Critique de l'anime GTO

C'est lui le prof? - Oui c'est lui et ses élèves sont dans la me***. Suite de Young GTO et qui sera aussi intéressant et prenant que son prédécesseur, GTO est un master piece dans le monde des mangas, l'anime présente un concept non moins novateur que prenant et auquel on adhère très facilement. Les musiques d'abord collent très bien aux différentes sonorités, , le ronronement d'une moto et ça part en rock style, on a le ton de l'anime, quelque chose de singulier de rythmé.

Les décors et les Chara-D même pour l'époque sont excellents. Que faut-il comprendre par là? Eh bien que le style de GTO est de la pure création et c'est par ce fait que l'anime est une telle référence, il y'a une somme de détails incroyables dans les décors et dans la dynamique de l'environnement qui en font un pur régal graphiquement parlant. En plus la couche old school ominprésente dans la réalisation est un régal.

Aux grands maux, les grand remèdes, d'annonce, le scénario est drôle en lui-même, un ex-motard qui devient prof de sociologie (ironie du sort) d'une classe de gamins tordus - on voit venir le truc de loin et c'est énormissime! Le prof est pervers (qui ne rêve que de sortir avec les étudiantes), arrogant, vulgaire, stupide, insouciant bref le mauvais exemple parfait. Comment est ce que l'on arrive tant à l'apprécier? Eh bien c'est ce petit travail en fond qui est appréciable, des pauses sur certains plans; une transformationn des expressions, une meilleure définition du contexte et surtout une brochette de belle connerie dans la franche rigolade. Certains (rares) gags tombent à plat, mais quand même les mises en scènes snt excellentes.

Pas éduqués ces gamins... On a su donner à chaque personnage son temps, sa réflexion, sa spécificité et sa place dans l'anime. Comme si les élèves aidaient Onizuka a s'améliorer et vice versa dans un processus donnant donnant. Ce, lié au scénario et au développement, il font partie intégrante du processus. A chaque épisodes sa leçon de vie. Malheureusement les meilleurs choses ont une fin, hé non, comme bonus il y'a la série (in real) tout aussi performante que je machouille...

Un exemple pour tous