pas si l’exécutant Tatsuo SATO a la carrure de mener à la baguette la troupe avec la casquette de réalisateur. Reste que l’expérience du chara-designer Takahiro YOSHIMATSU et du scénariste Jun’ichi FUJISAKU font office d’un certain gage de qualité pour porter le manga à l’écran. Je suis également curieux de voir ce que donnera le directeur de l’animation Hideki ITO qui passe en ligue supérieure.

Je vous dépeins un scénario plutôt pessimiste pour m’auto-convaincre de ne pas trop en attendre au risque d’être déçu. Il n’empêche. Quand bien même ce serait seulement un argument marketing (ce qui est déjà en soit un mauvais préjugé), le nom d’Atom pèse et je vais suivre le résultat de près.

Afloplouf

Rage of Bahamut : VIRGIN SOUL – Les lettres majuscules DU TITRE, c’est pour insister sur quoi ?

Faisons un retour dans le temps en ce beau printemps 2017 pour retomber en automne 2014, période où est sortie la première saison de Rage of Bahamut. Celle-ci a rencontré son petit succès auprès du public, chose pas franchement volée au vu de la qualité globale de l’œuvre. Pour rappel, l’anime était une adaptation d’un jeu de (jolies) cartes sur téléphone portable créé par la société Cygames, et avait pour le coup réussi son pari : convertir des gens à ce jeu alors qu’ils n’en avaient jamais entendu parler avant ladite série.

Mais bref, une deuxième saison arrive et les deux ans de notre monde réel se sont transformés en dix ans dans celui de Rage of Bahamut. Depuis la victoire de nos héros sur le dragon Bahamut, le monde s’est fragilisé. Les humains cherchent à toujours plus s’enrichir, les démons ont été réduits en esclavage afin de reconstruire la capital et le divin s’affaiblit car la foi en Dieu s’amenuise. Nina est une jeune chasseuse de prime appréciée pour son caractère jovial qui évolue dans ce monde en toute innocence. Mais une suite d’évènements la conduira à l’aventure et à rencontrer nos fameux héros Favaro et Kayser.

Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Pas besoin d’être entraîneur de foot de Ligue 1 pour savoir que ce n’est pas une bonne idée. Du coup le studio Mappa (Garo, Terror in Resonance) a rappelé Keichi SATO (Tiger and Buny, KARAS) au poste de réalisateur parce qu’il s’était bien débrouillé, et lui il a ramené Naoyuki ONDA (GANTZ, les films de Berserk) pour le design des personnages. A cela s’ajoutent les retours de Hideki NAKAMURA (les films Berserk) au poste de directeur artistique et de Yoshihiro IKE (Ergo Proxy, Kuroko no Basket) à la musique, qui devrait nous composer une nouvelle bande son superbe.

Eh bien voilà, il n’y a pas besoin de se poser trop de questions. Vous avez aimé la première saison ? Il y a donc de très fortes chances que appréciez aussi celle-ci. D’après les bandes-annonces, le niveau technique semble aussi relevé que pour la mouture précédente et le scénario devrait rester dans la continuité : de l’aventure, de l’action et de l’émotion dans un monde fantastique. Que demander de plus ?

Rydiss

Zero Kara Hajimeru Mahou no Sho – Non, aucun rapport avec un lycéen dans un monde inconnu

Autant commencer tout de suite par annoncer la couleur : non, cet animé n’a AUCUNE relation avec celui qui a fait un carton l’année dernière. Bon d’accord, faut avouer qu’avoir la moitié du titre qui ressemble à ce dernier, ça n’aide pas mais voilà… Ici, vous aurez de la loli magicienne qui est accompagnée par un être mi-humain, mi-animal, rien que ça. Pourquoi ce duo ? Car la jeune loli est une sorcière qui est à la recherche du « Livre de Zero », qui contiendrait un savoir capable de ravager le monde. Et voilà, vous avez le synopsis pour ce début de série ! Oh… Est-ce que j’aurais oublié de préciser… que la petite sorcière s’appelle « Zero » ?

Nouvel animé, nouvelle adaptation tirée d’un light novel. Kakeru KOBASHIRI nous livre là son premier light novel, un light novel qui semble faire ses preuves puisqu’il fut rapidement rejoint par une version manga. Fort de 8 volumes pour le premier, 4 pour le second, toujours en cours pour les deux, la série pourra miser sur son capital « loli ». Ironie du sort ou jouet du destin, le studio White Fox (qui a justement travaillé sur Re:Zero) sera à la production de l’animé. On peut donc estimer que cela sera un gage d’une certaine qualité. Le réalisateur, Tetsuo HIRAKAWA n’a jamais vraiment œuvré en tant que tel bien qu’il se soit souvent occupé de l’animation clé de nombreuses séries comme Shin-chan ou xxxHolic. Pour le doublage, Tsuyoshi KOYAMA, un seiyuu d’expérience ayant doublé Kurou dans Utawarerumono et Phil Ackman dans Turn A Gundam, prêtera sa voix à Mercenary. Pour la petite sorcière Zero, c’est Yumiri HANAMORI qui jouera le rôle de sa doubleuse, peu connue mais ayant doublé Remo dans Garakowa -Restore the World-.

Dans l’idéal, bien que l’histoire soit différente de Re:Zero, le studio White Fox a gagné de nombreux points dans le cœur des otakus l’année dernière. Ainsi, bien que la série ne soit prévue que pour une douzaine d’épisodes, il faudra voir si celle-ci ne va pas trop se focaliser sur le côté « loli » de l’héroïne. On sait bien ce que cela peut engendrer des fois. Pour autant, on peut lui laisser une chance, les surprises peuvent parfois être bonnes !

Shiroiryu

Re:CREATORS – La réalité surpasse-t-elle toujours la fiction ?

Nous sommes nombreux à avoir regardé l’anime de piraterie Black Lagoon, issu d’un manga de Rei Hiroe. Manga qui continue à être publié sporadiquement. Mais le bonhomme a décidé de lâcher son bébé quelques temps (ce qui ne va pas arranger l’attente entre les tomes) pour élaborer l’univers et le point de départ d’une création originale. Et de quoi ça parle ? Eh bien, disons qu’au lieu de présenter les personnages que Rei a créés, la production aurait mieux fait d’expliquer le concept. Voire nous filer un synopsis potable. Car là, c’est on ne peut plus obscur. Et donc difficile à raconter.

De ce que j’ai compris, des personnages issus de différentes fictions prennent vie dans la réalité. Le jeune Sôta Mizushino va alors être le témoin d’affrontements de protagonistes d’animes, de jeux-vidéo et de mangas entre eux et contre des gens réels, pour une raison que nous ignorons.

Voilà. Des combats entre des personnages venant d’univers différents. C’est tout ce qu’on a comme histoire. Mais pas d’inquiétudes braves gens, un « spécialiste » de la baston est à l’œuvre : Ei AOKI, que nous connaissons comme réalisateur de Aldnoah Zero, Fate/Zero, Ga-Rei-Zero et maintenant de Re:Zero Re:CREATORS, rempile au studio TROYCA (Aldnoah Zero). L’animation a été confiée à Jun NAKAI (GATE) et Ryuichi MAKINO (Hourou Musuko) qui s’y connaissent pas mal, et la musique à l’increvable Hiroyuki SAWANO (l’Attaque des Titans). Espérons qu’il y aura du spectacle.

C’est bien beau tout ça, mais de ce que je comprends, c’est que nous allons avoir un énième tournoi avec des personnages issus d’univers aussi variés que de la science-fiction ou du polar. Et si je sais que cela peut donner de l’épique et de l’action comme je les aime, encore faut-il que la réalisation suive. Or, je n’ai pas franchement confiance en ce réalisateur, les travaux que j’ai vus de lui ne m’ayant pas convaincue. Les bandes annonces nous montrent des designs lisses et de l’action, certes, mais rien de particulier ne capte l’attention. Peut-être aurais-je regardé si je savais ce que racontait la série, mais je n’ai pas trouvé d’informations satisfaisantes à ce sujet. Pour ma part je vais attendre les premiers retours avant de tenter l’expérience.

Rydiss

Kabukibu –  Qu’a bu qui ?

Lorsque l’on croit que l’animation japonaise a épuisé tous les sujets possibles et imaginables, on arrive encore à être surpris. Kabukibu est une adaptation de light novel qui a pour sujet le kabuki, un art théâtral apparu vers le XVIIe siècle et encore aujourd’hui pratiqué au Japon. L’anime racontera comment un lycéen passionné par le kabuki redoublera d’efforts pour monter un club de théâtre dans son école et recruter des membres.

Le synopsis paraît extrêmement cliché, et fait pâle figure en comparaison d’autres séries telles que Showa Genroku qui elle aussi avait pour thème une discipline traditionnelle japonaise (le rakugo), mais le mettait en valeur dans une excellente histoire au ton mature et littéraire. Kabukibu semble plutôt emprunter au slice-of-life scolaire tel qu’on en bouffe depuis des années, avec juste la curiosité de son thème pour donner envie de s’y intéresser.

Mais ne sonnons pas la fin de la pièce avant d’en avoir vu le premier acte. La comparaison avec Rakugo n’est pas innocente puisqu’il s’agira du même studio DEEN en charge de la production, avec le réalisateur Kazuhiro YONEDA (Akatsuki no Yona). Mais la vraie star du staff est le character-design par CLAMP, le célèbre groupe de mangakas (xxxHolic, Tsubasa Chronicle) dont on n’entendait plus trop de nouvelles depuis des années.

Difficile de savoir si Kabukibu sera un anime générique porté par son thème ou au contraire une vraie déclaration d’amour au kabuki alourdi par un synopsis peu engageant. Les trailers laissent en tout cas voir une qualité d’animation et de design très sommaire, ce qui a pour mérite de réduire nos attentes au minimum.

Deluxe

Roku de Nashi Majutsu Kōshi to Akashic Records – Mon professeur, cette enflure

Oui, encore de la magie ! Oui, encore une série tirée d’un light novel, ce n’est pas comme si tout cela était si étrange après tout ce temps non ? Et oui, encore un anime dont le sous-genre sera harem ! Bien entendu, attention, le professeur qui semble si fainéant et pathétique à la base est en fait un type super badass devant lequel une bonne partie des jeunes demoiselles tombe en pâmoison. Rajoutons aussi la tsundere qui n’aime pas le héros, évidemment. Oui… On fait là un tableau peu élogieux de ce qui nous attend avec une nouvelle adaptation tirée d’un light novel dont le genre et l’histoire n’ont rien de grandiose.

Dans les faits, l’auteur Tarao HITSUJI, en est à son premier coup d’essai avec cette œuvre. Son roman est toujours en cours, sept volumes et un extra, mais possède aussi une adaptation en manga. Autant dire qu’il semble avoir de beaux jours devant lui. On ne sait que peu de choses sur le casting de l’animé : Liden Films est à la production, ayant travaillé sur Terraformars et Yamada-Kun. Minato KAZURO est un réalisateur inconnu au bataillon tandis que Soma SAITO a déjà prêté sa voix à Tatsumi d’Akame Ga Kill et doublera Glenn Radars. Du côté de Sistine Fibel, c’est Akane FUJITA qui a doublé Yuzuka Hanami dans Mahou Shoujo Nante Mouiidesukara.

En lisant le manga, je m’attendais à un classique harem avec son lot de jolies filles, quelques belles scènes ecchis et autres. Dans un sens, il y en a un peu, mais pas à outrance. Comme souvent, c’est avec un peu plus de surprise que l’on assiste aux moments très sérieux, parfois sanglants dans les différents chapitres. Si l’anime arrive à bien retranscrire ces scènes, il sera alors possible de passer un agréable moment indéniable, outre le fait d’admirer la plastique très charmante des différentes protagonistes. Il ne faut pas juger avant d’avoir vu ne serait-ce que les premiers épisodes, on n’est pas à l’abri de passer un bon moment malgré les premiers préjugés.

Shiroiryu

Sagrada Reset – Votre vie est un échec, appuyez sur Reset

Allez hop, on enchaîne avec l’histoire classique d’un light novel à succès qui a droit à une adaptation en anime après être passé par la case manga. Pour le coup, celui-ci vire un peu moins dans le côté fan-service à base de harem, monde fantastique, magie… auquel nous étions habitués depuis quelques temps. Mais bon, pas de révolution non plus avec ces lycéens dotés de supers pouvoirs.

La ville de Sakurada, proche de l’océan, présente une étrange particularité : près de la moitié de la population possède un pouvoir qui lui est propre. Untel est capable de vagabonder dans l’esprit des chats, un autre de remonter le temps… Pour gérer cela, l’Administration fait appel à certains détenteurs de ces pouvoirs. En l’occurrence, Kei et Misora, lycéens, ont tous les deux été recrutés pour se charger de certaines missions. Leurs pouvoirs, complémentaires, leur seront bien utiles pour résoudre une affaire de suicide…

Niveau staff, pas de gros noms annoncés. Le studio en charge, David Production (The Book of Bantorra, Ben-To) n’est pas une grosse usine du milieu, mais il va se charger d’adapter le travail de Yukata KÔNO. Le réalisateur Shinya KAWATSURA s’y connait en lycéens dotés de pouvoirs bizarres (Kokoro Connect), il devrait s’en sortir. Tomoyuki SHITAYA (Bakuman, Hatsukoi Limited) s’occupe des personnages et la musique a été confiée à Rayons, inconnu au bataillon. Mais il permet de faire une rime donc j’en parle.

Je n’étais pas spécialement emballée par ce cadre fort convenu (des lycéens, des pouvoirs, wouhou c’est la fête de l’originalité) jusqu’à ce que je visualise la bande-annonce. Pour le coup, le ton s’annonce plus dramatique que prévu et moins axé divertissement. La venue de la mort dans l’histoire et les relations entre les personnages, apparemment plus complexes que prévues, ont piqué ma curiosité, et je tenterais bien l’expérience. A voir si cela se confirme.

Rydiss

Shūmatsu Nani Shitemasu ka? Isogashii Desu ka? Sukutte Moratte Ii Desu ka?  – Désolé, y avait pas plus court

Les japonais et les titres à rallonge, c’est une grande histoire d’amour qui ne date pas d’hier. Sans avoir besoin de citer d’autres noms, on ira raccourcir tout ce beau titre en Shūmatsu Nani Shitemasu ka? L’histoire se veut un peu classique : les humains ont été proches de l’extinction face à des « Bêtes ». Il incombait le rôle de combattre ces « Bêtes » à des « Fées », qui étaient destinées à utiliser leurs pouvoirs appelés « Kariyon » pour tenir des « Epées Sacrées » jusqu’au jour où elles décédèrent au combat. Après plusieurs centaines d’années, c’est un jeune humain du nom de Willem qui se réveille et qui va devoir combattre ces bêtes. Oui, c’est du classique et ça sent bon le petit côté harem.

Akira KARENO est un jeune auteur dont Shūmatsu Nani Shitemasu ka? est son premier livre. Le côté positif de la chose ? C’est que ce roman est terminé en 5 livres depuis avril 2016. Ainsi, si la série décide de ne pas perdre trop de temps, il y a de fortes chances qu’elle mette sous format animé l’entièreté du light novel dont elle est issue. Pour la production de la série, c’est Satelight et C2C, qui ont déjà œuvré sur Fairy Tail, qui se chargeront de tout ça. Le réalisateur est Jun’ichi WADA qui n’a réalisé que Ragnastrike Angels, un animé datant de l’année dernière bien qu’il ait déjà réalisé quelques épisodes pour Fairy Tail ou Heroman.

Que devrait-on attendre de cet animé ? Et bien, sauf si grande surprise, que du classique. L’avantage de l’arrivée de cette série, bien qu’elle soit l’une des nombreuses adaptations de light novel parmi tant d’autres, c’est qu’il y a un début… et qu’il y a une fin. Sauf erreur de parcours, le studio chargé de l’adaptation a donc une base bien solide sur laquelle travailler. Ainsi, qui sait ? Rien n’empêche cette série de réussir à transparaître sur écran et de voir ce que l’auteur du light novel a dans le ventre.

Shiroiryu

Alice to Zôrôku – De l’autre côté du miroir, des merveilles ?

Bien souvent dans les productions modernes, nous avons comme point de départ notre lycéen de héros un peu débile qui rencontre une jolie jeune fille d’une manière saugrenue. Le prélude de cette adaptation d’un manga de Tetsuya IMAI (7 volumes en cours), un ancien animateur, est exactement pareil, à un détail près : on n’a pas de lycéen abruti, mais un vieux monsieur bourru.

« Le rêve d’Alice » est un pouvoir étrange que possèdent certaines jeunes filles et qui leur permet de transposer leurs pensées dans la réalité. Sana est une de ces fillettes dotées de cette faculté, ce qui lui a valu de vivre confinée dans un laboratoire pour être étudiée. Mais elle arrive à s’échapper et découvre pour la première fois le monde extérieur. Complètement perdue, c’est en faisant la rencontre d’un vieux monsieur, Zôrôku, qu’elle va apprendre à vivre.

Le studio J.C. Staff (Ghost Hunt) poursuit sur sa lancée « vie quotidienne-touche de fantastique » après Flying Witch avec cette histoire de fillette découvrant le monde. Les deux séries partagent aussi le même réalisateur avec Katsushi SAKURABI. Kazunori IWAKURA (Kimikiss Pure Rouge) s’occupe du sympathique design des personnages et Takumi YANAGIHARA (Lostorage Incited Wixoss) de la jolie direction artistique. Enfin, TO-MAS (Flip Flappers) s’occupera de la musique.

Les prémices de l’histoire sont assez classique, certes, mais la relation entre les deux personnages sera plus au cœur de l’intrigue que le background fantastitico-scientifique. Et moi ça me plaît. J’aime bien ces relations qui rappellent que l’amitié, plus que l’amour, n’a aucune limite. Du coup, rien que parce que les personnages n’ont pas l’âge de lycéens, je vais tenter. Il en faut vraiment peu parfois…

Rydiss

ID-0 – Cheveux longs, idéaux courts

Un nouvel anime de mecha mérite toujours que l’on s’y attarde, mais parfois le prix à payer est trop important. ID-0 a été annoncé comme le nouvel anime original de Goro TANIGUCHI, le créateur de Code Geass et de plein d’autres trucs bien. Mais ce réalisateur maudit n’a jamais pu se rétablir après avoir quitté Sunrise et a passé les dernières années de sa carrière à enchaîner les bides créatifs et commerciaux (Active Raid, Junketsu no Maria).

ID-0 semblait être le retour en grâce du réalisateur, avec un premier trailer plein de promesses. Ce n’est qu’après que l’on découvrit qu’il s’agissait d’un troll ; la série sera en réalité un truc moe avec des petites filles aux cheveux colorés et une réalisation toute en 3D par le studio Sanzingen, spécialisé dans les CG.

Autant dire que la descente de l’ascenseur émotionnel fut brutale, même si depuis on s’est fait une raison, d’autant que la série n’a pas l’air d’être juste un coup de pub. Le scénario écrit par le fameux Yosuke KURODA (collaborateur de longue date de TANIGUCHI sur Scryed et Infinite Ryvius) raconte l’histoire d’une jeune fille qui devra piloter un robot géant pour travailler sur un vaisseau d’extraction spatiale, le tout sur fond de piraterie de l’espace. On sent venir le récit en apparence mignon qui cache des choses plus sombres, une marque de fabrique des réalisateurs à l’ancienne tels que TANIGUCHI.

D’autres personnalités sont créditées au staff telles que le character-designer Range MURATA (Last Exile) et le mecha designer Kanetake EBIKAWA (Gundam Iron-Blooded Orphans). Mais leurs talents respectifs risquent fort d’être noyés sous la 3D de Sanzingen, toujours aussi terrible. Les gens qui s’intéressent à ce que fait TANIGUCHI sont déjà si peu nombreux, ce ne sont pas les choix artistiques de ID-0 qui risquent d’en faire une nouvelle référence.

Deluxe

Warau Salesman NEW – Sa petite entreprise ne connaît pas la crise

A l’origine manga créé par Fujiko Fujio (principalement connu pour la série Doraemon et tous ses dérivés), The Laughing Salesman, ou Warau Salesman, a été adapté en série télévisée pour la première fois en 1989. Une belle série fleuve qui ne comptait pas moins d’une centaine d’épisodes, d’une dizaine de minutes chacun. Le pitch est assez modeste, mais prête à un nombre d’histoires interminables : Fukuzô Moguro, homme d’affaires ambulant, parcourt les rues afin de trouver de nouveaux clients, pour leur proposer des produits mais surtout des conseils, dans l’optique de rendre leur vie meilleure. Jusque-là tout va bien, mais il ne faut pas le berner ! S’il fait face à des clients malhonnêtes et préférant n’en faire qu’à leur tête, ces derniers seront sûrs de passer un très mauvais moment. Et le mot est faible.

Cinq volumes seulement pour le manga original (intitulé au début Kuroi Salesman (The Black Salesman) et 103 épisodes pour la série d’animation, on peut dire que c’était un bon investissement. Et comme l’époque était aux jeux vidéo adaptés de toute part, un opus est sorti sur ordinateur, puis un autre sur Sega, avant de laisser la place à une série télévisée live en 1999 et enfin, cette année, un remake prévu pour le mois d’avril : The Laughing Salesman NEW.

C’est Hirofumi OGURA (Gintama, Black Butler II, Crayon Shin Chan) qui se colle à la réalisation, auprès du studio Shin-Ei Animation. Et on voit que beaucoup de membres du staff se recoupent, puisque Masato MAKINO (déjà intervenu sur Crayon Shin Chan) dirige la photographie et Yumiko NAKABA (présent dans les Crayon Shin-chan et dans la quasi-totalité des Doraemon) assure le montage. C’est donc dans ce cercle restreint que participe également Tesshō GENDA (entendu entre autres dans, je vous le donne en mille : Crayon Shin Chan), en tant que doubleur du personnage principal. Pour les voix des clients de notre business man, on a fait appel à des guests, compte-tenu du peu de temps de dialogue par personnage (car changeant à chaque épisode).

On ne sait pas encore avec certitude combien d’épisodes composeront ce remake mais il y a fort à parier que l’on puisse voir paraître plusieurs saisons selon la popularité de ces saynètes (avec une bonne dose de thriller tout de même) remises au goût du jour, un peu plus de vingt ans après la disparition de Fujiko Fujio.

Sacrilège

Kado : The Right Answer – T’aimes la 3D CGI ? Tiens, c’est Kado !

La Toei n’est pas morte. Ou peut-être que si. Le fameux studio a amorcé depuis quelques années une transition : passer de l’animation traditionnelle en 2D à des œuvres entièrement en 3D CGI (les films Albator et Expelled from Paradise, par exemple). Transition qui passe mal auprès des puristes amateurs de belles animations faites à la main, d’autant plus qu’il s’agit sans doute du studio le plus ancien encore en activité où de grands maîtres ont fait leur classe (MIYAZAKI pour ne citer que lui). Mais avant de juger, penchons-nous donc sur cette dernière création originale.

Autant prévenir, le synopsis laisse perplexe. Un haut gradé de la police japonaise, Kojiro Shindo, embarque dans un avion pour un voyage d’affaire. Alors que l’avion s’envole, une gigantesque structure cubique apparait de nulle part et l’absorbe. Tandis que les passagers commencent à débarquer pour explorer l’étrange bâtiment, un homme apparaît. Il se présente comme étant un extra-terrestre se nommant Yaha-Kui Zashunina et déclare qu’il va intervenir dans la politique interne du Japon…

Donc oui, il n’a rien de plus intéressant à faire que de gérer la politique japonaise. Pourquoi le Japon ? Pourquoi la politique et pas une invasion bien sentie comme on en a l’habitude ? Il faudra regarder pour le savoir, en attendant la Toei a fait appel à un type qui s’y connait en 3D pour réaliser ça. Kazuya MURATA a dirigé BBK/BNR, une série entièrement en 3D. Cette dernière a été confiée à Yasuhiro KATO (Mobile Suit Gundam 00, Panty and Stocking with Gaterbelt), et vu la bande-annonce, c’est pas trop mal. Enfin, la musique a été confiée à Taro IWASHIRO (The Heroic Legend of Arslan, Gargantia), on devrait donc aussi avoir ça d’à peu près réussi.

Bon, le scepticisme règne en moi. La 3D, pourquoi pas, il est un peu difficile de s’y faire au début mais une fois habitué, ça passe. Par contre, l’histoire me laisse dans une profonde confusion, et ce n’est pas le type chargé du script, auteur de light novels obscurs, qui me rassure. Je suis confuse. On jettera peut-être un œil si on a le temps…

Rydiss

BLAME ! – Et là, c’est le blâme

Il fallait que ça arrive un jour : le manga BLAME ! de Tsutomu NIHEI va être adapté en anime, en l’occurrence en film d’animation. Alors oui il y a déjà eu une tentative dans ce sens au début des années 2000, mais on va faire comme si elle n’existait pas.

BLAME se déroule dans un futur lointain où la construction des infrastructures a été confiée à des robots bâtisseurs. Mais les machines ont depuis longtemps perdu leurs maîtres, si bien qu’elles continuent à construire sans direction, créant au fil des siècles une mégastructure gigantesque, labyrinthique et en constante évolution. C’est dans cet univers étrange qu’évolue Killy, un homme mystérieux à la recherche du moyen d’arrêter l’expansion incontrôlée de la ville.

Considéré depuis sa parution en 1997 comme un des plus grands chefs-d’œuvre du manga de science-fiction, BLAME est notamment connu pour ses illustrations, l’auteur s’étant inspiré aussi bien des artistes occidentaux que de sa propre formation d’architecte pour donner vie à un monde futuriste spectaculaire. L’adaptation partait ainsi sur de très bons auspices, à un détail près.

En effet, le studio en charge de la production est Polygon Pictures, qui avait déjà adapté Knights of Sidonia, un autre manga ultérieur de NIHEI. Et ce studio travaille exclusivement avec des CG… Doit-on s’attendre à voir les sublimes designs de BLAME souillés par la 3D comme le furent ceux de Berserk ?

Dans son dernier trailer, le distributeur Netflix explique que pendant vingt ans l’adaptation de BLAME était considérée comme impossible d’un point de vue visuel. En produisant ce film, Polygon Pictures se lance un défi qui pourrait les faire entrer dans l’histoire de l’animation japonaise. Ou pas. Rendez-vous au mois de mai pour le verdict.

Deluxe

Resident Evil : Vendetta – Les balles uniques de Leon Kennedy

2017, période charnière de Resident Evil qui fêtait il y a quelques mois et en grande pompe les vingt ans de la saga. Il faut dire que le temps a passé depuis la parution du tout premier jeu, en mars 1996 au Japon. Nous avons déjà eu droit cette année au jeu (Resident Evil 7 : Biohazard) et au film live (Resident Evil : Chapitre final). Il fallait donc boucler la boucle avec le film d’animation : Resident Evil : Vendetta (cinq ans déjà après le précédent, Resident Evil : Damnation).

Animé en 3D, le film regroupera deux des personnages emblématiques de la série : Chris Redfield et Leon S. Kennedy. Ils seront accompagnés de Rebecca Chambers, montrée dès le premier jeu mais faisant de moindres apparitions tout au long de la saga. Réalisé en images de synthèse (comme c’était déjà le cas des deux précédents films d’animation), sa sortie est prévue au Japon pour le 27 mai 2017.

Pour  l’histoire, le scénario du film se situe entre les Resident Evil 6 et 7. Les agents du BSAA (en français : l’Association de l’Évaluation et de la Sécurité contre le Bioterrorisme) ont pour mission d’éviter la fuite du « Trigger Virus », que l’antagoniste Glenn Arias souhaite répandre sur New York.

La réalisation est laissée à un « petit jeune », Takanori TSUJIMOTO, qui n’a pour le moment qu’un film live de Patlabor à son palmarès. Les autres membres du staff sont un peu plus rompus puisque nous retrouvons Makoto FUKAMI au script (Berserk 2016, Psycho-Pass) et Kenji KAWAI à la musique, qu’on ne présente plus. Fait notable, c’est Ducati Japan qui se charge de la production (en binôme avec Marza Animation Planet), cela étant fait comme un pied de nez à la BMW S1000XR présente en placement produit flagrant dans le film live de cette année, volant presque la vedette à Milla Jovovich. Leon se baladera quant à lui en Ducati XDiavel, et toc !

Sacrilège

Yoru wa Mijikashi Arukeyo Otome – The Tatami Universe

Lorsque le réalisateur Maasaki YUASA annonça en 2014 la création de son propre studio Science Saru, tous les espoirs étaient permis. Mais des années de silence sur leurs projets, en dehors de quelques collaborations anecdotiques, avaient laissé les amateurs sur leur faim. Mais depuis quelques semaines, tous les rêves sont de nouveau possibles.

En effet, Science Saru vient d’annoncer pas moins de trois nouveaux projets, parmi lesquels le long-métrage Yoru wa Mijikashi Arukeyo Otome. Il s’agit d’une adaptation d’un roman de l’excellent Tomihiko MORIMI, auteur de Uchoten Kazoku et de The Tatami Galaxy. D’ailleurs ce nouveau film se déroule dans le même univers que The Tatami Galaxy, dont l’adaptation en série télé avait été réalisée chez Madhouse par YUASA lui-même en 2010.

L’histoire de Yoru wa Mijikashi met en scène un jeune homme qui aimerait bien aborder cette fille aux cheveux noirs qui déambule dans les rues de Kyoto. Mais alors que ce jeu amoureux se met en place, des créatures mythologiques et autres étrangetés débarquent pour mettre un peu le bordel.

Yoru wa Mijikashi reprendra donc le style visuel de Tatami Galaxy, avec de nouveaux personnages mais toujours la même excellence visuelle et cette écriture si drôle et pleine d’esprit, au sens propre comme au figuré. Les connaisseurs savent à quoi s’attendre et se préparent à accueillir ce nouveau chef-d’œuvre, et les autres sont invités à découvrir de quoi il en retourne le plus vite possible avant la sortie du film dans quelques jours au Japon.

Deluxe

Yoake Tsugeru Lu no Uta – Un deuxième Yuasa pour le prix d’un

Les dieux de la japanime ont sembe-t-il décidé d’être miséricordieux en 2017. En effet, nous n’aurons pas un, mais deux long-métrages de Maasaki YUASA cette année. Le premier n’est autre que Yoru wa Mijikashi dont je viens de parler juste au-dessus. Le second, Yoake Tsugeru Lu no Uta est prévu pour le mois de mai au Japon.

Le récit se situe dans une ville portuaire où réside un collégien appelé Kai. Son quotidien plutôt morne va être bouleversé lorsqu’il fera la rencontre de Lu, une sirène espiègle.

Ce genre de synopsis typé dessin animé grand public paraît assez inhabituel chez Maasaki YUASA, que l’on connaît plus pour des productions pulp et viriles telles que Kemonozume ou Mind Game. Mais rappelons que Yuasa excelle dans tous les genres, ainsi qu’il a démontré avec des titres comme Ping Pong ou The Tatami Galaxy. Aucun genre, aucun style ne semble hors de portée pour un réalisateur à la carrière sans faute tel que YUASA, et Lu no Uta en sera une nouvelle preuve.

En effet, le trailer d’annonce du film est tout simplement magnifique, avec une animation dingue et le style graphique si vivant de YUASA. Reste que l’on s’étonne qu’après des années de silence, le studio Science Saru arrive avec deux longs-métrages distribués à quelques semaines d’écart. Mais en présence de deux potentiels chefs-d’œuvre, ce serait vraiment faire preuve de snobisme que d’y trouver quoi que ce soit à redire.

Deluxe

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9 commentaires

Joli travail tout le monde et désolé de vous avoir fait faux bond. En tout cas, c’est du boulot de qualité et ça me sera bien utile, n’ayant pas vraiment suivi de près les annonces des machins à venir cette saison.

C’est bon j’ai commenté Deluxe rends-moi ma 3DS.

Au poil, merci pour le taf les gens. La suite de Rage of Bahamut a l’air attrayante. BLAME c’est la surprise de la saison, j’ai hâte de voir ce que ça va donner.

Clairement hypé par BLAME, c’est la première fois que j’entends parler de ça mais le synopsis et la description de Deluxe rendent ça terriblement alléchant. Et puis la saison 2 de Rage of Bahamut aussi. En tout cas merci beaucoup pour ce travail, je vais me faire plaisir cette saison.

Comme d’hab’ belle présentation.
« Hip hip hip » pour SNK2, BNHA2, ROBVS et Yuasa !
Pour le reste on fera des tests en fonction de (en espérant une petite découvertes sympa ou deux. + un Blame sans trop de blâmes, sans trop de blèmes.

P.S. : aah, et bien joué l’intro’ !

Très très hypé par les films de Yuasa. Avec en prime la saison 2 de My Hero Academia et de Shingeki no Kyojin il y a de quoi être content. Merci à la rédac’ de continuer à nous fournir ce travail de qualité, vous êtes géniaux.

Hé hé, encore un « énième » article de qualité qui, comme la plupart des précédents auparavant, ose me faire wishlister d’autres trucs alors que ma liste est déjà bien remplie (Kabukibu!, Seikaisuru Kado et SukaSuka (j’ai trouvé encore plus court que toi Shiroiryu ! :-P)) ! Le pire c’est que cette saison-ci s’avère une de mes plus grandes à ce jour, autant en hype (toutes ces (grosses) suites dans la même saison (les S2 de SnK, SnB et BnHA, Boruto : NNG, Kyoukai no Rinne S3, etc) et les trucs plus ou moins prometteurs et intéressants (Alice to Zouroku, Clockwork Planet, Sakurada Reset, Re: Creators, Fukumenkei Noise, par exemple)… ^^), qu’en quantité !

Merci, les gars/filles de la team AK !

Hé hé, psst, y’a Resident Evil aussi, n’oubliez pas !

J’ai pas encore visionné les précédents films…

*S’enfuit très loin*

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