Critiques des membres d'Anime-Kun - page 183
Sortez-vous les doigts du cul ou je vous baffe bande de nouilles !
Commençons en préambule que cette critique couvrira les deux saisons parce que je suis un vraie rebelle. Et comme mon titre (bien dans l'ambiance pour une comédie romantique rose bonbon) le rappelle, comme mes autres collègues, j'ai trouvé que cette série prenait trop souvent sont temps. C'est particulièrement criant... Lire la critique
Au moins on aura pas attendu l'avant-dernier épisode
Dans ma période (fleur) bleue, je suis tombé sur Suki-tte Ii na yo dont j'ai l'impression qu'il est passé un peu dans l'oubli. Pourtant, s'il ne casse pas 3 pattes à un canard (depuis Fukushima, c'est pas les mutants qui manquent) il recèle de vraies bonnes idées. Déjà, alors que la plupart des séries romantiques... Lire la critique
« J'ai laissé les derniers lambeaux de mon intégrité quelque part entre les draps de ton lit. J'aurais préféré vivre. »
En débutant la lecture de ce titre, je m’attendais à une petite romance sympathique entre deux jeunes filles niaises. Du coup, la claque que je me suis prise au fur et à mesure que j’avançais n’en fut que plus violente. Ce manga est un hymne à la friendzone, à l’hypocrisie et aux faux-semblants. Tout le casting m’a... Lire la critique
Prenez une tasse d'air frais, deux cuillères à soupe d'idole retraitée, un subtil soupçon d'ecchi, le tout thermostat 6 durant 12 épisodes et...
Et vous obtenez une grosse daube. Mais attention, pas une bonne daube, je parle là d'une vraie daube. Du grand art. Cher lecteur, Nourin s'est annoncé comme le tranches de vie de cet hiver 2014, un peu à l'instar du très connu Infinite Stratos - qui nous avait d'ailleurs diverti durant l'automne. Néanmoins,... Lire la critique
Tout simplement... Un Mushishi raté.
"Ouf, mais c'est quoi ce titre aussi bouleversant que le début d'un développement de Nietzsche?" Calme-toi coco(te) imaginaire, déjà commençons par les préliminaires... Ushijima c'est un manga qui m'a toujours fait de l'oeil, ces mangas qui ont commencés à se faire rare depuis que j'ai un Ipad, capable de me faire... Lire la critique
"Et la lune s'est moquée de moi..."
Un petit shônen à la bouille sympathique, et ce parce qu'il ressemble à bien des classiques. Une tambouille de ninja et de cyborg, agrémenté de nombreux super-pouvoirs et soupoudré de space opera. Tout cela a un goût de ces plats de self-service que vous n'avez plus la force de détester tellement vous vous y êtes... Lire la critique
Comédie (mélo-)dramatique + charadesign et savoir-faire en tranche de vie (scolaire) typiques du studio Kyoto Animation => Clannad
J'avais beau avoir regardé une prod' made in KyoAni (pour la 1ère fois, je crois) je m'attendais à tout sauf (presque) à ça : une série d'animation de bonne qualité pas excessivement niaise et présentant des personnages (un peu) développés malgré qu'ils demeurent à la base des stéréotypes très récurrents de la... Lire la critique
Un potentiel gâché et s'enfonçant au fur et à mesure des saisons...
Un des anime qui a le plus marqué mon enfance, que je suis depuis le début, et dont j'ai regardé les 5 saisons complètes. Même aujourd'hui, je trouve de nombreux points forts à Yu-Gi-Oh!, à commencer par son opening, mélange de musique orchestrale et électronique assez surprenant, mais très agréable car bien composé,... Lire la critique
Battle arena toshinden 1.5 The story of Eiji Shin Jo ! Ouais ! Tuez moi...
Battle arena toshinden, une série de jeux vidéos de baston sortie sur plusieurs supports dans les années 90, ici adaptée en deux OAVs, et bien c'est cool. C'est moche. C'est très moche. Mais c'est cool ! Je tiens à préciser tout de suite j'ai été un très gros fan des BAT donc je serais d'une absolue mauvaise foi et... Lire la critique
Critique de l'anime Hunter x Hunter (2011)
J'avais regardée le début, mais celle-ci ne m'a pas plus (le réalisateur 2011 a "découper" en quelque sorte les parties que j'estime "importantes", ou quelques changement des personnages). Par exemple, le navigateur est blond (il avait les cheveux noir) ou son fier assistant Katsuo, qui n'est d'autres qu'un crétin... Lire la critique
