GTO, la nostalgie n'a pas de prix.

GTO c'est un peu l'oeuvre qui a marqué une génération au fer, même si aujourd'hui c'est la marque de la nostalgie qui m'amène à écrire ces quelques lignes. Si vous avez entre 25 et 30 ans et que vous n'avez jamais vu GTO, je vous invite fortement à expier la plus grosse erreur de votre vie... C'est ce qu'on appelle un classique ! Bon, pourquoi regarder cette série ?

1) Dans GTO, on se fend la poire :

"-Salut, à demain
-Salut, à deux pieds"
"-J'ai un plan qui va le faire plonger grave de la gravité de la mort"
Ou l'incontournable :
"-Attend, Tu as parlé ou t’as pété ?"

Ouais, ouais ce sont bien les dialogues de la VF, mais si je prenais le temps de citer toutes les répliques (qui d'ailleurs sont en général plus ringardes les unes que les autres), le format de ma critique serait démesuré... Mais ce côté ridiculement "old-school" qui prouve que la série a clairement assez mal vieilli, m'a bien fait marrer, sans trop amputer l'histoire.

2) Dans GTO vous avez le prof le plus cool de l'univers :

Sérieusement, qui n'a jamais rêvé d'avoir onizuka en prof ? Tout dans ce personnage est excellent, ses déguisements improbables à crever de rire. Cette manie à toujours ce fourrer dans des situations chaotiques. Son charisme incroyable et naturel... Bref le personnage le plus attachant et badass qui m'ait été donné de voir !

Les soundtracks : Les musiques sont excellentes, le ending a vraiment quelque chose de particulier, il est à moitié mélancolique, très classe. Par contre, l'opening mon Dieu : VroomVroom, tiiiitututiiiitututiiiititituu... L'intro à la guitare restera... Elle restera... DANS MA TÊTE.

Conclusion : Dans le genre incontournable... GTO c'est du rire, des larmes, un concentré d'émotions. Un monde attachant où on découvre le cruel milieu de l’enseignement tourné efficacement à la dérision et mené avec légèreté par le génie de Tôru fujisawa l'auteur.

GTO je ne parlerai pas de ton honteux secret, l'épisode 36, je suis gentil, hein ?