Critiques des membres d'Anime-Kun - page 78
De quoi faire un bon premier acte
Isekai wa Smartphone to Tomo ni, un anime qui aurait pu être réussi, d'ailleurs on va faire assez court parce que l'animé n'est pas très fourni donc il n'y a pas grand chose à analyser. Dieu a tué Toya, notre héro, par inadvertance et pour se faire pardonner il le ressuscite dans un monde parallèle, un monde où existe... Lire la critique
Comme un éclair d'acier
Aux hésitants, n'hésitez pas ! Foncez voir Gundam Thunderbolt : pour ses combats frénétiques entre mechas motorisés par le désespoir, pour son drama simple entre quelques personnages-emblèmes, pour sa fluidité d'animation et sa mise en scène enlevée. Je pourrais m'arrêter là et faire comme l'anime : court,... Lire la critique
Surprendre c'est bien, mais il faut aussi savoir garder le spectateur.
Samurai Flamenco a la particularité d'être un animé ou on ne peut clairement pas être prêt pour ce qui nous attends. On lit un synopsis, on se fait une idée de ce qu'on va voir, on commence l'animé, on passe quelques épisodes, on se forge une idée du matériaux qu'on a devant les yeux, mais arrivé à la moitié s'entame... Lire la critique
Pavé de bonnes idées mal exprimées.
“La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste.” Utilisé et abusé pour porter une œuvre au rang de chef-d’œuvre . Titillant, stimulant les âmes les plus tristes, la mélancolie ne touche pas tout le monde, ou plutôt ne permet pas de berner tout le monde . Vous avez vu ma note, je durcis légèrement mes mots, car... Lire la critique
HIRUNE HIME — Le Royaume Imaginaire de Princesse Coconne
Hirune Hime est le dernier long-métrage de Keniji Kamiyama, autrefois bien connu dans le monde des séries d’animation avec GitS SAC ou Higashi no Eden notamment. Depuis lors Kamiyama a tenté de percer dans le cinéma d’animation, avec le soutien de Production IG qui comme d’autres cherche à profiter du vide laissé par... Lire la critique
Adorables platitudes
Le bilan de la représentation homosexuelle en animation japonaise n'est guère glorieux. Souvent mélange immonde de clichés, stéréotypes pesants et fantasmes réducteurs, ce qui pourrait sans peine donner naissance à de grandes et belles histoires d'amour, comme on en trouve de temps à autres sur support papier, se... Lire la critique
Agonie d'un lampadaire
Georges Perec aurait adoré Histoires du coin de la rue. Peut-être n'y a-t-il pas plus belle illustration en animation de l'infra-ordinaire auquel il dédiera un livre entier, cette vie quotidienne, oubliée au profit de grands événements. Une vie que l'on ne voit même plus, qui n'existe pas, qui ne laisse aucune trace.... Lire la critique
Vieillesse vs Jeunesse : Le combat des valeurs
Inuyashiki est incontestablement un animé de qualité. Que ce soit les thèmes abordés, le scénario, les personnages, la qualité visuelle et auditive, tout est plus que correct. Mais ce qui distingue Inuyashiki, c'est qu'il a une histoire à raconter. Une histoire bien rythmée, où le découpage des épisodes montre le... Lire la critique
Un mélange de genres
Critique des saisons 1 (7/10) et 2 (8/10) Dans une teinte bleu vert l’animé évolue avec un rythme équilibré et harmonieux. Les personnages, minces et élégants, presque délicats, nous rappellent Arsène Lupin dans un univers contemporain. On suit les membres de l’agence de détectives armés. Dotés de superpouvoirs,... Lire la critique
Un animé court et timide
La sortie récente de l’animé surprend car il a, dans l’ensemble, une facture typique qui lui donne un aspect guimauve. On se rassure, en fait ce qui semble niais tient surtout au fait qu’il s’agit juste de personnages normaux et non pas des badass ou des pervers. Après on est dans la romance et la tranche de vie, et... Lire la critique
